Sarkas, Drakan Errant
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| Sujet: L'attaque démoniaque Jeu 23 Aoû 2007, 11:10 pm | |
| Cette histoire commença lorsque les deux frères Saskir et Sarkas ont quittés l’ambre pour de nouvelles études. Ceux-ci se rendirent à prime abord à la cité de sang, des gorlaks. Voyant que leurs mentalités étaient simplement fixées sur Narshoul, ils décidèrent de trouvés un peuple qui était capable de comprendre leur enseignement philosophique. Voulant prêché la parole du messie Sakertossk, envoyé par leur divine mère Aeltisis, ils entreprirent une longue marche jusqu’à la cité de pierre, Citria.
Arrivé sur place, ils commencèrent leur enseignement à la taverne, à l’agora, à tous les endroits chauds qu’ils pouvaient trouvés. Ils voulaient grandirent leurs auditoires, mais peu de personne aimait discuté philosophie avec eux. Ces âmes impurs leurs tournaient le dos, retournaient s’entraîner, forger ou même baiser. Toutes les raisons étaient bonne pour évités sa parler avec ces fameux drakans philosophes prêcheur de l’équilibre et de la neutralité entre les peuples.
Par le pur des hasards, les deux frères trouvèrent un vieux symbole, un pentagramme. Ils décidèrent donc rapidement de faire des recherches sur signe démoniaque. Arrivés à la bibliothèque, ils conclurent que la place la plus sûr pour trouvé l’annonciation des évènements dessus la terre ferme concernant un symbole démoniaque était bien entendu en dessous de leurs pieds. Une fois arrivé en bas, il se firent attaqués par des luthys et des créatures étranges, les écrits qui traitait du symbole était gardés!
Ils partirent donc sur le champ avertir les autorités hastanes, mais toutes se moqua d’eux. Ceux-ci mentionnaient que ce n’était qu’un vieux symbole sans intérêt spécial. Mais le rituel n’avait pas été fait à temps, le démon qui était mort dans ce pentagramme avait laissé des traces de sa personne... un héritage peut-être qui sait? Les écrits qui pouvaient détruire le symbole était désormais gardé, et les morts-vivants étaient déjà en marche...
Après plusieurs lunes d’acharnements, les drakans voulaient rétablir l’équilibre qui avait été brisé lors de l’apparition des éléments démoniaques, deux personnes, San, et la demoiselle blonde, Syl... la décurion, leurs présentèrent un sincère respect et tentèrent de trouver des solutions. Mais, un Hastane ne les aimaient pas, et les assommèrent 5 fois. Insultés les drakans partirent ailleurs.
Un peu plus d’une dizaine de lunes suite à ces évènements, un énorme brouillard se forma en Citria, un tremblement de terre s’en suivis, les drakans avaient donc dit vrai... Les forces maléfiques se déchaînaient, l’équilibre était brisé. Sarkas retourna donc en ville, voulant rétablir l’équilibre encore une fois brisé. Il marche sur sa maigre orgueil et reprenant l’esprit sage de son peuple, alla à bibliothèque... Il annonça que les événements étaient tel qu’il avait prédis. Les forces hastanes tentaient de repousser les attaques...
San, lui-même, et la décurion s’aventura au sous-sol. Accompagnez de deux braves soldats, San et Sarkas partirent dans les recoins de la bibliothèques, combattant les revenants pour trouvé les écrits divins pouvant bannir le démon et trouvé l’élu.
Suite à une brève lecture, Sarkas se rendit compte que l’élu était probablement San dut à la pureté de son âme et de ses paroles. Ils revint à la salle principale annonçant l’indice.
Sur le champ, ils partirent tous au pentagramme. Tous les hastanes formèrent une chaîne humaine autour de celui-ci. Sarkas ouvra le livre à la page 66 et commença l’incantation... Les dizaines d’hastanes présent en plus des 2 drakans récitèrent les paroles de cette longue incantation de plusieurs pages... (Je ne l’ai est plus...)
Après plusieurs minutes, le groupe s’entant leurs âmes purifiés termina de récité cette incantation.... San, futur et probable élu s’avança pour terminé les paroles, avec une formule d’Odéon que selon le pacte de sang, le démon se devait de retourner dans les entrailles durant la période indiqué par le rideau de sang se levant sur les sombres maléfices.... Le peuple était sauvé.... mais pour combien de temps? San devra faire ses preuves pour démontré qu’il est bel et bien l’élu.. et ce, sous peu, lors d’une confrontation au lieutenant des armés envoyés sur cette cité.... D'ici là.. Les Drakans étaient repartis à l'ambre pour plus d'études, les légionnaires restaient à la bibliothèque....
(On t’aime Mephisto, si quelqu’un peut lui transmettre par pm sur le fofo de Teilia, merci (mon net fonctionne mal)) (p.s: Désolé des fautes, j'ai été assé rapide pour écrire le tout.....)
Dernière édition par le Ven 24 Aoû 2007, 7:00 pm, édité 1 fois | |
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Anna Delacours Errant
Nbre de messages : 33 Inscription : 23/08/2007
| Sujet: Re: L'attaque démoniaque Jeu 23 Aoû 2007, 11:23 pm | |
| Anne n'y croyait toujours pas. Un simple hasard, sans aucun doute.
On se tuait à se dire que ce n'était pas de sa faute, mais le fait qu'il y ait cette soudaine brûme et cette invasion après que des monstres l'aient attaqué à la bibliothèque semblait pas assez hasardeux à son goût. Des événements qui ne se seraient sans aucun doute passé qu'une fois sur mille...
- Le chef veut mettre Citria sans dessus dessous.
Anna secoua la tête. Un homme, musclé et séduisant, qui l'avait d'ailleurs soigné de ses blessures plus tôt mais qu'elle avait bêtement oubliée le nom, parlait de l'événement à la bibliothèque. Anne l'avait écouté à moitié, préoccupée par l'angoisse et la fatigue. L'idée que Citria subisse une seconde attaque l'effrayait plus que tout, mais elle était forte. Elle avait encaissé pire dans le passée.
L'attaque des morts étaient passés. Heureusement. De toute façon, Anne n'avait pas vu grand chose. Elle était restée à la taverne tout au long, trop faible et terrorisée pour s'aventurer dehors. Elle n'avait donc rien vu, si ce n'était qu'elle avait vu un cadavre reposer en plein centre de la rue. Une vision d'horreur qu'elle tâcherait éviter.
Anna se levait. Elle n'avait pas du tout envie d'une discussion sur la pluie et du beau temps, pas après tant d'événements. Elle se levit, salua ses nouveaux aspellors et s'avança vers la porte de sa chambre. Elle croisait les doigts.
- Pourvu que tout soit terminé... Pourvu... | |
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