Missive à Jehan, de l'ecuyerie du connétable d'hastanie.

Cette missive fut apportée par un messager sans arme et d'apparence courtoise depuis la ville de Sombrum. Car il ne lui était possible d'entrer en Citria, il dû attendre aux portes de la ville avant de payer quelqu'un pour la remettre à sa place.

L'on dit que le même messager avait aussi fait mander une personne du Chevalier D'Argon, et qu'il prit de nombreuses précautions avant que de lui remettre la lettre destinée au diplomate.


La missive pour Jehan était comme suit :

Citation :

Illyah à vous messire Jehan,

Lors de votre visite à l'improviste en la république indépendante de Sombrum, il fut vos mots et je les cite que vous nous fourniriez la preuve que vous savez conjoir des gens lorsqu'ils le méritent. Et puisque nos Pères sans doute assistaient à cet échange, ils veulent mettre à l'épreuve votre verbe.

Pour qu'il ne vous soit possible de douter de notre mérite notre invitation nous vient de votre nouveau Roi, que les Cilias bénissent. Et puisque j'ai les manières de mon statut et la générosité de mon sang, je vous préviens en avance pour que vous ne vous fassiez parjure : vous me trouverez à vos portes ce [Lundi à 23h fr].

"Il est inutile de vous recommander a Dieu !" furent vos paroles quand vous me quittiez. Aussi ne doutant pas de votre politesse je vous offre cette formule votre, en toute sincérité.

Recevez tout de même aussi les miennes :

Qu'Ils prennent soin de vous comme vous prenez soin de l'image de votre peuple,

Waess Solen.

Le bienveillant Luc avait une lettre à l'intention de Jehan. Celle-ci etait sans cachet, et nul ne pouvait savoir si son contenu avait été partagé avec d'autres auparavant.

Citation :

Illyahs à vous Ecuyer Jehan,

N'ayant pu vous présenter mes adieux de vive voix, je vous les porte par le biais de cette lettre. L'entrevue avec votre roi fut brève mais riche d'enseignements, et il me faut désormais retourner en la République indépendante de Sombrum pour y reprendre mes tâches.

Votre accueil fut plaisant tout comme votre compagnie, et je vous en remercie. Il me fera plaisir de vous rendre la pareille quand notre cité ouvrira ses portes de nouveau à la votre.

Qu'Odéon porte dans vos rêves des aspirations à la gloire,

Waess Solen.