La Blancheur d'un linge.

Sujet: La Blancheur d''un linge. Sam 16 Mai 2009, 9:22 am

Voici depuis de nombreux jour que Léonore n'était plus visible dans les rues de la Sainte.

Elle passait parfois, maladive à la Caserne, déposait quelques dossiers, et retournait rapidement étudier au cloître. Les rares passants qui purent la voir, dont les fidèles Rédempteurs gardant la Caserne, affirmaient qu'elle était plus pâle qu'à son habitude. déjà la pauvre petite était trop blanche, mais là c'en était blafard. Elle assurait se porter bien quand parfois il lui avait été demandé si ses jambes frêles n'allaient pas se dérober sous elle.

Nisi, nisi, elle allait très bien alors qu'elle avait perdu du poids et que ses vêtements ne la cintraient déjà plus. Et puis, il y eu d'autres jours où elle ne vint carrément plus.

Léonore était simplement alitée dans sa chambre, car un jour de trop forte humidité, elle fut d'autant malade et n'eut la force de se déplacer. En longue chemise de nuit, les cheveux détachées, elle occupait son lit discrètement. Bien évidemment, elle avait demandé à ce que son état ne se sache pas et un jeune moine s'occupait d'elle. Il était dévoué et fervent, gardant discrétion. Elle avait fait écrire une missive à la Caserne parlant d'un stage d'étude durant lequel elle ne pourrait être présente. Elle avait donc reporté les examens médiaux à d'autres jours au plaisir de plusieurs.

Pour n'inquiéter sa famille, elle leur avait également fait parvenir une missive les informant de sa petite absence : le temps de prendre quelques vacances à Lys-En-Sylva dans un pavillon de chasse, en retrait. Pourtant, elle n'était pas en état de se dépalcer et quiconque venant demander après elle au cloître était poliment renvoyé à son indiscrétion, se voyant répondre que la Demoiselle Rimbaldi n'était pour l'instant pas disponible.

Ecrivant d'une main tremblante à Père Simon, ce dernier lui envoya un médecin depuis les landes, qui était renommé. Il arriva tardivement dans la nuit, et le moine lui ouvrit en toute discrétion. Après une auscultation minutieuse, le médecin en déduit que Léonore était toujours par une sorte de pneumonie. Il fallait selon lui, lui donner grand repos et la soigner avec prévention car son état ne pouvait aller qu'en empirant.

Pour l'instant, Léonore restait donc au cloître, dans sa chambre isolée, se remettant de sa vilaine maladie.

Sujet: Re: La Blancheur d'un linge. Sam 16 Mai 2009, 11:55 am

Fort du traitement qu'il a reçu au centre de soin par le Medecin Jesabelle Ambrosius Aior avait reprit son emplois de Capitaine usant des recommandation de Jesabelle Cependant Aior constatait une absence au sein de la Caserne de Citria, Léonore, L'infirmière Militaire, Introuvable.
Aior trouvant cette absence plutot suspecte décida d'interroger les Redempteurs en poste a la Caserne.

Aior : "Alio Redempteur"

Rédempteur : "Avé Mon Capitaine"

Aior : "Avez vous vu notre Infirmière ces temps-ci?"

Rédempteur : "Haec Mon Capitaine elle a laisser une lettre à la caserne pour nous informer qu'elle part en stage durant un certain temps mais je suis ceptique de cette excuse car j'ai vu plusieurs fois Leonore et de jours en jours elle me semblais toujours plus faible"

Aior : "Meldis rédempteur je vais aller consulter cette missive et tenir compte des informations que vous m'avez donné"

Le Capitaine après lecture et aux lumières du rédempteur ne pouvait que douter des réèls motifs de cette dernière il lancerais donc une petite enquête nisi officiel pour inquiter personne.

Sujet: Re: La Blancheur d'un linge. Jeu 21 Mai 2009, 7:32 am

Le médecin de Lys-en-Sylve, venu à Citria pour la douce Léonore, était à son chevet jour et nuit. Alors que le moine apportait souper et déjeuner, il l'aidait à s'installer en position assise et lui conférait alors quelques bouchées bien famées. Il fallait manger disait-il, une nourriture saine et équilibré, tout comme il le lui avait appris depuis qu'elle était petite.

En tous les cas, elle retrouvait l'appétit ce qui était bon signe. Malgré sa froide pâleur, et ses toux aberrantes, elle pouvait parfois sortir dans le jardin du cloître et prendre un air pur et renouvelé, le temps de nettoyer sa chambre et l'aérer.

Au fil des jours, cet hygiène de vie avait fait son effet. Bien que ne retrouvant pas de couleur, ses forces revenaient et ses toux se faisaient plus rares et moins brutales. Elle était toujours en proie à la fatigue cela étant dit, mais le médécin ne vit aucun inconvénient à la laisser repartir sur pied. Il repartit donc un soir après lui avoir baisé le front paternellement. Elle lui remit des tas de missives pour sa soeur Jehanne et ses grands-parents mais également quelques aspellores du Couvent.

Le lendemain, elle sortait du Cloître, remeldisant grandement le moine qui s'était occupé d'elle. Bien vite, elle décida de retrouver sa famille, mais le premier lieu où elle alla fut la bibliothèque.

» Lavons notre linge sale en famille :)