Une tempête térrible

5 octobre, il y a 1 an.....

La mer se déchirait dans un vacarme meurtrié, des éclairs déchiraient le ciel assombrit par des nuages couleur charbon. Au milieu de cette enfer, se tenait un petit navire, à son bord, un homme âgé du commencement de la vingtaine tout au plus, s'époumonait à tenter de tenir la barre et faire les manoeuvres necessaire pour que ses voiles ne le fasse pas chavirer. Les creux de vagues étaient si profond, qu'à chaque fois que la mer prenait un respire, l'on perdait de vue le petit vaisseau qui semblait se faire tirer vers le fond des abysses marines. Mais le jeune capitaine ainsi que son précieux bateau tenait bon, la folie de sa maitresse n'était pas encore venut à bout de ce jeune loup de mer. Mais elle n'avait pas dit son dernier mot, dans un rugissement clinquant, une flèches d'électricité venu tout droit des nuages vint s'abbatre sur le bateau, fracassant le mat en milles morçeau, ne laissant ainsi aucunes chances à son passager de pouvoir naviguer au travers de cette tempête tropical. Ce qui devait arriver, arriva innévitablement, le navire chavira puis se brisa laissant à moitié conscient le jeune homme qui avec le peu d'énergie qu'il lui restait c'était aggripé à un morçeau de la coque qui flottait au milieu de ce torrent.

Un soleil cuisant vint amener le gaillard à l'éveil. Complètement déshydraté, la bouche pateuse et la vision trouble, il leva la tête. Après quelques instant de confusion extrême, il apperçut la rive à quelques centaines de mètres, il y nagea donc. Lorsque ses pieds touchèrent la terre ferme, la seul envie du marin était de trouver de l'eau, il ne tiendrait pas lontemps sans boire. Il marcha le long de la rive avec espoir de tomber sur un village cotier ou du moins un sentier. Ses pas le conduire à un port, mais il était déja très tard dans la nuit. Il s'éfondra à quelques mètres d'une batisse. Mais sa chute avait été attendu, le pêcheur, vivant dans la dites demeure, porta secours au jeune marin en danger. Les soins administré au jeune homme furent fructueux, il survécu à cette épreuve, sans doute la plus dramatique à ce jour dans sa vie.

'' L'on a tous un destin dans ce bas monde, le tien est sans doute glorieux, marin, autrement tu aurais connu le trépas en cette nuit.''

Puis il ferma la porte de la chambre, laissant ainsi le marin se reposer. Le matin venu, le blessé se leva. Un peu chambralant mais tout de même debout. Son regard croisa celui de son sauver, assis à la table de cuisine.

'' Vous m'avez sauvé mon brave, j'ai une très grande redevance envers vous, laisser-moi payer mon dût, je travaillerai pour vous pendant une année entière. Que vous le vouliez ou pas, il en sera ainsi. ''

Le pêcheur ne put argumenter, le jeune homme n'allait pas revenir sur sa décision, c'était une question d'étique pour lui. Avec le temps, le pêcheur apprit un peu de la vie de celui qu'il avait sauvé, mais seulement par bride, ce jeune n'était vraiment pas très locasse. Il apprit pourant qu'il se nommait Philius. Qu'il avait fait naufrage avec un petit navire de pêche qu'il utilisait déja depuis 2 ans. Il était plutot fort physiquement, respectueux mais ce qu'il admirait chez ce jeune homme, c'était ses valeurs.

Le temps passa, comme toute choses, la besogne de Philius tira à sa fin. Après avoir passer 1 an à travailler pour un pêcheur, le gaillard pouvait enfin découvrir cette ville que l'on nommait Citria.