Une Histoire de service [BG Trebal]

Une histoire de service :

Attention Lecteur, car la suite de se texte contient une histoire qui au abord tragique ne l'est point au finale. Ne te trompe pas Lecteur, si les circonstances de ce que tu lira te semble condamné celui qui la vécu à la rage et au vice, il n'en est rien, aussi tient toi le pour dit.

Un triste commencement:

Il est un fait que certaine personne commence plus aisément dans la vie, la noblesse, par exemple, ou les riches. Il est ainsi de la volonté d'Odéon. Aussi en est-il de se volonté d'offrir des épreuves à d'autre. C'est ainsi que lors de la naissance de Trebal, sa mère mourut. Amélia était connu comme une femme bonne et honnête, en plus de possédé une beauté peu commune. Elle était la fierté de son mari, Julien Morelle, un honnête rédempteur de la Garde. Julien vécut très mal la mort de sa femme et ce fut dans le déshonneur de la boisson et des tavernes qu'il épancha son chagrin. Il s'occupa de Trebal en bon père toutefois, jusqu'à l'age de 8 ans.

Comme nous le disions plus tôt, certaine personne se verront offrir plus que leur part d'épreuve et d'événement triste d'Odéon. Il en fut ainsi pour Trebal, lors d'une patrouille Julien Morelle vit son capitaine recevoir une somme importante venant d'un individu peu recommandable. Julien vit de la corruption lorsqu'il aura du voir une perception d'amende et, hélas, décida d'avertir le Marechal des actions du Capitaine. C'est ceci qui nous amène au duel que fit Julien Morelle contre son Capitaine qui l'accusait de vouloir salir son honneur. Comme le Capitaine n'avait rien fait de mal, il sortie vainqueur de son duel, son honneur lavé par la divine justice d'Odéon, mais encore une fois, Odéon choisit de mettre une épreuve sur le chemin de Trebal dans la lame du Capitaine, qui sans le vouloir, ne pu retenir son coup à la fin du duel et pris accidentellement la vie de Julien Morelle. Accablé par la honte d'avoir tuer un homme, le Vieux Capitaine, fit la seul choses honorable qu'il pouvait. Il prit donc Trebal sous tutelle, mais, incapable de vivre sa honte publiquement, rendit ses armes au Marechal et quitta la ville.

La vie de Trebal fut austère jusqu'à ses 18 ans. Le vieux Capitaine prit soin de lui apprendre les rudiments de l'art du combat. Sa vie se partageais donc entre entrainement et prière, car le Vieux Capitaine priait souvent pour obtenir son pardon. Le Capitaine expliqua la voix d'Odéon à Trebal, lui lisant souvent les sainte écritures. Puis à 18 ans, Trebal revit la Blanche une nouvelle fois pour y faire son second serment. Il trouva la Blanche magnifique l'ayant quittez depuis dix ans et se promis d'y revenir un jour.

Le Capitaine tomba malade au retour de son chemin. Trebal passa donc les 4 dernière année a prendre soin de son mentor. À la veille de sa mort, la Capitaine lui dit :

-Trebal, tu es un homme et tu as pris soin de moi, comme un véritable fils envers son père. Hors, si la colère gronde dans ton cœur... aujourd'hui sera le dernier jour pour te vengé de moi qui ai pris la vie de ton père. Car demain je le sent, Odéon t'aura volé se droit en me rappelant à lui.

- N'ayez crainte mon Tuteur, car je n'ai ni colère ni hargne dans mon cœur, en vérité vous avez mener une vie exemplaire. Vous avez servie votre pays, puis lorsque votre Cilias a mis une épreuve sur votre route, vous avez garder votre honneur en m'élevant comme votre propre fils et servit votre Seigneur en l'honorant de prière à chaque jour. Ce fut Odéon qui rappela mon père auprès de ma mère, et votre épée n'en fut que l'instrument. Mourrez en paix, car aucune tache ne souille votre honneur. J'irai après votre mort à la Blanche cité pour mettre votre corps en terre, et me mettrai moi même au service des vertus que vous m'avez apprise, si l'on veux bien de moi afin de servir selon mes maigres talent.

-N'oublie jamais Trebal... que la fin ne justifie pas les moyens ... elle doit les valoir.

Et le lendemain, comme il l'avait senti, le vieux Capitaine mourus,en paix. Trebal fit comme il avait dit, et son aventure, comme sa vie de service, commença en Hastanie.

Citria sous un nouvel angle :
(Progression du niveau 1 à 20 environs)

Trebal parcourrait maintenant la Blanche depuis quelques semaines. La mort de son mentor et tuteur l’avait affecté, mais Trebal était un homme calme et modérer aussi son deuil fut donc a cette image. Depuis son retour, il voyait que la Blanche avait bien changé Estraban avait été fort a l’œuvre depuis les 4 dernière années et les citoyens de Citria semblaient avoir oublié leur devoir envers leur Dieu.

Depuis son arrivé Trebal avait rencontré des hommes et des femmes avec de fort caractère. Il pouvait penser à son Éminence, le Compte Gilbert Gondemard, un homme froid et fort, un fidèle serviteur d’Odéon. C’était cet homme qui l’avait accepté comme serviteur pour le temple d’Odéon. Un autre était sans doute Logan Malory, un rédempteur au caractère presque aussi fort que son orgueil. Même s’il semblait parfois un peu trop orgueilleux, cet homme était un bon croyant et surtout un homme a qui l’on pouvait se fier. Si Trebal avait peu d’ami en Citria, il était sur de pouvoir compté sur Logan. Le Capitaine de Châtillions était aussi une femme de forte. Servant son pays avec honneur, elle avait tous de suite chercher à recruté Trebal afin de lui faire rejoindre la garde de l’aube. Bien qu’il ne sache pas vraiment si cette vie était faite pour lui, il pouvait sentir les avantages qu’une formation militaire pourrait lui donner afin de servir Odéon.

Malheureusement, Trebal avait aussi pu voir la corruption du peuple. Leur manque de foi était devenu flagrant à ses yeux, trop longtemps les dirigeants de l’Église semblaient avoir toléré des manquements, mais Trebal avait bonne espoir que le nouvel Archevêque réglerait la situation. Le roi, lui-même, devrait bientôt se rappeler de la place de l’Église dans sa ville, sans quoi il subirait la colère de son dieu. Cela, Trebal pouvait le sentir. Le moment était grave, et le vice, principalement provenant de l’ouverture de la Neutre, Tyrimar, devrait être combattu par les fidèles d’Odéon… Si Citria avait gouté à la paix, elle devrait se préparer à reprendre la sainte croisade et Trebal savait ce qu’il fallait afin de se garantir la victoire. Il ne lui restait plus qu’à retrouver ce qui avait été perdu, et pour cela, sa quêtes le menait à rencontré un preux chevalier d’Hastanie, Sephora d’Argon. Il comptait sur Logan afin de lui avoir un rendez-vous, et l’affaire était urgente…

Une nouvelle quête s’offrait à Trebal, et il tâcherait de s’en montrer digne.

La quête commence :
(Progression du niveau 20 à 25)

La rencontre avec le Chevalier d’Argon n’avait pas donné les résultats que Trebal espérait. Ce que Trebal cherchait, le Chevalier l’avait perdu… et peut être même détruit, mais cela rien n’était moins certain. Il restait toujours l’espoir, aussi mince soit-il de pouvoir retrouver celui de Loreile. Ayant eut deux jumeau, il était fort possible que l’un d’eux n’en soit devenu le gardien. Sinon, la tâche serait plus ardue. Il faudrait convaincre l’Archevêque de demander au Cardinal l’autorisation d’ouvrir le sépulcre de la dame. Et encore, certain rumeur disait qu’elle demeurait au fond d’un lac, dans les bras de son époux. Toutefois, Trebal n’avait aucune crainte, une fois celui de Loreile retrouvé, le secret des autres serait révéler.

Citria courrait toutefois un autre danger. Logan Malory et quelques autre hommes avait libérer des gueux des 100 pointes afin de libérer le Capitaine de Chatillon. Toutefois, Trebal craignait que la prochaine demande des ravisseurs ne soit plus difficile à remplir, et que cette fois, quelqu’un y perdrait la vie. Trebal espérait que les hautes autorités feraient quelque chose. D’abord, il faudrait récompenser ses hommes à leur juste mesure, car il avait fait avec honneur leur devoir, prenant des décisions qui s’imposait, au moment ou il s’imposait. Ensuite, le Royaume Hastane devait punir, de manière spectaculaire, les ravisseurs, sinon il recommencerait.

La roue du destin était en marche, et Trebal croyait plus que jamais qu'il était urgent de les retrouver tous.

L’appel du Guerrier :
(Progression du niveau 25 à 30)

Couvert de sang, Trébal regardait autour de lui, d’ailleurs n’eut été de sa foi envers Odéon, il aurait deja cédé à la panique. L’air devenait irrespirable dans la salle, l’odeur de sang, du sien et de celui de ses ennemis puant la charogne à des lieux à la ronde…

En vérité, quelle est la différence entre un enfant et un homme? L’âge seul ne suffit pas à expliquer ceci. Une bonne manière inclurait surement l’expérience, et en ce qui concerne les Hastanes, l’expérience de la guerre bien sûr. Cette envie de combattre, Trébal, la nomme l’appel du guerrier, il la définit comme une rage provenant du profond du cœur Hastane, cette rage pousse les Hastanes à choisir une cause qu’il désire défendre et se battre pour elle. Voilà ce qui nous ramène au début de notre présente histoire.

Un appel venant de la première mairesse de Tyrimar était parvenu aux quatre coins de Teilia. Un appel afin de mobiliser des troupes, non pas au nom de Tyrimar, qui demeure neutre bien sûr, même dans cette histoire… pour lancer une attaque sur l’ancienne ville des Drakans. Les Drakans eux-mêmes ne voulaient pas de cette attaque. Toutefois, une poigner d’homme allait partir, majoritairement des Hastanes et Trébal, refusant de se commettre dans la couardise pour la seule raison que le combat semblait perdu, décida qu’Odéon aimait les braves défendant les causes, même celle perdue. Aussi, armée d’une épé en bois, de son livre de prières et surtout de sa Foi, Trébal répondit à l’appel du guerrier. Son bon aspellor Logan Malory était lui aussi de la partie. C’est donc ainsi que quelques braves hommes mirent le pied dans la vieille cité conquise.

La ville était déserte. À perte de vue les murs étaient vides. La troupe voyageait bien sûr de manière prudente, sachant les Ophidients perfide et fourbe, mais jusque ici. Rien ne semblait indiquer que la ville était en des mains ennemies. Le groupe fit donc le tour une ou deux fois de la ville en entier, mais rien n’a faire, la ville était calme jusqu'à ce que … Le son d’un cor retentit. Sortant de tout les coins des dizaines de monstres déferlaient en vague sur le groupe. Aussitôt le premier mort dans les rangs ennemis, Trebal, d’un mouvement de pied rapide, saisit l’une des haches des monstres et se mis a combattre avec. Priant Odéon et ferraillant en même temps. Le groupe était victorieux à chaque vague, mais les monstres semblaient plus nombreux chaque fois. Le groupe finit par se regrouper dans un sous-sol non loin du mur d’enceinte. Là, le flot incessant d’ennemis pouvait être contenu, du moins un certain temps. Couvert de sang, Trébal regardait autour de lui, d’ailleurs n’eut été de sa foi envers Odéon, il aurait deja cédé à la panique. L’air devenait irrespirable dans la salle, l’odeur de sang, du sien et de celui de ses ennemis puant la charogne à des lieux à la ronde…

Trébal vit une alors une épé dans son esprit. Elle semblait forgée dans un métal si pur et si parfait que rien ne pouvait la surpasser en ce monde. Trebal compris que le combat devait prendre fin. Danarielle, lui était apparu à ce moment afin de lui faire comprendre que la troupe avait gagné cette bataille, mais qu’il ne pouvait obtenir la victoire en ce jour.

Puis Trebal vit la lame qui s’approchait de sa tête. Il fit une dernière prière et… in extrémis, Logan vint se placer, l’arme au point entre la lame et Trebal, le sauvant d’un coup fatal. Trebal se releva rapidement, pria Odéon de soigner la blessure de Logan puis l’aida à en finir avec le monstre. Thomas Garath fit un portail afin de les libérer de cette salle dont l’odeur devenait insupportable.

Hélas, deux personnes ne pure le prendre et la troupe du, accompagné de plus de membres, combattre encore afin de les libérés, mais cela est une autre histoire et celle-ci s’achève deja.

Un premier ennemi sur la route :
(Niveau 30 à 38)

La majorité du temps avait été passé dans la bibliothèque de Citria. Trebal y rédigeait ses sermons qu’il délivrait au peuple lors des messes qu’il donnait. Bien qu’humble dans cette tâche, le jeune serviteur espérait que sa ferveur ne passe pas inaperçu. Il avait commencé à travaillé vers la rééducation des gens de Citria et la tâche n’était pas aisé. Il avait récemment rencontré Aldrick Celestar. Cet homme avait sciemment refusé de se joindre au prieur lors de la première messe qu’avait donné Trebal. Trebal lui avait donc rappelé l’importance de prendre le temps de prié le créateur, toutefois, la réputation du Sieur Celestar lui laissait croire que celui-ci l’avait simplement écouté d’une oreille polie avant de s’en retourné vers les chemins qu’il suivait déjà.

La rencontre avec le Comte d’Aragon avait été plus mouvementée. Bien que toujours polie avec, Trebal avait bien faite comprendre au Comte que son statut ne pouvais l’absoudre de vénéré Odéon comme il se doit. Trebal avait même été plus loin, en lui rappelant qu’il ne lui suffirait pas de dire qu’il avait servie l’Hastanie au jour de sa mort, car si servir le Roi était honorable, cela ne valait en aucun temps le fait de servir son Cilias. Trebal était convaincu d’avoir vexé le Chevalier et Senechal de la Cité, mais seul le salut de son âme comptait aux yeux du serviteur. Trebal appréhendais la rencontre avec un autre héro d’Hastanie, le chevalier Séphora d’Argon, qui lui plus que tout autres, semblait aussi oublié son devoir envers le Seigneur Solaire. Trebal ne reculerait devant rien pour que la Foi et la piété reprenne la place qui lui revenait dans la Cité Blanche de Citria.

Mais ce qui marqua davantage cette partie de la vie de Trebal fut un Nargolith du nom de Maas. L’homme avait tenté de faire évader Hyara Myriakis. Terrible erreur, car maintenant que leur connaissance était avéré, cela viendrais peser dans la balance et le châtiment de l’Archevêque devrait être sans pitié. Libéré par le roi qu’elle avait été, et sous la tutelle du Chevalier d’Argon, si Myriakis devait venir à se sauvé, elle sonnerait le glas de ce Héro d’Hastasnie, et la colère du roi serait terrible. Trebal avait donc voulu voir le Nargolith qui avait par ses actions insensées, donne un grand coup de tisonnier dans les flammes de la justice. Ses actions ne pouvaient pas réussir, Odéon n’aurait pas permit qu’une femme aussi dangereuse pour son peuple ne se retrouve en liberté et de fait, sa tentative avait échoué. Trebal avait donc réussit à voir Maas par l’entremise de son aspellor de toujours, Logan Malory. Lié par son devoir envers le Clergé, Trebal avait tenté de le rééducqué, mais c’était peine perdu.

On avait annoncé que la Sombre avait payé la dette de Maas et ce fut ainsi que Trebal le recroisa en la Neutre, alors que Trebal rentrait vers la Blanche, n’eut été de la présence d’un étrange Nargolith citoyen de la Neutre, qui avertit Trebal du danger, tout indique que Maas l’aurais suivit et attaquer, mais Odéon protégea son serviteur et lui envoyât une escorte bien armée, soit 4 élémentaux de terre, afin de le reconduire vers la Blanche. Trebal venait de comprendre que sa foi, loin de ne lui offrir que des aspellors sur son chemin, mettrait aussi de puissants ennemis sur sa route. Il sourit à cette pensé, l’écartant de son esprit, car il savait que celui qui porte le Saint Marteau de la foi, ne peut perdre aussi longtemps qu’Odéon veille sur lui et jamais il n’abandonnerais Odéon, car jamais Odéon ne l’abandonnerais…

Viviane de Châtillon a écrit:

Des profondeurs de la noir tempête qui rageait dans la baie de Citria, apparut une étoile. Cette sphère de lumière grandit, grandit, puis grandit encore. Ce qui au départ était un point lumineux sous l'encre du ciel étendu bientôt prit la forme d'un bateau. Le navire affrontait les tempêtes comme si une force invraisemblable le tenait droit et fier sur les rives déchainées, comme s'il eut s'agit du plus grand des vaisseaux naviguant sur les océans, comme s'il eut s'agit d'un monstre marin se déplaçant à la surface.

L'appareil aux blanches ailes toute de lumière éclatante frôla le port de Citria puis accosta sur la plage ouest. On ne savait pas quel capitaine avait pu braver la tempête, on ne savait pas quel bateau avait pu résister à un tel défoulement.

Dans les rues de Citria, une jeune femme avait tristement remis sa monture aux bons soins du palfrenier de la ville. Elle avait passé les portes de la ville sans être vêtue de son uniforme militaire comme il était ordonné par la couleur du code. Les rédempteurs auraient peut-être posé des questions s'il n'avait pas s'agit de la capitaine de Châtillon, reconnue pour avoir infligé la pire peine jamais donnée à un récalcitrant de l'armée.

La jeune femme continua son chemin dans les rues, elle traversa la porte ouest, elle marchit dans le quartier résidentiel, elle se dirigea vers la plage. La lumière enveloppa sa silhouette, puis elle l'absorba. Sitôt après, les douces et pures voiles quittèrent la Blanche Cité pour s'enfoncer dans l'ombre et le tumulte de la tempête.

La capitaine de Châtillon, disait-on, avait décidé de combattre le coeur du typhon. Courage ? Certainement pas. Folie, sans le moindre doute, son mari aurait du la retenir. Souvent il lui promulguait conseils, pour sa femme, comme toujours, ça entrait par une oreille et ressortait par l'autre.

Certains, cependant, connaissaient la nature de voyage inattendu.

Le départ :

Trebal était paisiblement assit sur le toit de la Cathedrale quand il vit, au loin, l'étrange lumière se rapprocher de la Cité. Il n'y avait aucun doute pour lui, devant tant de pureté quel homme de foi en aurait eut.

En voyant un point au loin s'approcher de la nef lumineuse, Trebal compris qu'il devait s'agir de Vivianne. Ainsi, comme son tuteur lui avait apprit il y avait de cela fort longtemps, le destin de tous et chacun se montrait à nous, un pas à la fois.

Maintenant que Vivianne était partie, est se retrouvais seule devant l'inconnue, mais etait-elle vraiment seul ? L'amour de Logan et de ses deux nouveau nés la suivait assurément, et Trebal se doutait qu'Adaelle n'y serait pas insensible, elle même loin de son Amour, et mère de tout un peuple.

Les prière de Trebal aussi l'accompagnais sur sa route. Trebal décida aussi de lui transmettre une nouvelle prière afin de la guider lors des prochain évènement :

O Adaelle, si pure,
Mère de tout un peuple,
Puisse tu te montré conciliante envers celle qui suit ton chemin,
Soit son guide lors de cette épreuve,
Et par Odéon
Ne permet pas que ses enfants grandisse sans la connaitre,
Guide la maintenant, et lorsque tu sera prête, guide la sur le chemin du retour, là ou nous l'attendrons.

Trebal termina sa prière, convaincu que si prêt de l'astre solaire, sur le toit du plus haut bâtiment de Citria, sa prière serais entendu. Il décida d'invoquer sa protectrice, Danarielle afin d'aider Vivianne au long de son chemin:

O Danarielle, ma protectrice,
Moi qui t'ai suivit tout au long de ma vie,
Aujourd'hui, accorde moi une demande,
Si ma vie ne fut pas toujours sans heurte,
Tu es celle qui guida mon chemin en sureté,
J'ai servit avec honneur tes principe,
Aujourd'hui, accorde moi d'aidé Vivianne de Châtillon
Puisse-t-elle devenir un phare pour notre peuple,
Que par elle la lumière Adaelle se révèle à l'Hastanie,
Protège son chemin afin qu'il soit sur,
Permet que son esprit soit vif et alerte,
Éloigne d'elle les danger comme tu le fis pour Odéon,
Bénit là, afin qu'elle revienne vers ceux qu'elle aime.

Trebal ne doutait pas de son retour, Vivianne lui avait prouver sa valeur à de nombreuse reprise, maintenant, il devait lui faire confiance, aidé de Danarielle et soutenu par Adaelle, Vivianne ne pouvait manquer à sa tâche, son destin s'étirait déjà sous ses pieds. L'heure était tardive et le soleil se couchait, avec assurance, Trebal regagna la Cathédrale et se rendit servir la nourriture au moins fortuné. Un étrange sourire sur les lèvres, celui de la confiance...

Des honneurs éphémères :
(Niveau 38 à 55)

La vie de Trebal n’avait certes pas été de tous repos. Il avait tranquillement fait sa place en Citria, et avait maintenant l’honneur de jouir d’une réputation d’homme d’honneur. Une réputation qu’il entendait bien préserver. Tant de choses étaient arrivé en si peu de temps dans la Sainte Capitale. Trebal avait d’abord servit sous le drapeau Hastane pendant un cours moment. L’entrainement militaire que lui promulgua l’Armé de l’Aube avait bien valus qu’il le suive. Toutefois, cela l’avait mis à rude épreuve lors de certaine occasion. Il se souvenait entre autre de l’altercation entre son Éminence et le Marechal de Citria. Il avait alors du suivre ce que son cœur lui dictais, et avait désobéis à un ordre directe de son supérieur terrestre. La question n’avait pas prise beaucoup de temps à résoudre. Trebal respectait énormément son Éminence, sur qui reposaient beaucoup de choses, dont le salut des âmes de toute la cité.

C’est justement vers cette première période que l’on avait fait grand honneur à Trebal en lui demandant de gardé la Sainte Épée d’Hastanie. Tâche qui encore une fois, l’avait mis dans l’embarra, cette fois devant le Sénéchal. Pour des raisons que Trebal ignore encore à ce jour, le Cardinal qui venait tout juste de remettre les artefact d’Adaelle à son Éminence, avait changer d’idée et ordonner le retour des dit artefact. Le Sénéchal avait tenté de reprendre l’Épée pour obéir à l’ordre du Cardinal, toutefois, Trebal ayant juré de garder l’Épée de main non digne de la porter, il refusa de la remettre. À ce moment Trebal avait bien cru qu’il serait mis au arrêt, mais les hommes de l’Armé semblait comprendre son dilemme et, a de nombreuse reprise, se montrèrent concilliant.

La devise de la famille Morelle était celle-ci : Temo che uno deve servire a due padroni. Ce qui en vieux Hastane signifiait, Je crains celui qui doit servir deux maitre. À de nombreuse reprise cette devise lui avait démontré à de nombreuse reprise que ceux pour qui leur serment était diviser devait avoir une volonté de fer pour choisir leur priorité. Trebal n’avait pas le droit de jugé des priorités des gens, toutefois, la sienne était clair et il croyait l’avait fait savoir assez clairement.

C’est après que le Conseil se soit visiblement ligué contre son Éminence qu’un second honneur lui fut fait. En effet, le Conseil avait profité de la suspension de son Éminence pour le remercier de ses services comme Juge de Citria. Cet honneur il l’avait offert à Trebal. Toutefois, il semblerait que Danarielle se fasse un malin plaisir à jouer avec le destin de Trebal et ce ne fut même pas 24 heures après sa nomination que, comme il le pensait, le Cardinal lui indiqua que le Conseil ne pouvait faire cela, car il appartenait aux l’Évêques, à l’Archevêque et au Cardinal de juger en Citria. Encore une fois, on lui avait fait un honneur, qui s’avéra bien éphémère. Il ne faudrait pas croire que Trebal s’en formalisait. Au contraire, il était honoré que des gens penses à lui dans ses moments, et que l’on est pensé à lui était un honneur suffisant pour se jeune serviteur.

Voila qui nous amène au jour où, il finit par sortir des rangs de l’Armé. Trebal y avait bien réfléchie et, bien qu’il aurait pu y apprendre encore énormément de choses. Il ne voulait pas que le fardeau de sa foi devienne un problème pour ses officiers, il décida donc de quitté afin de leur simplifier, à eux comme à lui, la vie. De plus, le Cardinal avait décidé que le jeune homme, et sa consœur Laura Gondemar, était prêt à devenir des prêtres. Aussi, humblement comme à son habitude, Trebal se préparait à remplir au mieux les nouvelles responsabilités que l’on lui confiait.

C’est finalement lorsque la traitrise de la Dame Grand Maitre des Paladins lui fut révéler par des gens en qui il avait toute confiance que Trebal explosa dans une colère telle que l’on ne lui connaissait pas. Elle avait fait son choix. Temo che uno deve servire a due padroni. Trebal ne la jugeait pas, mais si sa priorité était d’ordre terrestre, sa place n’était plus comme Grand Maitre de l’Ordre, et Trebal exigeait sa démission. S’il le fallait, il en appellerais à la Justice d’Odéon, au duel d’honneur.

Le chapitre dernier :

La question qui entourait ses dernières écartâtes n’était pas encore complètement réglé, ceci dit, comme il jouissait d’un respect plutôt polie parmi l’Armé de l’Aube et aussi parce que la Dame Cardinal l’avait déjà punie en le rétrogradant, Trebal avait réussit à obtenir qu’on lui rende ses affaires et qu’on l’autorise à se rendre dans le nord, a l’endroit ou il avait érigé un autel pour Danarielle. Il devait par contre être escorté en tout temps de deux Paladins, qui bien sure, ne répondrait qu’au ordre de leur chef.

Pour ce rendre au lieu ou l’autel se trouvait, il fallait passer par le nord, dans une petite bourgade, régulièrement tranquille. Toutefois, ce ne fut pas son destin cette fois, avec tous les récents tremblements de terre et les roches volcanique, on pourrait même dire que Trebal tomba à point. Lors que des êtres de feu commençaient à prendre le petit village d’assaut, Trebal et son escorte arrivait au village. Tous de suite, il prit la défense des habitants, livrant un combat sans merci aux créatures avec l’aide des deux jeunes paladins qui l’accompagnait. Trebal soignait les villageois entre deux vagues d’ennemis, quand il fut clair que la prochaine les anéantiraient jusqu’au dernier. Trebal ordonna donc aux paladins de mettre les villageois en sureté. N’ayant pas à lui obéir, ils refusèrent d’abord, mais insistant avec force, et grâce à la sagesse de ses paroles, il réussit a leur faire comprendre que c’était ce qu’il fallait faire. Trebal aurait la tâche de les ralentir le plus longtemps possible.
Les deux Paladins qui menaient le citoyen du village trouvèrent une grotte, quelque dix minutes plus tard, et l’un d’eux entrepris de retrouvé Trebal au village. Lorsqu’il arriva au village, celui-ci était en feu, mais les créatures semblaient avoir été mises en déroute. Il trouva le Trebal au centre des flammes, le corps ravagé de brulure, les yeux semi-ouverts, un étrange sourire sur son visage brulé aux chairs tordus. Le Paladin crut entrevoir dans les flammes la silhouette d’une femme portant une épée à lame jaune doré. Il entendit au plus profond de son amé la phrase suivante : « Va Bernard, et fait savoir qu’il a payé sa dette envers l’Hastanie, je le rappel maintenant auprès de moi. »
Trebal tenait dans sa main un bout de papier adressé à Vivianne de Chatillon. Le paladin revenant a Citria, la lui remit en silence, lui transmettant les paroles de l’Archange.

*l’écriture était fait rapidement, avant de succombé, surment*

Citation :

Aspellor,
Je vais au créateur en paix. Mon seul regret est de n’avoir pu vous parlez avant de passer dans les Ombres. Je suis mort comme j’ai vécu, flamboyant comme un feu de paille vif, ainsi je pars jeune, mais heureux. Donnez mes amitié à mon maitre, dite a Gilbert que je m’excuse si je l’ai déçut. J’aimerais que vous demandiez a votre marie de voir dans les effets qu’il a du garder de moi suite a mon arrestation. La Comtesse de Blancheriviere avait forgé pour moi une Imperlame en Lunarium, afin de passer les tests de balance. J’aimerais que vous la donniez à Loreile, c’est un piètre cadeau, considérant ce que j’ai du faire pour préservé la paix dans nos rangs, mais je suppose que c’est l’intention qui compte. Elle est gravé d’un marteau, symbole d’Odéon, puisse ma mort la bénir a titre postume. Prenez soin de lui apprendre l’humilité, elle en manque cruellement, et ne saura jamais suivre les pas de ses illustres parents sans cela. Tous le reste de mes biens vont à Muscade, j’espère qu’elle saura en faire un usage quelconque. Dite a Logan que je suis désolé, je ne pouvais être moins que moi-même, ni plus d’ailleurs. Et qu’Odéon vous garde tous ….

*La fin et la signature se perdent, probablement dans la mort de son écrivain*