Grand, musclé, Kehlen Lirre est un Hastane au début de la vingtaine. Il détient toujours un marteau et une pioche sur lui. Il est d’une beauté commune, mais est en très bonne condition physique et est toujours travaillant. Peu de personne ne le connaissent vraiment cette personne, car il est peu sociable, mais si vous voulez le trouver aller dans une mine il y sera minant, forgeant ou vendant il est toujours travaillant. Quelques mots pourraient le décrire travaillant, généreux, sans grand sens de l’humour, mais il aime toujours en entende une bonne a l’auberge. Mais voici son passé…
Il a grandi dans une maison loin de Citria, la fameuse capitale Hastane. Il est fils d’alchimiste, grand alchimiste qui, pendant ses dernières années de sa vie, tenta de sauver sa femme d’une maladie peu connu. Suite au décès de sa femme, Kehlen passa tout son temps à s’occuper de son père qui ne se remettait pas de la mort de sa mère. Quelques années plus tard, son père mourut, avec pour seul indication d’aller chez son oncle. À huit hivers de passer, Kehlen enterra son père derrière leur petite maison et mis feu a celle-ci pour effacer ces pénibles souvenirs. Il partit donc chez son oncle à un village plus proche de Citria. Il rencontra Edward dans la biblothèque du village, car l’un de ses passes temps favoris était la lecture, Edward ce fut son seul et vrai ami à se jour. L’oncle de Kehlen pensait qu’il deviendrait comme son père un alchimiste, mais il se trompa et le remarqua lorsqu’un jour il le suivi dans la forêt où il partait souvent des journées entières sans dire où il allait. Après deux heures de marche il rentra dans une mine et n’en sorti plus. Paniqué, après une heure d’attente, son oncle entra et découvrit Kehlen, agenouillé devant une parois, avec un petit marteau tentant d’extraire des pierres brillantes.
Après quatre hivers passée chez son oncle, Kehlen se fit offrir pour cadeau une pioche pour son douzième anniversaires. Son oncle ne voulait que son bonheur; puisqu’il allait encore à cette mine à presque tous les jours, il ne vit pas de meilleur présent. Il repartie à la mine qu’il allait toujours laissant tout amusement derrière lui comme il l’avait tant fait. Il tenta de miner à chaque jour, mais puisque la pioche était lourde le trajet prenais trois heures a faire à cause du poids encombrant qu’il portait pour son jeune âge. Il prenait souvent des pauses pour reprendre son souffle, mais grâce à cette entraînement continue il se fit une bonne musculature bien rapidement. Après plusieurs hivers, plusieurs apprentissages se fit par des forgerons qui voulaient bien lui enseigner la profession un peu, pendant leur repos qu’ils prenaient dans le petit village avant d’entretenir de longs voyages. Avec l’apprentissage qu’il avait reçus et la vingtaine qui approchait, il partit pour l’immense ville de Citria.