Missive adressée à I. Fanel

Sujet: Missive adressée à I. Fanel Dim 03 Mai 2009, 2:29 am

Dame Fanel, nos avés respectueux.

Je tenais à traiter avec vous, par courrier, de choses relativement importantes.

En premier lieu, votre neveu Soren est au centre de soins, sous ma garde dans l'heure. Après avoir survécu à la noyade. Le sort voulut qu'il fut avalé par la mer, de l'acte d'un esprit torturé que sans doutes la saison des morts éveilla de sa transe rêveuse. Il va bien, il est plutôt rétabli, quoi qu'éreinté. Vous pourrez donc venir le voir, si vous le voulez.

En second lieu, j'aimerais traiter avec vous de l'affaire des nyctales. J'aimerais vous poser la question, croyez-vous sincèrement qu'il me plairait de corrompre notre fierté, d'implanter en nos terres des créatures de narshoul comme votre neveu le laissa entendre au Banquet et tout autant, lorsque je finis de procéder à mes soins?

Je vous pose franchement la question. Que croyez-vous que sont les Nyctales, vous qui m'en réclâmiez un? Une engeance de narshoul? Je vous dirai ce que je crois. Les nyctales sont des chevaux, avant toute chose. Au même titre que les Abyssiniens, ou les Aérios, ou n'importe quelle race. Sa nature dépend de qui l'élève, dépend de son maitre. Je me porte garante, sur mon honneur qui fut bafoué, que je n'élève pas des bêtes qui serviraient une cause autre que celle Circanesque, à moins que leur maitre le leur impose. J'aimerais que vous mettiez ceci au clair avec moi d'abord, puis avec votre neveu ensuite. Vous, en tant que Haute Censeure, avez en main les Écuries et leurs accomplissements. Lorsque votre neveu bafoue mon honneur, sachez bien, il bafoue tout autant le fait que vous m'ayiez consenti cet élevage.

Il fut bien Cynique, lorsque, pour prouver ma bonne foi je voulus faire en sorte que le Clergé se porte garant de la teneur des Écuries Royales, accusant l'Évêque de subversion et de soutien inconditionnel à mes actes, qu'ils soient bons ou mauvais. Je ne vais pas, donc, chercher l'avis de mon Oncle, mais bien de Sa Tante.

J'espère que vous croirez en ma bonne foi et en la Justesse de mes démarches, et m'offrirez votre appui en tant que neutre parti et régente de l'Économie.

Je vous prierai donc de me faire part de cet avis. D'ici là je prendrai grand soin de votre neveu, jusqu'à votre venue.

Bien à vous,

Euryale Rimbaldi Bernay.

Sujet: Re: Missive adressée à I. Fanel Dim 03 Mai 2009, 7:08 am

Mes avés à vous demoiselle Rimbaldi Bernay,

Sachez que je n'ai rien les nyctales, ni même Broyeur. Il est vrai que celui ci était la possession d'un gorlak et fut acquérir d'une façon ou d'une autre, sans réelles explications.

Cependant, je crois qu'il nous faudrait une race purement hastane, née de nos chevaux, un destrier fier et fort né de nos territoires. Mais ceci n'inclus pas l'arrêt de la vente des nyctales. Vous pouvez continuer, ce n'est pas mon rôle de déterminer si un cheval est dit de Narshoul ou nisi.

Si le clergé vous appuie, c'est alors que la bête ne doit peut être pas être considérée comme liée au Mortulum et à ses forces.

A dire, je vous propose une chose, ça reste une proposition je le dis. Afin de dissiper les doutes, que Broyeur et sa progéniture se voient bénir par la sainte lumière. S'ils réagissent mal alors il faudra se resoudre à leur appartenance aux ténèbres.

Je passerai voir mon neveu dés qu'il se pourra. Malgré tout, je n'essaierai pas de lui défaire son avis, il est assez grand pour le forger lui même et le changer pareillement. De plus, j'entrevois déjà un débat long, tournant en rond pour finallement en revenir au point de départ.

Mes révéros sincères à vous.

Haut Censeur Fanel.

Sujet: Re: Missive adressée à I. Fanel Dim 03 Mai 2009, 9:12 am

Dame Fanel, recevez nos avés,

Je m'engage à faire procéder à cette bénédiction, bien que j'y eusse déjà pensé. De par le biais de trois prêtres, fervents d'Esdraban, de Démélyor et d'Adaelle.

J'ai également été concerter le Roi à propos de la polémique, je joins à ce pli son décrêt.

Citation :: Qui oserait remettre en question la sainteté du cheval ?

Cet animal noble crée pour Odéon lui-même et offert aux landes pour que nous profitions de sa perfection peut-il être vue comme la créature d’un être ténébreux et mauvais ? Celui qui le pense ne connait pas la nature lumineuse du cheval…

Certes, des barbares ou encore des peuplades indignes on apprit à se faire obéir de cette merveilleuse créature mais malgré toutes les techniques pathétiques et malsaines qu’ils utilisent ils ne pourront jamais changer la nature même du cheval.

Le cheval est bon le cheval est noble, que sa robe soit rouge, blanche, grise, noir, la lumière insufflé par Odéon lui-même dans la créature la plus fidèle et grandiose des landes ne peut être altérer. On peu le soumettre, le forcé à commettre des choses odieuse mais une fois se liberté acquise la lumière brillera de nouveau.

Il est du devoir de tout Hastane de prendre soin du cheval en sa possession et de protéger les montures maltraité et égarer sur les landes. Certes, on nous force parfois à occire nos compagnons équin dans la bataille mais il est bon de prié et de demander pardon pour ce pécher envers la monture crée pour la grand justicier porteur de la vrais lumière.

Qu’ils soient Abyssinien, Aérios, Akhal’Khei, Angevin, Cayuse, Cheyu, D’Aubergne, De Trait, Faras, Guajira ou encore Nyctale, les chevaux sont l’une des créatures éternellement bénite par Odéon et jamais nous devons rejeter une espèce car malgré tout le mal qu’on peu tenter de leurs insufflés, ils auront toujours le germe de la lumière en eux.

Sa Majesté Cédrick de Montblanc, Roi de la blanche Citria

Meldis de cette réponse, je vous attendrai au Centre de Soin.
Euryale Rimbaldi Bernay

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

Damoiselle Fanel, nos avés respectueux,

J'ai pris connaissance en votre dernier pli, de bien des idées se recoupant aux miennes. Des chagrins, qui font échos au mien, des craintes, qui ressemblent aux miennes. Face à ces craintes, damoiselle Fanel, il nous faut lutter.

J'aimerais vous proposer quelque chose, pour vous guider hors des ténèbres.

J'aimerais vous proposer de me venir en aide, en la gestion de l'Académie des Arts et Recherche, que j'ai reprise en tant qu'intérimaire au vu du départ de la Vicomtesse. J'ai déjà évoqué vos mérites, je n'en pense pas moins dès maintenant. Citria est une méritocratie, il est plus que temps que vous en veniez à récolter le fruit de vos efforts, de votre bonne volonté. Et si elle ne l'est pas, elle ne pourra que le devenir sous l'effort, sous les volontés et actes purs.

Je vous en prie de considérer mon offre. En attendant une nouvelle correspondance, je vous dit, le chagrin et l'amour ne sont pas impiétés. Mais souvenez-vous aussi qu'Odéon et Adaelle, eux aussi, étaient voués à un amour impossible. Songez à eux, ne pleurez plus dès lors. Cet amour qu'ils cultivaient n'est jamais mort, n'a jamais perdu en vivacité malgré ses difficultés. Le vôtre pourrait être identique,

Bien à vous, je vous recommande au Très-Haut,
Euryale

Sujet: Re: Missive adressée à I. Fanel Jeu 04 Juin 2009, 9:17 pm

Citation :: Ma bonne Euryale, ange en ce monde terrestre, mes avés encore.

Mon aide vous sera entière. Vous savez que vous avez mon soutient dans le possible de mes humbles moyens.

Soit! Demandez et vous aurez!

Je me joins à vos côtés pour soutenir l'Académie des Arts et des Recherches. Il fut une époque où j'écrivais et dessinait pour cette sphère magnifique et enroulée de magie livresque.

Si le besoin se fait sentir de demander mon transfert d'une sphère à l'autre, j'en aviserai le Marquis Leavittias et vous de même.

Je vous remeldis de vos mots. Ils viennent de me redonner courage, force et espoir.

A bientôt demoiselle, que le Juste et ses anges veillent sur vos pas et ce à jamais.

Isathis Fanel.

Citadin Impliqué Nbre de messages : 543 Inscription : 21/02/2009

Un busard vint trouver Isathis.

Damoiselle Fanel, nos avés respectueux,

C'est des confins de la lande, que je vous écrit. Je me suis éloignée de Citria, au vu des circonstances, et n'y reviendrai que lorsque je m'en serai faite digne. Je ne saurais vous conter ce qui m'advint, je n'en aurait point le temps en ce bref pli. Cependant sachez que je vais bien. Nequedant, j'avais repris l'Académie afin d'éviter de la voir mourrir, et je compte toujours le faire.

Bien qu'étant une sphère, l'Académie eut toujours un pendant international, des membres partout en ce vaste monde, afin de ramener le savoir et l'art d'ailleurs vers Citria. Je saurais, de par mon éloignement, prendre à charge ce pendant. Par contre, je ne saurais pas m'occuper si bien du pendant Citrien.

Je vous ferai parvenir sous peu, lorsque je trouverai le temps, les listes exhaustives des membres des deux pendants de l'Académie. Également, je vous soumet une liste de projets que je prévoyais pour Citria.

Vos talents de gestionnaire, vos talents artisitiques et votre initiative sont grands, je vois mal comment quiconque pourrait accomplir un meilleur travail que vous en gérant le pendant Citrien de l'Académie.

J'espère que vous accepterez cette offre, de là où je suis, je me trouverais ravie.

Meilleurs sentiments, je vous recommande au Très-Haut,

Euryale Rimbaldi Bernay.

Sujet: Re: Missive adressée à I. Fanel Mar 30 Juin 2009, 9:49 am

Une missive fixée à la patte d'un aigle pélerin vient à arriver à la demoiselle. L'écriture en est effilée, parfaitement calligraphiée et féminine. L'encre violine s'étend sur le parchemin avec aisance.

Mes avés à vous damoiselle,

Je ferai mon possible pour vous aider. J'ai pris connaissance de votre liste et tenterai de résoudre chaque point mentionné avec application.

J'espère que vous aller bien malgré tout. Sachez que je pense à vous et espère que les anges du Circan veilleront sur vos pas.

Donnez moi de vos nouvelles que je ne m'inquiète pas. Citria sera bien vide sans vous.

A mes yeux vous serez toujours une personne digne et une aspellor de confiance.

Prenez soin de vous, je vous tiendrai au courant de mes avancements.

Qu'Odéon vous garde.

Isathis Fanel.

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