Chapître Un - Découverte d'une maladie.
Le vent soufflait tout doucement, les festivités de soirée se fesait constament à l'auberge de Citria. Pourquoi? Simple, tous pouvait entendre le grand rire gras du Colonel Feodor Comptois. Homme de justice, de loyauté et surtout d'honneur. Haec, cet hastane aux mille désirs, aux mille charmes, aux mille répliques était l'un des favoris de Citria. C'était tel le gentilhomme de Citria, nisi très riche, ni même beaucoup aspellor avec lui. Cependant, il avait un coeur que nul n'avait, un coeur vierge, pur et surtout très saint.
Durant la soirée, plusieurs parlaient, d'autre buvaient, d'autres s'amusaient à se faire rire mutuellement. Feodor lui était silencieu, une main à son coeur, il avait des pincement, mais n'osait pas en parlé d'avantage. Gardait fier allure et gardait toujours son air courtoit comme à son habitude. La soirée passa, et la douleur était pesante à son coeur. Qu'était-ce cette douleur qui le rongeait de l'intérieur? Un malaise? Une destruction de l'intérieur? Les floçons d'hiver était bien moult impréssionnant à cette heure si tardives et mourrante.
Une chose était sur, l'homme sentait que son état n'était pas des plus normal. Il se relevas et alla acquérir une chambre à l'étage. Puis, il monta marche par marche avec difficulté, chagrin et surtout avec misère de se croire déjà entrain de mourrire dans cette vie des plus ennuyante. Le teint pâle pâle comme si un fantôme il était rendu, même pas rendu en haut des marches qu'il perdi connaissance et déboula les marches.
Les hommes de Feodor se leva rapidement pour aller voir l'état de leur compatriote. Qu'était-il arrivé à Feodor?! Nul ne le savait, était-ce les blessures d'un vieu duel qui fesait surface? Personne ne pouvait décrire la situation présente que par un air étonné et confus. Qu'arrivait-il à se bon vieu gentilhomme de Citria, était-ce la vieilesse? Un coup de fatigue? Un verre de trop qui as mal été digérer par l'homme? M'enfin, que de questionnement se fesait aller de gauche à droite. Lui, il ne le savait même pas et tombait dans l'inconscience total.
Quelques mousquetaires encore fervant de se blason, de cette liberté de la justice allait escorter le corp de Feodor vers le centre de soin. Vivement, qu'il soit remit sur pied quelques s'écrira ! Mais, tous savaient que Feodor avait bien beau avoir fière allure, rarement il acceptait la défaite. Ni même, de voir autant de courage disparaître pour la simple bonne raison. Qu'il fallait un rêve, un désir de vie qu'il allait être continuer. Dieu sait se qu'il adviendra de cet homme dans l'insconcience?
Une fois arrivé au centre de soin, les mousquetaires posa le corp de Feodor sur le lit. Quelques un commençait à fronçé les sourcils et devenir mélancolique face à une tel situation. Qu'arrivait-il à se Colonel? Si preu, si bon, si fanatique de Citria. Il ne pouvait pas céder ainsi dans la grande sans avoir dire un mot concluant qui allait être un désir. Un désir de bonne volonté. Feodor Comptois, quel homme, plusieurs murmurait le nom du seigneur pour que celui-ci lui vien en aide, d'autre demandait au soigneur d'aider le pauvre Colonel, qui était dans un piêtre état, surtout avec son teint très pâle.
Après quelques heures, de test, de soin intensif et surtout d'alchimie fait sur le corp de Feodor. Le soigneur alla dévoiler une nouvelle aux hommes qui allait en faire désespèrer plus d'un. Le soigneur alla affirmé que cette maladie était une maladie très rare sur Teilia, peu était atteint de celle ci. En moyenne, elle abaissa l'espèrance de vie de moitier. Déjà, qu'un Hastane ne vit nisi très vieu, alors imaginer la moitier? Il va s'en dire, que plusieurs hommes commençaient à s'énerver dans le centre de soin. Pourquoi lui? Pourquoi nisi un autre ?! S'écrira un bon aspellor de Feodor.
Chapître Deux - Un Couché de Soleil magique.
Déjà, quelques jours Feodor était au centre de soin. Il avait reprit conscience, mais son était été piêtre et sans relache. Il ne pouvait pas aller très loin, ni même se satisfaire d'aller demandé une aide quelconque pour chasser, ou aller mettre la patté aux Brigand, comme à son habitude. Il était sur d'une chose, il savait que son heure allait arrivé dans pas très longtemp. Son coeur battait de moin en moin fort avec la fervance de jadis. Pourquoi tant résister à la tentation de se laisser allé, et mourrir comme il se doit? Feodor, se demandait souvent se qu'il allait arrivé après la mort. Qu'allait-il être le début de la fin? Une rennaissance quelconques? Il l'espèrait réellement.
C'est alors, il sortit du centre de soin, avec ses habit naturel de mousquetaire, main à sa garde à son habitude, et décida d'aller en haut du plus haut batîment de la ville pour admiré le soleil qui se coucha tout doucement. Il avait un de ses couleurs à tout rompre, qui en ferait pleuré plus d'un, car la beauté de se couché de soleil était inégalable. Droit et fier devant le soleil qui se coucha face à lui, le coeur de l'homme continua de pompé de l'intérieur rapidement, ses yeux bleutés plissé vien prendre une teinte des plus démoraliser, une larme en sortit pour caressé le long de sa joue d'un air des plus triste. Mourrir ainsi, pur et jamais il n'aura connu l'amour de sa vie.
En fait, il avait connu l'amour de ça vie, mais elle n'était pas intéressé par lui. Un nom, lui vennait à l'esprit sans relâche. Une dame qui avait été pareil comme lui et prônait les valeurs de Citria. Anais Alvenes.... Haec, il avait été son mentor et surtout un très bon aspellor, des fois il partait la nuit pour aller crée de la poésie à la fenêtre d'Anais, tel un fou amoureu fanatique qui attendait que la chance de sa vie pour enfin, tombé amoureu à jamais d'une femme. Continua de rester de marbre et profité de la dernière heure qui lui était sonné. Aucun homme, aucune femme, ne pourrait se souvenir de Feodor Comptois, car en réalité...
Feodor n'était qu'un masque, une couverture, dans la mort. Il aurait gardé son secret. Se pauvre Lance Aleister, styliste et grand ingénieur de la liberté. Il avait participer à nombreuse arrestation, délit et surtout il avait été une raison remarquable et utile de Citria. Malgrés, que peu n'avait vue son utilité, les Archiviste de Citria eux l'avaient vue. Et s'avait qu'il était un homme d'une loyauté que nul n'aurait pu égaler dans se temp d'ombre, de dévastation et surtout de mélancolie. Feodor alias Lance, n'était plus qu'un rêve détruit de par ses mauvaises conduite. Il avait été né maudit, et voilà que le temp le ratrappait, la vieilesse fesait que le corp était moin résistant, et pouvait céder à rien.
Infiltré les cents-pointes avaient été ça mission. Vainqueur, il avait été. Cependant, Vainqueur il resteras dans le secret et encore une fois, il aura fait un grand coup d'état de par ses exploits. Feodor même mort aurait aider Citria à devenir meilleur. Il avait sacrifier sa vie, ses passes temps, ses désirs, juste pour le bon fonctionnement de Citria. Il avait détruit sa propre réputation et vie pour aider Citria à mieu prospérer et voilà, qu'il allait mourrir de par la main de son coeur.
Une faiblesse le prit, Feodor tomba à genou avant de venir s'écrouler contre le par terre, un sourire aux lèvres, le chapeau qui tombait à ses cotés. La cape qui recouvrait la moitier de son corp. Visiblement, l'homme avait bel et bien succomber à sa maladie. Une crise de coeur sans doute, mais il était sur d'une chose, il avait donné son sang, son honneur, sa liberté, et surtout sa vie pour Citria. Maintenant, il n'était que rendu un piêtre souvenir, surment oublier des Hastanes...