Une lettre bien écrite aux couleurs de Tyrimar fut reçu dans le courrier du Roi
Moi, Lucius Demargo, homme d'allégeance envers votre sainte et bonne posture, mon Roi ! Je me dois de me reporter à vous dans les plus brefs délais. Ma vie ne tourne plus de la même manière et je me suis rendu compte que la vie ne changerait pas en changeant simplement de plan spirituel. Ma vie est vôtre, je reviendrai vers la Cité.
Si je me livre à la Sainte Cité, je ne veux pas la mort. Si simplement votre indulgence puisse venir de votre coeur. Vous êtes notre grand monarche et je penche vers la pensée que vous êtes le plus grand homme avec le sens de l'élitisme. Donc je tente de simplement obtenir de votre personne une peine très haute, qui n'en reviendra pas à la mort de ma personne.
Mon allégeance reste à votre personne et à Odéon, le Juste. Le pardon d'Odéon et de tout les membres de la sainte cité sera à acquérir dans les années suivants ma sortie de notre glorieuse prison.
Si vous voulez avoir une rencontre avec moi, je suis prêt à venir vers la cité pour prendre celle-ci avec votre personne.
Tout cela pour vous dire que je demande pardon de tout mes agissements et je suis prêt à recommencer à la case départ, si vous en voulez ainsi.
Comme dit plus haut, je me rendrai à la cité au simple condition autre que la mort.
Signé habillement
Lucius Allesta Demargo, un homme qui a mal agit et qui tente un pardon de tout ses comparses et ainsi colègue de vie.