J'aimerais savoir si vous pensez que mon bg va être correct pour l'inscription:
Drayk comme à tout les soir regardait par la mince ouverture qui lui permettait de voir dehors. Il était songeur, regardant les étoiles qu’il entrevoyait. Le bruit des pas des moines passant dans le couloir le fit revenir à lui-même. Il tourna la tête pour regarder les différents textes, manuscrits et livres sur son petit bureau. Il soupira quelques peu, puis il prit un morceau de parchemin en apparence vulgaire. Éclairé de la simple lueur de la chandelle, il prit sa plume et la trempa dans l’encre. Il se mit donc à l’ouvrage.
Mère, vous dites vouloir connaître mon histoire du début? Alors si tels est votre désir, je vais vous la raconter. Il y a de cela 14 ans, père et toi, vous m’avez apporté aux marches du monastère. Que ce soit parce que j’étais une erreur ou que vous n’aviez pas assez d’argent pour me faire vivre, peu importe, les conséquences sont les mêmes. Les moines ont bien pris soin de moi, tous ont été comme une grande famille pour moi, n’ait pas peur pour cela. Je n’ai pas été maltraité, mise à part les quelques coups de balais que j’ai reçu du frère Audin, mais tous cela, je l’avais mérité.
Pendant les 5 premières années de ma vie, c’était un peu comme un jeu, les prières, les corvées. J’étais avec d’autres enfants qui semblaient tous sans parents. Les moines parlaient souvent d’orphelin, mais je ne comprenais pas encore l’importance de ce terme. Mais, passé cet âge, cette vie me tuait. Le silence qui régnait toujours en maître était pesant, la solitude m’enveloppait et surtout, je rêvais d’aventure, de voyage, de gloire et de nouveau, mais le prêtre général disait que ce n’était que sottise, et que je ne devais pas rêver. Il parlait souvent que j’étais corrompu, que je commettais des pêcher.
Étant plus petit, je ne supportais pas d’être calme, une vrai petite tornade. J’adorais bouger, un peu trop pour le frère Audin. Le frère Audin est le moine qui a pris soin de mon éducation tout au long de ma vie. Un très grand homme, d’une gentillesse remarquable. À mes 13 ans, j’ai eu une dispute avec un des enfants. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi il voulait toujours être en compétition avec moi. Ce jour là, j’ai troublé le calme du monastère. Je me suis battu contre ce garçon et j’ai perdu. Je me rappellerai toujours de son visage triomphant, me regardant comme si j’étais un moins que rien.
À partir de se jours, je me suis juré qu’un jours j’allais le battre. Un an plus tard, les moines m’envoyait faire les course pour le repas, je devais donc aller dans un village plus loin. Rien de palpitant jusqu’à ce qu’un voleur me vole l’argent du monastère. Je ne pouvais pas rentré les mains vides, mais qu’est-ce que les moines allaient pensé de moi? J’ai donc été chez un paysan. En échange de mon travail, il me donnerait des légumes de son champ. J’ai entreprit de l’aider et c’est là que ma vie a beaucoup changée. J’ai appris à parler avec cet homme, à le connaître. C’était un grand gaillard d’à peu près 6 pieds deux, très musclé pour son âge. Il paraissait dans la cinquantaine. Il était un ancien soldat de la légion Hastane. À la fin de son service, il voulait retrouver le calme des doux villages hastane.
J’ai vu en lui, le moyen parfait pour pouvoir battre ce garçon au monastère. Chaque jours j’allais chez lui, il m’apprenait à me battre et je l’aidais aux champs. Il était un peu comme un père pour moi, il n’avait pas de fils, par conséquent j’étais également un peu comme son fils. Après 2 ans, arrivé jusqu’à maintenant, j’étais donc prêt pour battre se garçon. Ma haine était très forte se jours la, et c’est à l’arme que nous nous sommes battu. Quand je lui es proposé le défit, il était là, à sourire. Il était très confiant et il excellait dans tout. Cela faisait toute sa fierté. Mais se jours la, se fut différent. Se jours là, je réussi à le battre à plate couture. Quand il se retrouva par terre, il n’avait pas de blessure apparente, mais la plus grande blessure était celle que je venais de lui faire au niveau du cœur. Celle que le temps n’efface pas facilement, celle qui ne tue pas un individu mais qui peut le faire souffrir toute sa vie.
Le prêtre général était furieux, il sortit du monastère courroucé. Il était entrain de parler avec un noble de la cité. Le noble n’avait pas l’air contrarié, il souriait même. Le prêtre me criait des bêtises et dit finalement que j’étais expulsé de son monastère. Le noble se contenta seulement de dire : « Je vais le prendre, il sera utile en ville »
C’est ainsi, mère, que je suis arrivé en ville. Le noble m’a dit qu’on recherchait des templiers dans le clergé et m’a fait entré dans celui-ci. J’espère seulement que c’est ma vrai vie qui commence. Celle que j’ai toujours voulu.
Je ne t’en veux pas maman. Un jours, je viendrai te voir, et à se moment la, je serai couvert de gloire et tu pourras enfin être fière de moi.
Il calligraphia soigneusement son nom
Drayk Luthor, futur templier
Il souffla rapidement la chandelle, et la noirceur envahie la chambre.