Dalilla, semi-Kheijan Paysan
Nbre de messages : 112 Inscription : 23/03/2009
| Sujet: [BG] Dalilla: l'enfant aimé Sam 13 Nov 2010, 2:34 am | |
| PrologueDalilla, l'enfant aimé
Un homme, une femme, deux cultures.L'amour a sa raison propre et nous fait agir contre nos principes bien souvent. Marion le compris malgré elle en se faisant renier de ça famille, sa ville et ses amis pour son cœur. Ils s'étaient prit une petite chambre modeste et leur rêve dira presque 1 année. Il tenait sa petite perle dans ses bras qu'il avait nommé Dalilla, ce qui signifiait dans ses origine l'enfant aimé. Jamais il avait pu espérer un tel bonheur mais ce sentiment était entacher par ce sentiment de culpabilité. Le sens de la famille était très fort dans ce peuple du désert. Il se sentait observer, juger part ses semblables et le très haut...tel un ver qui le ronge, cela devenait de moins en moins supportable... ses soirées a la taverne s'allongeait constamment, devenant taciturne.
Un groupe d'homme entra dans la taverne apportant avec un nuage de poussière et de sable. Sans s'y invité, ils allèrent rejoindre le jeune pere. Ils échangèrent des regardes qui en disait long avant que l'accuser hausse le ton: Il était temps que vous arrriviez, parrtons d'ici.
Sans avertir sa douce, il etait parti. Par lâcheté ou pour les sauvés ? Elle n'eut jamais cette réponse. Bien que discrètement, il repassa a quelque reprise voir ça fille qui ne le reconnaissait pas, mais il aimait se voir en elle. Marion prit très mal cette absence, vivant sur un espoir de son retour. Elle vieillit avant l'heure pour mourir avec soulagement. Dallila n'avait que 16 ans.
- Spoiler:
j'ai toujours garder la possibilité de retrouver mon père ig, donc je ne l'ai pas nommé.
| |
|
Dalilla, semi-Kheijan Paysan
Nbre de messages : 112 Inscription : 23/03/2009
| Sujet: Re: [BG] Dalilla: l'enfant aimé Sam 13 Nov 2010, 2:34 am | |
| Premier pas vers le changement avant la désillusion Mes premiers jours à Citria était un mélange d'espoir et d'incertitude. Je n'y avais encore jamais mi les pieds et pourtant, j'en avais entendu parler. Dans la taverne ou les langues se délit, j’ai souvent écouté les récits de voyageur et marchand. N'est ce pas le meilleur endroit à Tyrimar. J'y suis né, grandit, et survécu. C'est une ville bien capricieuse et dangereuse pour une jeune femme au teint basané. Il faut croire que les cieux on toujours veiller sur moi ou est ce la force de caractère que m'avait légué ce père inconnu ? Quoi qu'il en soit, les brigands devenait trop nombreux et les affaires mauvaise a Tyrimar. Plus rien ne me retenait et au contraire, mes jambes ne souhaitaient que s'enfuir de la. Les regards pesants et lubriques, mon patron avait beau veiller sur moi, il y avait des moments ou il dormait !
Citria. Les premiers jours je m'étais dit: essayons, je n’ai rien à perdre. Mon instinct de survie a toujours été le plus fort et pour cette fois, c'était ces hauts rempart qui me semblait la meilleur solution. Ce que je craignais le plus était l'accueil de ce peuple qui avait renié ma mère. Je fus agréablement surprise au premier abord je l'avoue. Mon plus grand étonnement c'est un soir, mon chemin croisa un homme au teint basané, a l'élocution hastanienne mais avec l'accent à la saveur sudiste. Il travaillait pour l'économie de la ville disait il. Il me parlait de ca vie dans ces lieux, des hauts et des bas. C'était donc possible d'être accepter malgré les différences dans la blanche ? Jeune naïve que j'étais, je l'ai crue. Mon immigration se déroula très bien et je fis connaissance d’hastane agréable a côtoyé. Bien sur, mon caractère ne m’aida pas. Il faut dire que les hastanes ont un talent particulier pour les belles phrases, la galanterie les fleurtes. Ils furent d’autant plus déstabilisé de la manière que cette femme exotique les envoyait promener. Elle fini par ce faire une certaine réputation de femme de caractère, d’intimidé malgré elle les autres. Il faut dire que Dalilla était bien loin de la jeune hastane aussi délicate que la porcelaine.
A peine quelques semaines après sont arrivées, les choses se dégénèrent. Le semi kheijan rencontrer à son arrivé fut accusé de haute trahison après un vole dans les coffres de l’économie. Des années d’infiltration pour réussir se coup. La confiance s’effrite. Les chuchotements dans les coins, les doigts pointés. Était-elle une traite également…?
Suite à ces évènements, les kheijans montent à l’assaut. Ils se mettent à bruler les fermes, accumuler les brigandages sur les terres hastanes. L’alerte rouge est déclaré et les kheijans sont tuer a vue sur les terres d’hastanie. Pendant ce temps dans les murs de la cité, les tensions se fait sentir… Mépris, insulte, elle se sent observé, accuser silencieusement, on l’évite, des gens l’accuse d’avoir brulé leur ferme. Certain citoyen téméraire tente de l’arrêter en pleine ville pour la mettre hors de la ville qui, aurait été tué a vue. Tentative de meurtre dans les ports. Ces mots, elle les a subit avec difficulté, prisonnière d’une ville qui l’avait accueillit a bras ouvert avant de la méprisé. Elle vit alors toute l’hypocrisie de cette cité blanche. Le plus cruel de cette histoire, c’est qu’elle était à demi-hastane avec une éducation hastane et pourtant, les apparences faisaient d’elle la coupable. Elle n’avait encore jamais eu de lien et de contacte avec les sudistes. L’amertume et la désillusion prit le dessus.
- Spoiler:
très bref résumé de mon premier 6 mois de jeu
| |
|