Mes Avés
Je vous écris d'un propos qui demande votre attention. Les membres de la garde s'inquiètent grandement de l'ingérence du clergé dans ses affaires. Je parles ici bien sur du Comte Gondemar sur le cas de Misa Minagi.
Lorsqu'il a procédé à son arrestation en utilisant notre établissement et nos clefs pour la mettre ne détention, il n'a nisi écrit de rapport, ni d'information pour nous faire comprendre la raison de cette arrestation. Il a simplement dit qu'il répondrait à nos demandes d'explications, ce qu'il n'a pas su faire.
Ensuite, après avoir fait des vices de procédures incroyables qui auraient pu mener à la libération immédiate de Misa Minagi, il a fait fit du Codex, des enquêtes, des procédures et des peines prévues pour la ''soumettre à la question''. Lorsque son sanglant forfait fut terminé et l'innocence de la dame prouvée, il a agit contre les enseignements et l'a laissé à son martyre, refusant en pleine connaissance de cause de la soigner.
Je n'ai pas besoin de dire que cela aura des répercussions diplomatiques. Pour commencer, il l'a arrêter illégalement selon nos accords diplomatiques. Il a arrêter une officière d'une nation alliée sur des dires d'une partisane des Cent Pointes et garde de Tyrimar. Sans admettre son erreur de jugement, il a quitté son corps brisé pour aller laver le sang de ses mains. D'ailleurs, je ne l'ai pas vu se déranger pour les mendiants suspectés d'espionnage, alors qu'il a plutôt demandé à se que ceux-ci continuent leur basse besogne. Ceci me force à presque à douter d'un intérêt extérieur de sa part, et je ne parle pas ici d'Odéon.
Pour ce qui est de ma fonction de Maréchal, je n'accepte pas cette ingérence criminelle et ses dérogations au Codex. Elle étant membre de l'armée d'Hildrim, nos échanges cordiaux pourraient en être affectés, comme l'est déjà notre crédibilité. Il tente de supplanter votre rôle et prendre lui-même les rennes de l'armée en l'assujettissant à ses instincts.
Dans le grand dessein de l'ordre, cette situation est intolérable. Vous êtes au courant de choses que le commun des gens ne savent. Il faut régler cette situation pour éviter de troubler les objectifs de l'Ordre. Nous ne pouvons pas nous mettre à dos Hildrim dans cette mission céleste, Chevalier.
Mes inquiètes salutations,
Godefroy,
Maréchal de la Garde de l'Aube,
Écuyer de dame de Rochecolline, Grand Maître des Templiers.