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 BG - Gabriel D'Argon

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3 participants
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Gabriel D'Argon
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Gabriel D'Argon


Nbre de messages : 381
Inscription : 21/12/2008

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MessageSujet: BG - Gabriel D'Argon   BG - Gabriel D'Argon Icon_minitimeVen 26 Déc 2008, 6:04 pm

Bonjour, j'ai réussi à faire la rédaction de quelques passages de la vie de Gabriel, lorsqu'il était jeune jusqu'à son adolescence. Bien que je rajouterai au fil du temps d'autres passages de sa vie, un peu comme un journal intime que l'on mettrait à jour, j'aimerais bien recevoir de vos avis. Ce sont là des passages qui vont démontrer parfois subtilement, parfois de manière bien évidente des traits de caractère de Gabriel. Merci Smile


Seconde sœur

Son père se faisait absent, sa mère dépressive et pourtant, les enfants des D’Argons ne pouvaient être délaissés par leurs parents qui étaient tourmentés à outrances par de multiples problèmes. Aurianne, c’était à cette époque l’enfant adoptive des D’Argons, du temps où Karyanna ainsi que son aimé formaient tous deux un couple harmonieux. Elle se faisait donc par défaut, grande sœur des jumeaux et, inévitablement, de nombreux liens puissants se tissaient entres eux, à tel point que l’absence de lien de sang entre frères et sœurs véritables se faisait lentement oublié. Fort probablement qu’elle aurait donné bien de ses possessions pour voir naître le sourire naïf de ces petits chérubins, elle leur offrait une attention particulière, s’en donnant pratiquement une mission, de s’en occuper à titre de mère, lorsque personne ne pouvait s’occuper d’eux adéquatement.

À cet âge, ils adoraient courir un peu partout, ils débordaient d’énergie pendant quelques heures jusqu’à ce qu’ils soient raides morts de fatigue et qu’ils retombent sur leurs petits petons, tout calmes. Aurianne, le sourire fendu jusqu’aux oreilles admirait l’énergie débordante des deux jumeaux qui couraient avec peine et misère dans l’herbe haute, poussant parfois quelques rires cristallins, témoignage de leur amusement. Le temps se faisait paisible et l’après-midi semblait toujours aussi parfaite, comme plusieurs autres de cette dernière semaine, se disait la grande sœur, perchée sur le perron, à les observer gambader. Et pourtant, il fallait bien que quelque chose dérange cette plénitude si agréable, le cri de Gabriel qui perçait et écrasait le dernier rire de Morgane. Rapidement, piquée par son instinct fraternel, l’aînée accourait vers eux deux pour y voir la source du mal, une rocaille sur laquelle Gabriel s’était enfargé pour s’y érafler le genou à sang.

Venant presqu’immédiatement se pendre au cou de sa grande sœur, les larmes ruisselantes sur ses deux joues, il étouffait ses nombreuses plaintes en frottant son petit minois ravagé par la douleur, à son col. Une fois retournés au logis, elle prenait grand soin de s’occuper de son genou meurtri en lui prodiguant les premiers soins, des techniques de bases en cas de nécessité. En cas normal, à cet âge, les enfants ont habitude de pleurnicher plus longtemps qu’à la moyenne, plus qu’à la moyenne, cherchant à capter l’attention des adultes. Mais seulement, cette fois, voyant le sourire béant sur le visage d’Aurianne, un sourire réconfortant, chaud et accueillant, les larmes séchèrent comme si le désert leur servait d’habitat. Logé entre les bras délicats et attentionnés de son aînée, pas même une catastrophe ne lui aurait fait perdre cet état de plénitude. Trois, quatre automnes, un âge adéquat à l’adoption d’une personne ressource, une image à laquelle l’on s’attache. Normalement, les parents en sont le sujet, seulement, puisqu’absents, il en serait dur de s’y identifier. L’un comparable à un fantôme et l’autre à une veuve épleurée, le sentiment de rattachement se fait assez faiblement. Quoi qu’il en soit, Aurianne se fera fort probablement source de confiance, réconfort, de rattachement ainsi que d’amour, en l’avenir du petit D’Argon.


Revenant des ombres, l’autre moitié quitte le plan.

Typiquement fidel à son cliché, le jour des funérailles de la belle était sombre et nuageux, hommes et femmes étaient vêtus par la couleur des corbeaux. Les vitraux de la Cathédrale étaient sombres, la lumière du jour masquée par les tourments des cieux, rendant l’atmosphère encore plus fade. Karyanna se faisait envoyer par plusieurs, prières et bonnes paroles de sorte à ce que son voyage soit calme et sans embûches jusqu’aux côtés d’Odéon lui-même. À ses côtés, Gabriel se faisait entourer de par les deux membres directs de sa famille, Séphora ainsi que sa jumelle Morgane. Après un long silence, suite aux paroles sacrées du prêtre, quelques gémissements se démarquèrent dans la foule. Et c’est sûrement à la vue de sa sœur aux yeux rougit, aux larmes ruisselants sur ses joues que lui-même, ne pouvait contenir sa tristesse. Au même titre que la fatigue et le bâillement, la tristesse ainsi que les gémissements se faisaient très contagieux.

Tout près de leur cinquième année, les jumeaux venaient de saisir à quel point leur vie allait basculer, changer drastiquement de cap, de direction. Leur père, qui aux funérailles se dévoilait afin de prendre en quelque sorte, le relais, si on veut. Blanche leur servante aurait fait bonne seconde mère, seulement, elle n’en était qu’au titre de bonne, rien d’autre. Va savoir combien de temps cela prendra aux pauvres D’Argon avant de s’adapter à leur nouvelle vie. Leur père avait été louangé par leur défunte mère, chaque mot qu’elle aurait pu dire pour le décrire, Gabriel tâchait de les mémoriser et d’y croire, malgré son absence importante.

Le deuil fût assez court pour Gabriel, tâchant de renfrogner ses sentiments au plus profond de lui-même et de les encager. Karyanna n’était après tout qu’une femme auquel un homme avait réussit à arracher de son existence, de sa raison de vivre. Depuis que Séphora l’avait quitté, elle n’avait autres habitudes que de rester cloitrée dans sa chambre afin d’y pleurer de sombres souvenirs utopiques et cruellement irrécupérables.

Leur père, lui, en pleine possession de ses moyens ainsi que de son sang froid avait en son regard une étincelle de peine en regardant le podium où se trouvait le prêtre qui bénissait la voie auquel la défunte devrait passer pour se rendre au repos éternel. Près de ses enfants, il déposait une main sur la tête de Morgane dans le but de lui démontrer une présence plus chaleureuse en ces moments malheureux.

À la fin du service, après que les proches amis de la défunte aient offert leurs condoléances aux enfants ainsi qu’au Chevalier D’Argon, un froid s’élevait entre le nouveau trio, un malaise palpable. Peut-être était-ce car il arrivait comme un huissier, ou simplement car sa stature faisait de lui un être qui semblait pratiquement inatteignable, son regard ainsi que son faciès était dur comme la terre en hiver, il se refusait pour l’instant aucune autre intimité que la main à l’épaule de sa fille qui encore fixait désespérément l’autel où se trouvait il y a peu le prêtre. Leur nouvelle demeure était impressionnante et dans sa générosité, Séphora offrait même à Blanche de venir s’installer dans leur nouveau logis à titre de servante, ce qui évidemment, faisait le bon plaisir de Morgane et de son frère qui prenait cette dernière comme une seconde mère. Il n’en n’était pas moins pour autant qu’il faudra pour ces trois personnes un bon moment d’adaptation afin que la complicité, que l’amour et la tendresse se développe. Bien que Séphora ait autrefois changé leurs couches, à cet âge, si l’un parent devait se porter disparu, il pouvait sombrer assez aisément dans l’oubli jusqu’à n’en plus jamais parler.



L’aspellor de l’Hastane typique.

N’est-il pas trop jeune pour recevoir, déjà, une leçon à dos de cheval ?

Blanche, je vous jure qu’à son âge alors, je sautillais d’impatience à ce moment. Je suis même anxieux quant au fait qu’il ne m’ait point demandé d’avance !


Une main ferme et autoritaire contre la lanière de cuir qui servait d’attelage à l’animal sombre, le soldat terminait sa transaction avec le palefrenier. Midi était passé depuis belle lurette et l’on aurait pu apercevoir un second soleil se lever. Gabriel, fou de joie à la simple vue d’une autre monture que celle de s on géniteur, espérait sans retenue que se soit enfin la sienne.

Vient là mon garçon, que je te présente ton prochain meilleur aspellor.

D’une main paternelle et un sourire avenant, il invitait son fils à peine âgé de cinq hivers de mettre main à la crinière de sa monture, de sorte à ce qu’il s’habitue dès lors, de son odeur. La leçon fût longue et pénible pour le jeune apprenti, à peine musclé pour se hisser lui-même sur le haut de l’imposant destrier, il faisait trotter ce dernier avec l’aide de son père qui jamais, ne le délaissait de quelques mètres, surprotecteur.

Au petit nid familial, le soir venu, tous attablés près à dévorer le diner qui leur était présenté, Gabriel n’avait de mots que pour son prochain entraînement. Du coin de l’œil, son père on ne peut plus fier de la volonté de son fils observait sa fille qui elle, faisait des ronds dans sa soupe avec sa cuillère de manière bien ennuyée. Peut-être aimerait-elle faire quelques activités de son genre, pensait-il. Blanche était engagée pour les besognes normalement confiée à la mère de famille, seulement rendue où elle en était, probablement qu’elle serait capable d’éduquer sa fille à se genre de choses. Après tout, le jour où Séphora prendra une aiguille et un fil pour tisser, fort probablement que les poules auront des dents.




Un but à la vie.

Les oiseaux qui décoraient les environs avaient désertés les lieux depuis bon moment, les animaux environnants prenaient eux aussi, la poudre d’escampette. Seul le croisement de l’acier et l’entrechoquement des pavois était à ce moment de la journée, bien audible à des lieux. La respiration haletante des deux combattants se faisait pratiquement comparable au souffle puissant des chevaux, laissant pendant quelques instants un silence inquiétant au boisé. Armés, se fixant droit aux yeux, les deux hommes s’offraient, en croisant leurs regards plissés par l’épuisement et la sueur abondante, de pesantes menaces. L’un d’eux, celui dont la carrure aurait été suffisante à faire fuir un des plus féroces et imposants Gorlak amorçait sans relâche la prochaine attaque, décochant cette fois un coup sournois de son pavois contre le sien, faisant chuter son adversaire. Celui-ci venait s’écraser contre les feuilles mortes en poussant cette fois un gémissement plus qu’inattendu, épuisé à outrance, il relâchait les armes afin de lui concéder la victoire, une de plus sur les quelques centaines qu’il avait compilé.

Mon père, n’as-tu donc aucune retenue envers ton fils ?

Disait-il bien évidemment en s’efforçant de sourire, bien que la douleur fût à ce moment, bien plus qu’insupportable.

Tu n’as plus dix printemps, il est grand temps de t’offrir entraînement à la juste mesure de ton potentiel. D’ailleurs, te voir à ce point geindre ne m’inspire rien de bon, mon fils. Aurais-je oublié et ne s’aurais-je un chapitre malheureux de ta vie si palpitante ?

Et alors, comme à son habitude, il lui rendait un sourire complice suivant son ton de voix amusé.

Je n’oserais et n’aurais jamais l’idée de te mentir ou de te cacher quelconque vérité, tu le sais. Seulement, étant tout récent, et portant à mon actif une honteuse défaite face à l’un des citoyens qui se trouvait en la salle d’entrainement, je gardais le profile bas …

Dans une touche de gêne, qui probablement se traduisait par de la honte, Gabriel abaissait la tête et s’accotait contre l’arbre tout près, épuisé et dévidé de toutes ses énergies.
De manière paternelle, Séphora vînt alors prendre place à ses côtés, lui offrant un petit coup d’épaule de sorte à lui faire savoir sa présence, placardant à son minois lui aussi ravagé par les sueurs de l’entrainement un sourire rassurant.


[g]Mon fils, qu’Odéon me fasse part de sa furie par la foudre si jamais je mens, Il te faudrait être un miraculé pour pouvoir guerroyer si bien du jour au lendemain. Que ceci te soit gravé à jamais dans la tête, des combats tu en perdras et ce, en grande quantité. Mais ils servent à te préparer, te garder à l’affût de tes propres capacités, tes propres limites. Il te faut les connaître, il te faut savoir ton corps à la perfection. Car un jour, probablement dans plusieurs années encore, il te faudra lever l’acier contre l’un des nôtres, pour défendre ton honneur, tes opinions, tes proches aspellors. Et je te le garanti, ce jour sera beau, car tu n’auras d’autres choix que de vaincre, sans quoi tu auras l’amer goût de la défaite en bouche, et tu voudras probablement te lacerer la langue afin que ton sang étouffe cette sensation. [/g]

Et suite à un court silence, comme à son habitude, perdant de ses airs hautains en présence de son fils, il lui offrait une bonne claque sur l’épaule, le provoquant du bout de son glaive, lui offrant alors de reprendre l’entrainement


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Gabriel D'Argon
Citadin
Gabriel D'Argon


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MessageSujet: Re: BG - Gabriel D'Argon   BG - Gabriel D'Argon Icon_minitimeVen 26 Déc 2008, 6:04 pm


Un nom ardemment défendu.

Les cieux se couvraient au fil du temps, tandis que le soleil lui, ne pouvait que poursuivre son déclin vers paysages montagneux, allant s’y cacher pour laisser place à son opposé. Morgane, portant plusieurs étoffes à son corps de manière à se promener en un accoutrement léger pour faire suite à son entrainement au glaive qui fût ma foi, assez ardu, se dirigeait lentement mais sûrement vers la maison familiale et ainsi y dévorer un repas hautement mérité. Du coin de l’œil, elle observait deux adolescents qui, environ, possédaient tous deux le même âge qu’elle, du moins, à première vue. Quelques rires tout bas, quelques regards déplacés envers elle, ces deux jeunes garçons louchaient horriblement et ce, sans subtilité, vers Morgane. Fronçant durement les sourcils, elle se retournait vers eux deux pour savoir ce qu’il en était.

Dit donc, toute en sueur comme ça, qu’est-ce que tu es séduisante, D’Argon !

Leur ton laissait à cette dernière un goût très amer en bouche, grinçant pratiquement des dents. Son petit nez frémissait de colère, déjà, à la moindre remarque sur son état. Peut-être était-ce un tempérament hérité de sa mère défunte.

Heureusement pour toi que je ne peux me faire attendre pour le repas, sans quoi, le nez que je t’aurais cassé et fait saigné aurait été comparable aux chutes ,répliquait-elle immédiatement, sans même y réfléchir, sur un train d’impulsion.

Les deux hommes, suite à la sincère menace d’une femme colérique, rétorquaient :
Je ne sais comment te le dire en de belles paroles, alors je te le dirai bien comme ça, es-tu sûre que tu n’as pas une verge entre les deux jambes ?

Les ricanements se faisaient entendre cette fois de manière bien plus prononcée, se moquant à tue-tête de cette pauvre Morgane. Et, sur monté d’adrénaline, elle dirigeait son poing fermement serré vers le visage de l’un d’eux, afin de lui boucler son rire rauque qui la rendait folle. Evidemment, automatiquement, les deux hommes n’iraient pas jusqu’à se faire battre par une femme, ils engageaient tous deux la lutte. Cette démêlée ne pouvait bien sûr pas se faire furtivement, des gémissements, des cris de rage, tous entendaient le trio se mener bataille.

À proximité, alors que les passants se rassemblaient autour d’eux, son frère jumeau tentait de se frayer un chemin jusqu’au centre pour y voir ce qu’il s’y passait. Au début un peu amusé d’y voir le rassemblement, une vision d’horreur le frappait. Se débarrassant de sa courtoisie, de sa gentillesse et de ses bonnes manières, il poussait chacune des personnes qui bloquait son passage. Sans même réfléchir ou même observer l’état de sa sœur, il s’engageait dans le combat en envoyant une droite à l’un des assaillants, cherchant par la suite à sortir du combat sa sœur qui, pour le plus étonnant, se débrouillait assez bien contre eux deux. D’un instinct protecteur, fraternel, il faisait d’eux une cible à éliminer pour sauver sa sœur. Après quelques temps, deux ou trois contacts entre son frère et ces deux derniers, ils repartirent rapidement jusqu’à leur demeure, lui tenant la main d’une poignée de fer et autoritaire. Une fois arrivés, il la relâchait pour l’inspecter d’un regard toujours aussi accusateur et prononcé, la faisant s’asseoir sur une chaise pour lui quémander des explications. Seulement, enragé comme il était de voir sa sœur démontrer l’impulsivité de la famille, comme s’ils n’étaient réduits qu’à des actes de violences aussi gratuites, il l’interrompait à tout bout de champs, lui sermonnant l’importance de l’image qu’elle devait refléter. Par ailleurs, sûrement pour la centième fois, il remit la faute sur les ambitions de Morgane, l’accusant de n’avoir le bon rôle dans la société, comme quoi les femmes devraient se soumettre à des occupations féminines, qu’elle risquerait sa vie pour un rien et par-dessus tout, tournant le couteau dans la plaie, qu’elle ne serait qu’un fardeau pour les forces armées de Citria.

Ses idées mysogines reflétaient le côté qu’il avait hérité de son père. Furibonde, rageuse, elle s’éclipsait en sa chambre pour y gronder sa rage, s’y cloitrant pendant de nombreuses heures, laissant ainsi son frère aîné croire qu’il avait la tâche d’un grand frère qui se trouvait âgé de plusieurs années de plus qu’elle …Il ne restait qu’à savoir maintenant si c’était bien là par protection qu’il l’avait sorti de cette démêlée, ou simplement par peur de la savoir plus talentueuse que lui …
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Vincent Cerberath
Citadin Impliqué
Vincent Cerberath


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Inscription : 13/12/2006

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MessageSujet: Re: BG - Gabriel D'Argon   BG - Gabriel D'Argon Icon_minitimeVen 26 Déc 2008, 7:22 pm

Very Happy Excellent !

Ah les D'Argon han. Smile
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Isathis Fanel
Citadin Ainé
Isathis Fanel


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MessageSujet: Re: BG - Gabriel D'Argon   BG - Gabriel D'Argon Icon_minitimeMer 07 Jan 2009, 7:46 pm

( Un petit con de plus :p )
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MessageSujet: Re: BG - Gabriel D'Argon   BG - Gabriel D'Argon Icon_minitime

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