Un honneur souillé à tout jamais?

En entendant les quelques chimères qui souillaient et salissaient le nom de son Frère, Nataniel eut un sourire, demeurant bien callé dans sa chaise, il se laissait distraire par les nombreuses conversations qui traitaient de ses relations précédentes.

En entendant l'histoire du duel, le Cavalier passa à un cheveu près de rompre les discussions en s'esclafant à n'en plus finir. Par chance, il étouffa le rire, laissait croire à une petite quinte de toux.

Il interloqua alors l'homme à ses cotés, probablement alcoolique, à fixer sa choppe de bière comme si cette dernière était l'un des artefacts d'Adaelle.

- Nisi mais.. C'est un D'Argon, à quoi s'attendait ces femmes ? Un jour, un jour, peut-être trouvera t'il sa fleur. D'ici là, j'entend déjà les jalousifs s'en prendre à son titre en criant haut et fort qu'il ne mérite pas ce poste.

Aahh... Si on devait se fier à la fidélité d'un homme pour lui donner son rang, Marshall serait depuis bien longtemps Roi de Citria et Séphora serait rat de goutière !

Laissons les guerriers guerroyer et les aimants aimer, qu'en dis-tu ?

L'homme assis à sa dextre tourna sa tête vers lui, démontrant son visage ravagé par l'âge et une barbe de quelques jours. Il avait une larme à l'oeil, énoncant alors, difficilement, tâchant d'articuler du mieux qu'il ne le pouvait.

- Ça... Ça m'touche chque tu m'dis aspelow... J... Je vais bwoire à notre ami... Amit.. Amiti... ééé , hoqueta-t-il, pleurant, touché des dires que venait de dire l'écuyer, sans même que ce dernier ne comprenne en quoi il l'avait été.

Nataniel se leva alors, détalant d'un pas rapide de l'endroit, jetant quelques oeillades par-dessus son épaule, craintif que l'homme ne le suive, bouteille à la main.

Décidément, Jordin ne ferait pas faillite.

Certain devait oublié qu'il n'y a pas que les armes mais aussi les valeurs, qui font d'un homme ce qu'il est.

Si un homme n'avait aucune valeur au point de briser le coeur de femmes une après l'autre jusqu'à la bonne peut-être n'était-il effectivement pas le bon pour gouverner une armée, comme tous devrait être, basée sur les valeurs du très-haut.

Ainsi, si personne ne se chargait de remettre l'honneur des souillés en place, le clergé allait s'en mêler.

Veleshro observait tous ces gens discuter du Sénéchal. Les ragots faisaient rage, et alors que la nation aurait dû pleurée la perte de ses deux plus éminents membres du clergé, de deux des Citriens les plus droits et justes, elle commérait. Elle tremblait sous les murmures des harpies.

Le Drakan, qui d'ordinaire levait le museau avec répugnance sur de telles sotises, s'enflamma quelque peu durant une discussion de taverne.

_ "Cessez de tels commérages! Souillure? Il n'y a aucune souillure qui mérite que le Clergé s'en mêle, car jusqu'à preuve du contraire, nul union ne fut célébré et donc nul cocu ne fut fait! Le Sénéchal est jeune, et les coeurs jeunes changent d'allégeance. Mais oseriez-vous critiquer un homme qui fut immuablement fidèle à Odéon et au Roi? Oseriez-vous remettre en doute ses capacités? Gabriel est un homme bon et droit qui peine à trouver femme qui pourrait le combler. Peut-on lui reprocher de poursuivre sa quête d'amour, quitte à laisser quelques lacérations métaphysiques derrière lui?"

_ "Cessez vos âneries et acharnez-vous à quelque chose d'utile, un peu. Diviser le peuple ne servira à rien, strictement à rien, et surtout pas pour une idiotie de coeur, mes varsdas. Car moi, je me mettrai entre ceux qui voudront dueller le Sénéchal et lui, par allégeance au Roy, par allégeance à mon Sénéchal et surtout, parce que le bien de Citria en retourne!"

Semblait-on oublié qu'un serment, peu importe qu'il soi fait dans l'acte du mariage ou dans le coeur d'une femme était important? Maintenant pouvons-nous nous permettre d'ainsi faire des promesses et d'excuser ses fautes par le simple fait d'être jeune? Si la damoiselle désir un duel car son coeur à été souillé par une fausse promesse, personne n'est en droit de lui interdire.

Jésabelle n'avait certe pas aimé le discours du Drakan qui se permettait de remettre en doute l'église et l'allégeance de celle-ci envers le roi. Citria n'allait pas mourir parce que deux membres du clergé avait trépasser, elle allait plutôt prendre cet exemple pour etre pieux d'avantage. Citria n'est pas faîte de couard, à ce qu'elle en savait. Car si celui-ci se mettrait au travers d'une femme voulant regagner son honneur, c'était de toute évidence se mettre devant une valeur importante aux yeux de notre seigneur.

Ce n'est pas la fin qui justifie les actes, ce sont les actes qui justifient la fin. Elle espérait que les petits copains du Sénéchal allait reprendre leurs esprits et de plutôt de comprendre la situation des yeux des demoiselles trompés.

Quelque chose d'utile? Mon pauvre homme, qu'est-ce qui est plus important pour un hastane que son honneur. Euryale est l'une des femmes les plus pieuse que ma courte vie à connu, si quelqu'un mérite que l'on se batte, c'est bien elle.

Qu'est la femme aux yeux des hastanes? N'Est-ce pas supposé être une fleur et une oeuvre d'art vivante que l'on doit au moins un minimum de respect? Êtes-vous au courant qu'être un deuxième choix est une honte terrible pour une femme de ce peuple?

Relevant le nez de ses runes, elle détailla un moment les commères qui s'agitaient avec empressement au-dessus de la tête du jeune d'Argon. L'illusionniste tendait pendant un moment l'oreille mais au fil des mots, son sourcil se levait de perplexité.

- Mais allons donc ! Ils ne sont pas mariés, et de ce que j'en sais, nul Acte n'a été commis entre ces deux là. Faut-il vraiment aller jusqu'à mettre son nez dans tous les cœurs brisés de Citria ? Le Sénéchal est-il donc le seul à rechercher ici et là l'amour, sa femme ? Serait-il préférable, comme vous le dites, qu'il vive avec une dame qui ne fait apparemment plus battre son cœur ? Je ne dis pas là s'il aurait été marié, mais puisque rien en est, pourquoi autant de commérage ?

Les jeunes femmes face à la tristesse doivent être capable de se redressée d'elles-même, ce ne sera pas la dernière fois, s'il en était là une première. Avez-vous donc tous rester avec votre première amour ? Si quelques personnes bâtit sa vie avec l'homme, ou la dame, qui a attirer son regard en premier, il n'en est pas le cas de tous. Si elle souhaite un duel, soit. Mais il reste désormais à voir s'il est réellement nécessaire d'aller à une telle extrémité. À savoir s'il faudra construire une arène typiquement pour ce genre de cas, à savoir le nombre de cœur brisé chaque jour...

Elle soupira. L'Église allait un peu trop loin, à se mêler ainsi des affaires de cœurs qui, en toutes apparences, ne rompaient aucun préceptes, aucune loi. La perplexité la gagnait, tandis qu'elle glissa un regard sur ses théories. Si l'amour était réglementé... ou allait-on?

Jésabelle qui préparait la messe funestre de Louen et Lorelei eut ouïe dire du comportement des Citriens.

- Voilà ce qui arrive quand on laisse une trop grande tolérance au sein d'un peuple maintenant composé de toute de sorte de cultures et de moeurs. Soupira Jésabelle au jeune moine qui l'aidait dans sa tâche.

- Il va de soi qu'effectivement, s'ils pensent maintenant de façon contradictoire à notre doctrine, nous devrons resserrer l'étaut. Notre devoir? faire respecter les doctrines du très haut. Si nos hauts dignitaires ne savent plus donner l'exemple, c'est notre devoir de les ramener dans le droit chemin.
Elle eut un sourire triste.

- Si le Sénéchal croit qu'il est blanc comme neige, et qu'il n'a rien à se repprocher, qu'il vienne se défendre à moi, ainsi je pourrai entendre son histoire et voir à quel point il est une victime.

Dans le cas contraire, puisqu'il désir fuir ce duel, faîte lui savoir que je suis prête aussi à le rencontrer pour trouver une solution plus diplomate de régler cette histoire. C'est innutile de continuer à salir le nom du Sénéchal et celui d'Euryale, car le peuple semble partagé. Car il va de soi que c'est devant Dieu, que le pardon devra être fait, d'une façon...ou d'une autre.

"Ne confondez ker honneur et orgueil, dame Ambrosius. Avoir de l'honneur c'est savoir faire passer ce qui est préférable à la nation avant notre propre confort. C'est savoir être humble quand il le faut, brave en d'autres temps, accepter ses torts et ses victoires. Celui qui ne s'énorgueilli ker d'une victoire et qui ne baisse ker les bras dans la défaite est honorable. Les Hastanes, lorsqu'ils se sont remis de la raclée que leur a foutu l'armée gorlake, étaient on ne peut plus honorables. Si j'ai rejoins ce peuple, c'est parce que je le sais apte à être plus honorable que tout autre. Mais il verse aussi dans l'orgueil, et à mon humble avis, porter à la sphère publique ce qui relève strictement du domaine privé, ce qui ne concerne nullement la matière de l'État n'a rien d'honorable. Je ne remet nullement les allégeances de l'Église envers le Roy, mais je pousse certains de ses membres à se questionner quant à la nécessité d'un tel duel. Si on remet mon opinion en doute, on ne remet pas celle de la diplomatie entière, faites de même je vous prie. Quant à mon interposition, sachez qu'elle se fait et se fera par les mots, tel qu'en ce moment, en tentant de raisonner ceux qui sont prompts à verser le sang.

Qui plus est, le Sénéchal fut nommé après les évènements susmentionnés, par le Comte qui, étant son Oncle, devait bien être au courant. Gabriel fut nommé car il avait la bosse militaire et jusqu'à présent, le choix du Comte fut juste. D'ailleurs, depuis qu'il occupe son poste, il s'est montré impéccable.

Et veuillez ne guère m'accuser de partialité, je fus l'un des premiers à vilipender le choix du Comte de par le jeune âge et l'inexpérience du jeune D'Argon, j'ai néanmoins respecté l'accuité des sens du Comte et je crois qu'il s'est avéré juste.

Quant à vous, ancienne-Éminence, sachez que la venue des étrangers en Citria a causée beaucoup moins de torts que les Hastanes eux-mêmes à la cité. Il suffit de voir le fléau que fut l'Organisation, majoritairement de sang hastane, et si on oublie le cas d'Organo, la majorité des êtres d'ethnie différente ont profondément contribuer à Citria. Nonobstant ma difficile compréhension initiale des méthodes d'accouplement hastanes, je suis désormais pleinement intégré à Citria, prenant part aux escarmouches et risquant tout autant ma vie pour la cité que vos gardes, représentant la voix de Citria auprès des autres peuples, aidant les nécessiteux et guidant les égarés. Je suis aussi franc et honnête et je préfère qu'on m'attaque directement que l'on commère dans mon dos, en italique pour rendre aux propos des relents moins nocifs.

Maintenant, je vous le demande sincèrement, une telle situation relève-t-elle réellement de la sphère publique et sarko de la sphère publique? Est-il ici réellement question d'honneur plutôt que d'orgueil et de peine amoureuse? Doit-on juger tous nos dirigeants sur la moindre de leurs erreurs sentimentales, personnelles et, je le répète, privée?

Je crois fermement que sarko, et je défendrais cette opinion pour quiconque. "

Je vous répondrai ceci;
Si cela n'avait été que d'une simple affaire de coeur, haec, cela aurait été futile et peu me chaud de m'occuper de cette affaire, je vous le jure.

Vous n'êtes pas sans savoir que Citria vit des jours sombres. Pour quelqu'un qui est parfaitement adapté et qui suit les dogmes de notre bonne église, vous devez comprendre mieux que quiconque, les enjeux que porte affront envers Odéon. Certe on ne parle pas ici de destitution et de poteau de la honte, mais de la rupture d'un serment fait à une femme, promettant son coeur, devant le regard d'Odéon. Étant Émissaire de sa sainte justice, nous ne pouvions fermer les yeux.

Certe il est arrivé à tous de se tromper, même pour quelqu'un de son rang, mais n'importe qui à le droit au respect qui lui est du. Et toute personne aussi sensible soit-elle comprend qu'un coeur blessé qui avait des attentes et faisait confiance à des promesses, peut se sentir souillé. J'ai proposé au sieur D'Argon une façon plus diplomatique de régler cette histoire, ce sera à lui de voir de quelle façon il préfère la terminé.

Vous n'êtes pas certain de notre rôle dans une histoire de coeur, pourtant le clergé à toujours eu comme but d'être à l'écoute du peuple. Cette femme a lancé un cri de détresse que nous ne pouvions pas igniorer. Sacher que nous ne désirons pas nous mêler de chaque histoire de coeur et ceux qui le pensent dramatisent, n'ayant rien de mieux à dire visiblement. Nous ne faisons que répondre à une dame qui se dit victime d'injustice. Je ne désir pas entendre la version du sieur d'Argon pour faire beau, car si le jeune homme défend bien son point, ce sera également à la dame Euryale de s'excuser d'avoir ainsi salit le nom de Gabriel D'Argon.

Une personne qui a atteint le plus haut sommet des postes militaires se doit de montrer qu'il est un modèle pour les Hastanes, Drakan. Peut-être est-ce à cause de sa jeunesse ou de son éducation, mais dans tous les cas, ce sont des facteurs qui ont probablement été pris en compte lors de sa nomination. Si la fougue amoureuse de son jeune âge pose problème à la réputation de son titre et à l'honneur d'une famille, alors haec, cela est du ressort public.

La vie personnelle d'un individu de ce rang n'est que rarement privé. J'ai pleinement confiance en le clergé pour résoudre ce conflit, si conflit il y a. Vous devriez en faire de même. En arguant vos arguments sur la place publique, vous encouragez également la résolution de cette situation d'une manière nisi privée.

En terminant, il me fera plaisir de vous rencontrer pour discuter en personne de la pertinence des différentes ethnies en Citria.

Nataniel, dans ses habitudes toujours aussi joviales, ria parfois en entendant les solutions qui s'étaient propagées de bouche à oreille, la première étant de savoir ce que c'était que d'être une femme repoussée. Cette tirade le fit à coup sûr rire dans tout l'auberge, attirant sur lui l'attention de la foule et, par malchance, de son vieil ami alcoolique.

- HeeyyYYyyy !! Aspellow ! 'Omment 'a va ?! Dit ce dernier, alors qu'il callait une autre bonne gorgée de sa bouteille de vin bon marché tout en titubant jusqu'à la table du Cavalier alors que les Citriens ne reviennent à leurs moutons.

- Ouufff... Tu sais, aspellor, je suis troublé présentement. énonca le cavalier, les lèvres pincées, comme si ce dernier était à la fois dérangé et pensif, une bien amusante mimique à appercevoir.

- M'aaah !! Je sais ! Mais tu sais, c'est pas d'ma faute si mon haleine sent le cheval... J'allais justement boire un alcool à la pomme afin d'avoir meilleur od... L'homme s'interrompit, Nataniel levant le doigt pour l'arrêter, désireux de prendre la parole mais aussi incapable de supporter davantage cette haleine suffocante qui émanait de l'habituer de la taverne en face de lui.

- Nisi, nisi, ce n'est pas cela. dit le guerrier tout en tâchant de retrouver un peu d'air pur qui ne sentait pas l'alcool en concentré.

- C'est que... La solution afin de comprendre le problème et y trouver solution serait, d'une part, d'avoir les valeurs Hastanes en soi, et d'une autre, de comprendre ce que c'est que d'être une femme rejetée... Hors, je n'ai qu'une seule de ces choses en ma personne... dicta le Chevalier en devenir d'une voix calme et posée, comme s'il montrait au barbu toutes ses interrogations et réflexions.

Ce dernier, un sourcil en l'air et l'autre drôlement froncé, gardait une mimique aussi confuse et affreusement imbécile, comme si l'homme harnaché d'or lui avait demandé la réponse à un problème mathématique des plus complexes.

- Tu... Tu as déjà été rejeté par un homme ?... trouva t'il en dire, comme ultime hypothèse, l'air le plus sérieux du monde.

- Eeeeeh... Nisi, nisi... Tu sais, aspellor, ce fut un plaisir de partager le verbe avec toi, mais je dois aller méditer sur comment devenir une femme rejetée et aussi comprendre comment la populace peut baser une rééducation sur un baiser volé et espoirs d'une femme déçue - Et Dieu sait qu'elles en ont, de ces fichus espoirs...

Même mimique de la part de l'alcoolique, légèrement penché sur la table. C'est à peine si le filet de bave ne lui coulait pas du coin des lèvres tant il semblait endormi.

C'est en claquant des doigts devant ses yeux que Nataniel ramena l'homme à la vie, magiquement, ce dernier posant ses yeux d'un brun foncé contre les siens, reflètant une couleur joyeusement azurés, tant ils étaient éclatant de bonheur.

- Aspellow, pour toi, et 'eulement pour touah, je me glisserai dans la peau d'une femme rejetée et ensuite je crierai mes problèmes amoureux sur la... Il coupa, un rot lui échappant, probablement dû à la moitié des tonneau du total que contenait l'auberge, tous dans son bedon qui, mystérieusement, n'était pas bombé. Sur la place publique, afin que tout le monde le sache.

Nataniel pinça alors les lèvres, étonné que l'homme n'ait pu aligner autant de mots sans tomber inconscient au sol, la patte battante. Ébahi, bouche bée, il le fixait, les yeux grands ouverts, prenant tout ce qui lui restait afin de prendre la parole.

- Punaise... Les rumeurs courent si vite en Citria.. réussit-il à dire, toujours sous le choc que l'homme ait parlé durant plus que trois secondes sans pour autant redonner son dîner.

L'homme barbu, inconnu cocassement connu, hocha de la tête en émettant un son, fort probablement affirmatif, sans que Nataniel n'en saisisse grand chose.

- Bien. Donc, mon bon aspellor, je te quitte ainsi, je dois trouver ce que c'est que d'être femme de second rang, afin d'éclairer mon frère de coeur. Dit le cavalier tout en jetant quelques pièces sur la table, envoyant un clin d'oeil à l'homme avec lequel il avait bizarrement conversé.
- Tiens, pour que tu en boives une à ma santé.
Valars.

Ainsi il tourna les talons en entendant les jubilations de son interlocuteur, trop saoul et joyeux à la fois pour enligner adéquatement les syllabes ''Mel'' et ''Dis'', criant comme un Nalkiri en s'emparant des pièces sur la table, du moins, c'est ce qu'en convenu Nataniel en entendant ''WOUAAAHHH!!!'' une fois à l'extérieur de la taverne.

Sur le chemin du retour, l'écuyer songea longuement aux propos de l'alcoolique, lesquels lui auraient sûrement filé de la mémoire, au lendemain, à son réveil, vu son état ivre. Bien que saoul mort, l'homme avait fait remarqué une chose au Cavalier, chose que peu de gens n'avaient encore remarqués. Ce n'est pas le Grand Sénéchal D'Argon qui avait souillé le nom d'Euryale, mais bien elle-même en se révélant au grand jour trompée dans une relation qui n'existait qu'en sa tête.