La joie ne fait pas partie de toutes les familles d’un monde, l’histoire qui suit reflète donc une réalité troublante de quelques péripéties malchanceuses.
Si vous tenez tout de même à connaitre le passé de la jeune Lyla, assurez-vous donc d’être bien assis sur votre chaise.
Mais tout d’abord, nous verrons une brève description physiologique et psychologique de cette dernière et par la suite suivra le bref résumé de l’histoire de Lyla.
Nous avons donc une demoiselle qui est très douce et proche des gens, ceux-ci passant parfois même avant sa propre personne.
Aimant son prochain, ce qu’elle déteste se sont les arrogants et ce qu’elle aime avoir en tout temps est le respect.
Elle peut paraitre parfois têtue, bien qu’elle prône l’aide et la gentillesse avant tout.
Contrairement à certains qui n’aiment peu les autres peuples des landes, elle semble bien ouverte à leur acceptation dans la cité et dans les cinq sphères.
Nous allons également voir qu’elle est très honorable au niveau familial, après tout, une parole dite est une parole pensée.
Elle vient d’une famille traditionnel et ses pensées peuvent souvent l’être, pourtant elle doit s’adapter envers le prochain jour puisqu’elle recherche tout de même un meilleur lendemain.
Au niveau physique à présent, nous verrons une jeune femme au début de la vingtaine.
Sa chevelure noire et bien longue est resplendissante tout autant que ses yeux d’une couleur noire jais.
Par contre, on remarque un regard trouble, souvent absent et lunatique puisqu’elle ne voit que partiellement.
Son corps est également bien élancée et svelte, la musculature n’étant pas ou bien peu développé.
En outre, elle est tout de même d’une petite taille, mesurant près du mètre soixante, son poids est donc celui d’une plume.
Lyla est née dans un milieu de vie campagnard, mais loin d’être aussi pauvre que des paysans.
Le père étant un grand chevalier de la foi, protégeant les vertus du clergé de Citria.
Ainsi donc, il n’était qu’à la maison que bien rarement pour s’occuper de sa femme.
Quand le jeune bambin vue le jour finalement, la mère mourut les jours suivant, trop affaiblie.
Le père dû donc trouver une âme assez charitable pour vouloir s’occuper qu’un jeune bambin nouvellement née.
Mais pour l’homme, la perte était très grande.
Ne sachant si cela était la volonté de son Cilias telle une épreuve et s’il devait aimer l’enfant pour lequel sa femme avait rendu l’âme.
Bien que son propre sang coule tout de même entre les veines de sa fille, la chérir lui était difficile puisqu’il n’était pas présent à ses côtés. Et les années passèrent bien rapidement.
Environ dix ans plus tard, Lyla se fait enseigner divers matières sous la tutelle de sa nounou.
Mais lors d’une chute à cheval où elle se cogna violement la tête, elle perdit la vue partiellement.
Pour en décrire d’avantage la situation, elle ne voit qu’en noir et blanc et cela qu’à un ou deux mètre près et encore
Plus loin de ce champ de vision réduit, tout es ombragé de noir.
C’est depuis cet accident qu’elle fut d’avantage encadrée à la maisonnée, il était évident que l’écriture et la lecture ne serait plus pour elle aussi.
On devait lui lire à haute voix chaque livre d’étude ou bien d’apprentissage possible.
Mais se qui la sauva du suicide, à cause de cette perte de vision, était les voix impénétrables d’Odéon.
Au milieu de son adolescence, la continuité des malheurs de Lyla n’arrêta pas encore.
Dans une soirée comme les autres, lors de la saison de l’abysse, l’oncle avoisinant la maisonnée de la famille vint en visite en étant quasiment saoul mort.
Comme résultat, il força l' entrée des lieux et tenta de violer la jeune Lyla. Mais un jeune homme venait de passer par là au même moment et avait vue cet homme entrer d' un pas titubant et entendu des cries à l’intérieur .
En grande bravoure, il vint à son tour à la maisonnée, a vérifier si tout allait bien.
Mais au moment où il traversa la porte, il vit une jeune demoiselle crier au meurtre avec un homme qui lui déchirait les vêtements hors du corps avec des rires carnassier.
Sans attendre une seconde, il sorti une épée de bois pour lui frapper en pleine tempe, ce qui l’assomma sur le coup.
La jeune fille en resta marquer longuement et qui sais a vie..
Quelques années plus tard, à l’anniversaire des vingt ans de sa fille, le père offrit un gage de seconde allégeance à celle-ci.
Cela semblerait peut-être brusque de sa part, mais le cadeau en question était un étalon noir jeune et fringuant.
Pour le père, confronter sa peur des chevaux depuis l’accident de sa fille était une épreuve parfaite pour ses vingt ans.
D’autant plus qu’avec la vision bien réduite de sa fille, en faire au gallot serait bien évidemment impossible sans accompagnement.
On pouvait bien voir qu’elle était hésitante à l’approcher les premiers temps, puis elle s’occupait de plus en plus de lui au fil des mois.
Mais elle ne le montait pas encore, la crainte de tomber à nouveau restant encore là dans ses souvenirs…mais un lien entre la jeune fille et la bête de plus en plus évident..
Ses vingt et un ans approchaient d’avantage chaque jour, son indécision sur la sphère à joindre pesait sur sa conscience.
De plus, le seul exemple qu’elle eut dans sa vie et qui l’aida à surmonter les divers petites misères restait la religion.
Pouvait-elle ainsi faire honneur à son père qui était un grand paladin ? Quoi qu’il en soit, l’honneur familial devait se faire préserver avec les générations.
Elle décida donc de quitter son monde qui s’apparentait à être la maisonnée et les alentours, pour aller dans ce qui était la métropole Hastane, Citria.
Ce n’est qu’une fois sur place qu’elle restait perdu, où devait-elle aller et qui devait-elle voir ? Ses pensées s’arrêtent brusquement jusqu’à l’instant précis où elle se cogna dans le dos d’un garde de l’Armée…
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Mar 17 Mar 2009, 11:45 am