L'étrangère

Sujet: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 4:28 pm

Isabella Eleha Moralez. L’une des filles les plus convoitées du camp gitan. Les prétendants abondaient et il pleuvait de présents, de lettres lyriques et de roses. Les hommes se battaient comme des chiens pour être caresser par son regard aux iris noirs.
Dans sa marre, elle faisait l’objet de tous les désirs et fantasmes, mais Citria est comme l’océan. Elle s’y noie. Bien qu’elle soit dotée d’une grande beauté, la jeune bohémienne n’a ni les manières, ni les riches habits pour séduire et se faire envier des autres femmes.

Si elle attire l’attention par sa vénusté, elle la perd avec ses grossièretés.
Néanmoins, Isabella connaît l’art subtil de la séduction. Un petit peu de poudre noirâtre sur ses paupières, un khôl pour souligner la splendeur de ses yeux et un rouge écarlate sur ses lèvres sensuelles. Une chevelure, maintenant d’un blond cendré, encadre ce minois aux traits idylliques : des yeux légèrement violacés aux cils longs, un nez droit à l’extrémité finement retroussé et une bouche à la courbe joliment boudeuse. Ses pommettes et son menton saillants lui donnent une forme parfaitement ovale.

Ses origines bohémiennes lui lèguent un teint basané, mais aussi un caractère fougueux et fier. Comme un animal indompté, Isabella garde un air farouche qui lui consacre un charme sans égal.
C’est lorsqu’elle danse qu’elle s’ouvre le plus aux gens. Dans ses mouvements, elle transpire sensualité et féminité. Ce talent lui vient de sa génitrice, qui avant sa naissance, envoûtait les hommes par sa grâce et sa volupté. Le savoir se transmit de mère en fille, comme le voulait la tradition. La fièvre eut raison d’elle et Isabella fit la promesse de poursuivre sa passion…

Elle quitta le camp quelques années après son décès, dans le but de devenir une artiste accomplie.
À Citria, c'était si triste et monotone, jusqu’à ce qu’elle rencontre Kent. Sa présence la réconfortait, l’apaisait, mais la belle sentait un vide en elle. Il lui fallait à tout prix ne pas décevoir sa mère, montrer ce dont elle savait faire. En mettre plein la vue! Elle devait quérir l’aide de gens influents, ou de simples musiciens. À sa connaissance, il y avait Lyderic et son cher comparse, mais Kasilius avait aussi des projets pour elle. Toutes ses idées se bousculaient dans sa tête. Et maintenant Malya, qui tentait de la dresser comme l'on dresse une chienne. Comment allait-elle faire pour se tailler une place dans ce dur monde fait de cupidité? Ses atouts féminins pourraient lui servir, mais elle ne voulait pas perdre Kent, qui est plus qu'un amant. Il lui rappelait le père qu'elle n'a jamais eu, qui la laissait à elle-même et la livrait à qui la voulait. Mais Kent, lui, ne la néglige pas... Il prend soin d'elle et veille à ce qu'elle aille bien. Mais Isabella ne voulait pas dépendre de lui, vivre par lui. Danser, c'est ce qu'il faut. Il faut séduire Citria

Sujet: Re: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 4:35 pm

Belle description physique , c'est bon même très bon et aussi j'aime bien ta facons de décrire Isabella physiquement.. C'est un beau bg !

Sujet: Re: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 4:54 pm

Très beau BG en effet! Avec une telle description... pas surprenant que Kent a été séduit! Razz

Sujet: Re: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 5:03 pm

Très bon BG. Simple commentaire sur la présentation, mettre un peu plus d'espaces va permettre de grandement faciliter la lecture du texte. Wink

Sujet: Re: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 5:11 pm

C'est justement sa que j'allais dire mais je me suis dit de retenir mes commentaires de critique pour moi et de dire que tout était beau Razz

Sujet: Re: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 5:33 pm

Merciii pour ses commentaires! Embarassed

Sujet: Re: L'étrangère Ven 06 Juil 2007, 7:44 pm

Bah pourquoi on ferait pas des aussi beaux commentaires sur un beau bg ? Razz

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 1:56 am

*fait claquer son fouet contre sa hanche en regardant Isabella..*

Tu as pas fini d'en voir cocotte lol!

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 2:00 am

*Petit gémissement plaintif de chien battu*

Sauvez-moaaaa!

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 2:40 am

Kent Donnega et Isabella Eleha Moralez. Isabella Eleha Moralez et Kent Donnega. Le fil doré de l’amitié les reliait solidement ensemble. Au début, leur regard se croisait, se fuyait puis se retrouvait naturellement. Ni l’un, ni l’autre ne s’adressait la parole. Une attirance mutuelle les habitait, mais ils n’en avaient pas encore conscience. Elle l’intriguait et il lui plaisait. Au fond d’eux, un désir inconnu, peut-être charnel, les tenaillait. Tous les deux ressentaient le besoin de se connaître, de se découvrir…

En se fréquentant, d’autres sentiments firent surface. D’abord, il eut le calme avant la tempête. Ils semblaient bons amis, se voyaient fréquemment et vivaient de belles expériences. Vinrent ensuite les disputes, les accusations et l’affirmation de ce qu’ils étaient. La frustration, un désir inassouvi, le besoin d'aller plus loin. Kent revenait du combat, mais les affrontements n’étaient pas finis. Il devait à présent tenir tête à l’effroyable tigresse, qui à cet instant, ressemblait plutôt à un chaton courroucé. Encore une engueulade, un sceau d’eau en pleine figure, le rejet… Désarçonné devant autant de fougue, Kent dut se retraiter. Il comprit enfin la cause de sa colère. La réalisation.

Vivre au jour le jour… C’est ce que disait le père d’Isabella pour prétexter ses absences.
Il retrouva sa belle pour l’étreindre passionnément, dans la crainte qu’une tragédie survienne. Cette union leur fit réaliser qu’un sentiment plus fort que l’amitié germait en eux. Ils s’appréciaient, s’affectionnaient puis s’aimaient de tout leur être. À partir de ce jour, les regards ne fuyaient plus… Ils se cherchaient.
Isabella ne le prenait pas pour acquis. À chaque fois, elle trouvait une façon de le séduire à nouveau. Ses yeux prenaient une teinte coquine et ses lèvres s’étiraient dans un sourire mutin, invitante. Pour lui, elle ondulait avec une fluidité féminine. Elle se déhanchait sensuellement pour le conquérir encore et toujours plus.

Kent vint alors à elle, pour se joindre à sa danse. Ensemble, dans une ruelle de Citria, ils se mirent à virevolter et à faire des figures chorégraphiques. Le jeune Donnega la faisait cambrer vers l'arrière, pivoter sur elle-même et tournoyer. Un moment, elle se montrait douce et docile, comme un chat apprivoisé. Elle lui octroyait des baisers débordants d’amour et de tendresse. L’instant d’après, elle devenait aussi ardente et voluptueuse qu'une tigresse indomptée. Comme tous les hommes, Kent ne comprenait pas cette attitude changeante, mais pourtant si attirante.

Mais était-ce un véritable amour qu’il lui vouait? Il était paternel avec elle… Il craignait blesser cette délicate créature en la prenant dans ses bras… Il la sermonnait lorsqu’elle faisait des bêtises… Il la surprotégeait, la surveillant comme une enfant et pour finir…
Il comblait un vide émotionnel en elle. Celui que son père aurait du combler, il y a longtemps de ça. Ses caresses ne lui procuraient pas seulement une agréable sensation, mais aussi l’impression d’être à lui. D’être son amante, son amie, sa fille... Elle lui appartenait, mais il ne savait pas franchir les barrières du doute. Toujours le doute... Peut-être que l'envie lui viendra, un jour, et qu'il suivra une impulsion primitive, voir tout simplement passionnée.

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 2:55 am

Hm en passant j'ai du éditer souvent le premier parce que je l'ai écrit très rapidement et j'ai pas eu le temps de tout corriger :/ u_u

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 11:58 am

Haha c'est vraiment beau.. Belle description de l'amour apporté entre toi et Kent.. Une belle façon décrite..

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 1:22 pm

Wow! Je dois dire que là, je suis très impressioné! Très beau texte qui décrit très bien la relation entre nos deux personnages, je pourrais vraiment pas faire mieux!

Sujet: Re: L'étrangère Sam 07 Juil 2007, 3:27 pm

Woah sa doit vraiment mais vraiment être bon quand la personne même impliquer dans le texte vien dire que c'est bon ! Je suis content de pas avoir critiquer lol!

Sujet: Re: L'étrangère Mar 10 Juil 2007, 12:45 am

Isabella devint bientôt de plus en plus sollicitée pour danser. Depuis la fois où elle avait épaté quelques hastanes à l’auberge de Citria, on exigeait d’elle de nouvelles démonstrations. Elle se déhanchait et bougeait harmonieusement la moindre partie de son corps, souple et agile. La gitane dansait avec une grâce innée ; elle se laissait aller et exprimait féminité et sensualité dans chacun de ses mouvements. À chaque fois, elle improvisait et suscitait le désir chez les hommes. Le baladi nécessite de la gracieuseté et de l’expression, ce qu’elle a naturellement. Lorsqu’elle dansait, ses yeux captivaient autant l’attention que ses gestes sensuels ; parfois, elle les baissait sur sa hanche qui roulait, puis les remontait sur ceux de ses spectateurs. Subtil message, mais explicite. C’était une sorte d’invitation, mais l’autre coup d’œil, plutôt farouche, signifiait « on regarde, mais on ne touche pas ». Isabella est l’une des seules à resplendir dans la danse du ventre. Rares sont celles qui lui arrivent à la cheville, exceptées les femmes qui lui ont expliqué cet art. Il y avait tout d’abord sa mère, une danseuse réputée au campement gitan. Certains prétendaient qu’elle vendait aussi ses charmes, mais ce n’était que des hâbleries. Après tout, quiconque ayant partagé sa couche avec la belle Eleha pouvait s’en vanter!
Ensuite, il eut la kheijanne qui faisait partie d’une caravane. Bien que les hommes de leur peuple soient extrêmement protecteurs, Isabella réussit à l’approcher. Elle n’avait que sept printemps lorsqu’elle apprenait à danser. La femme du désert lui inculqua toute sa connaissance et laissa même sa trace sur l’enfant. Derrière sa nuque, à l’abri des regards, il y est inscrit «راقصة». Ce fut un rite long et douloureux, mais cela valorisa Isabella et l’incita à suivre cette voie qui lui était prédestinée. Le tatouage signifiait « danseuse », comme celui que l’étrangère portait à l’intérieur de sa cuisse. Il devait toujours rester secret, car personne n’avait besoin de savoir qui elles étaient. Par contre, elles devaient se connaître elles-même, et c’était à elles de le démontrer.
À Citria, la jeune bohémienne s’en sortait pas si mal. Elle voulait s’allier avec Lyderic et Aristote afin de gagner plus de popularité, mais son indépendance lui manquerait. Les hommes pour qui elle dansait se pâmaient pour elle, la réclamaient, mais Kent déplorerait cette clientèle malfamée. Il savait que c’était à peu près l’unique chose qui lui permettrait de gagner son pain, mais il ne voudrait pas qu’elle séduise de dangereuses personnes.
Saura-t’elle remporter le cœur de gens plus importants? Il y a quelqu’un d’autre… quelqu’un dont personne ne se doute.

Sujet: Re: L'étrangère Lun 16 Juil 2007, 3:10 am

Isabella plongea son regard dans le miroir, se soumettant à un œil sévère. Ces jours-ci, elle se sentait dévalorisée, quasiment dédaignée par celui qu’elle aimait tant. Pourtant, son reflet appartenait à une femme dotée d’une beauté peu commune. À la lueur d’une chandelle, sa peau dénudée était chatoyante et ses yeux noirs brasillaient passionnément d’une étincelle mutine. Ses lèvres colorées d’une teinte rosée appelèrent le baiser, entrouvertes, et libérèrent un soupir alangui. L’homme l’embrassait dans le cou, la caressait et lui démontrait explicitement son désir.

Jamais elle n’avait envisagé de trahir Kent… Se sont ses sentiments désespérés qui la poussèrent à chercher du réconfort ailleurs.
Il ne portait aucun nom. En fait, il s’agissait d’un des clients qui convoitaient assidûment la belle danseuse. Par sa galanterie et ses manières distinguées, il parvint à l’apprivoiser pour devenir rapidement son confident de nuit. Isabella lui parlait de Kent, mais les conseils qu’il lui rendait s’avérèrent venimeux. Épris d’elle, il la voulait pour lui seul et l’éloignait de Kent d’une seule étreinte.
Lui et elle eurent quelques liaisons à l’insu de son amant. De ce fait, elle s’effaçait de sa vie alors que celui-ci se tracassait. Ils venaient de se disputer avant qu’elle ne disparaisse ainsi…
Même si cet homme la faisait gravir des échelons dans l'échelle de la satisfaction, elle n’avait qu’une personne en tête. Kent...

L’homme s’apprêtait à la prendre lorsqu’elle se dégagea brusquement. L’air se raréfiait, elle avait un goût amer à la bouche et son cœur palpitait follement. Jamais elle ne s’était sentie aussi mal. Une sorte d’angoisse l’empoignait solidement, la mettant dans un état de panique incontrôlable. Il tenta de la calmer, lui prenant les épaules pour la maintenir. Elle s’arc-boutait, rigide et tremblante. L’homme la serrait contre lui, sans opprimer ses voies respiratoires, l’apaisant. Le lendemain, elle mit terme à cette adultère avec son client. Ils en resteraient là, tout simplement…

Isabella n’avait plus le courage de revoir Kent. Elle se disait que s’il l’apprenait, il la rebuterait encore plus. Que finalement, s’il fallait lui faire mal, autant le faire indirectement. Autant prendre du recul et disparaître. Elle avait commis l'irréparable et jamais Kent ne pourra le prendre...

Sujet: Re: L'étrangère Ven 09 Nov 2007, 5:01 pm

Une mort symbolique

Isabella écarquillait les yeux pour voir l’Éminence qui la dominait du haut de l’autel. Assise sur un siège inconfortable, le dossier exigeant d’elle une droiture impeccable pour l’écoute, son éducateur déballait son gros discours sur l’Église, ses valeurs et l’importance qu’elle devra prendre dans sa vie. C’était sa première séance, et Isabella s’abreuvait de ses paroles sans vouloir vraiment y croire. C’est à ce moment-là que la peur s’insinua dans ses tripes et elle sut qu’elle s’égarera. Sa rééducation progressait peu à peu, et la candeur mourrait à petit feu.

Une fois, avant de s’abandonner à ce remous, ce sable mouvant qui engloutissait tous les récalcitrants, la Tzigane lança un dernier appel de détresse à ses proches. L’appel fut difficilement reconnaissable, amoindri par les tas de restrictions, presque désespéré.
Kent n’a pas su l’écouter, occupé à la désobéir alors qu’elle lui interdisait de voir sa cousine. Isabella avait besoin de lui, mais l’appel ne l’a pas atteint… Elle n’avait plus peur, à présent, connaissant les tristes desseins qui l’attendaient.

Sa rééducation s’est déroulée en plusieurs étapes. En premier lieu, l’isolement, même si l’intégration dans la société faisait partie de son programme. Isabella préférait ne pas trop se mêler, pour ainsi mieux observer. C’est comme ça qu’elle apprit à reproduire le comportement des autres. Maniérée, elle répétait les mots de courtoisie, s’efforçait de sourire poliment et s’inclinait avec plus d’élégance que certains et certaines. Elle visait la perfection et pendant ce temps, la personne qu’elle était s’enfouissait au plus profond d’elle-même pour hiverner.

La deuxième étape se tiédit. On lui inculqua la lecture ( elle en connaissait déjà quelques notions ) et l’écriture. Du même fait, on lui montra à s’exprimer convenablement, raillant de son dictionnaire ses mots étrangers tels que « señor/señorita ». Elle fréquentait assidûment la bibliothèque et se rendait ensuite au Temple pour vanter ses progrès. Une fausse joie imprégnait les traits de son minois, mais au fond de ses prunelles résidait une grande mélancolie. Une mélancolie qui engendra la hargne, la hargne qui engendra la colère et la colère qui engendra une rage dévastatrice qu’elle réprimait, qui tuait son véritable «elle».

La troisième étape se résumerait en un mot : privation. Privation de nourritures, privation d’amour, privation de sommeil… Elle n’avait plus goût à rien et plus rien n’avait de saveur, même la magnificence de l’ascension du soleil qu’elle contemplait amoureusement. Son seul désir était de traverser cette épreuve. Les moines étaient maintenant ses frères et sœurs et elle les écoutait avec une grande attention. À tous les jours, comme prescrit, elle débitait les prières qu’on lui enseigna. Elle s’éteignait… Sa rééducation touchait à sa fin, mais la belle n’avait plus aucune attente de la vie puisqu’elle ne vivait plus. C’est parfois surprenant de voir combien il y a de rêves mort-nés…

Isabella vivait sans être vivante. Comme une morte ambulante, elle respirait sans sentir, regardait sans voir, mangeait sans goûter…Elle ne reconnaissait plus personne et plus personne ne la reconnaissait. La souffrance qui parvint à pénétrer son être était bien encrée et c’est d’ailleurs ce qui la maintenait en vie. On finira par la libérer… Elle se repentira publiquement de ses fautes et s’éclipsera, comme une étoile filante.

Isabella rejoignit les jardins de Citria où vont souvent les jeunes amoureux transis pour se chuchoter des mots tendres. Autrefois, elle faisait partie de ces chanceux qui s'entrelaçaient sous ses yeux. Elle y déambula, comme une âme errante, hagarde. Avant de mourir, elle jeta un ultime regard à l’horizon. Elle ne pouvait plus se délecter de la beauté de l’ascension du soleil…

« La rééducation est une mort symbolique. L’on renaît Hastane. »

(Prenez note qu'il y a une légère touche de dramatisation, mais c'est du point de vu de mon personne. Si j'irais sur mon point de vu, ça serait sur une note beaucoup plus monocorde et disons que je voulais vous émouvoir un peu Razz

vos commentaires sont les bienvenues!)

Paysan Nbre de messages : 132 Inscription : 11/02/2007

On voit bien que c'est un tournant dans ton personnage, reste à voir comment elle va s'en sortire, ou pas.

J'aime la façon dont s'est écrit, juste que le rose m'explose les pupilles

Sujet: Re: L'étrangère Ven 09 Nov 2007, 9:17 pm

Toujours une aussi belle plume ma chère Titi!

Toujours aussi plaisant à lire aussi... même si la situation est loin d'être plaisant pour elle et pour Kent! Mais bon... Kent va la faire sortir de cet enfer là, inquiète toi pas! Cool

Sujet: Re: L'étrangère Ven 09 Nov 2007, 11:54 pm

Oublie pas j'appuis toujours Kent.. Jsuis toujours Kentifique aux dernières nouvelles.. !!

Sujet: Re: L'étrangère Sam 10 Nov 2007, 5:21 pm

La prochaine fois, s'il te plaît, poste quelque chose qui est en lien avec mon post ou bien ne poste pas du tout.

Errant Nbre de messages : 2 Inscription : 14/11/2007

J'aime. J'ai toujours aimé tes textes/post. farao