Missive à Gilbert

Mes avés,

Je tiens à avoir des explications concernant le cas de Misa Minagi. Vous qui êtes juge, vous devez sans doute savoir que les arrestations sont le devoir de la garde ainsi que l'application de la loi. Recueillir les preuves et monter un dossier également. Sans doute cela vous semble familier, mais je dois vous rappelez que vous ne faites plus partie de la Garde.

Or, j'ai trouver très inquiétant que vous utilisiez nos installations dans le plus grand désordre et manque de protocole qui soit. Cette ingérence est fort inquiétante et sans doute en recevrez-vous mention sous peu de la part de mon conseiller. Aucun de mes soldats à ma connaissance n'a proféré de messes ou célébrer d'unions, et nous respectons vos tâches.

De fait, je devrais libéré Misa pour incroyable vice de procédure, frôlant l'illégalité. Vous n'avez pas formulé de plainte à son égard ni n'avez attendu notre verdict pour l'emprisonner. Tout ceci en plus d'utiliser notre caserne comme s'il s'agissait de votre domaine. Du moins, c'est ce que j'ai cru comprendre, comme je n'y étais pas.

Je suis certes aspellor de Misa, et dans ce conflit d'intérêt possible je ne l'ai pas relâché sur le champ mais je crois qu'il puisse vous manquer des éléments à votre enquête personnelle. J'ai moi-même recueillis certaines informations car cette histoire me semblait louche.

Ainsi c'est dans cette inquiétude que je vous écris, puisque vous ne nous avez laissé que le mot de vous adresser la parole si l'on voulais plus de détails, et nisi un dossier bien fait.

Je vous ai toujours garder en bonne estime aussi je suppose qu'il s'agisse simplement d'un problème de communication toute cette histoire. Je vous propose de s'asseoir ensemble et de discuter de ces choses. Je vous écris pour des éclaircissements dans un esprit de conciliation.

Maréchal Godefroy
Écuyer de Dame de Rochecolline, Chevalière et Grand Maître des Templiers.