La fille du Forestier

C'est dans l'intention de prendre quelques pièces d'or que l'écuyer se rendit à la banque, cette soirée là. Le désir d'acheter quelques fleurs à sa douce qui avait récemment donné naissance à son descendant était pressant dans l'âme tourmentée d'un père qui ne se sentait, déjà, pas assez présent pour son fils et sa femme. À peine entré, diverses voix le saluèrent alors qu'il hocha vaguement de la tête afin de les saluer en retour, peu certain de la provenance de ces salutations. Il se laissa lourdement tomber sur le banc de bois, devant le comptoir, un soupire d'aise échappant dès lors à l'embrasure de ses lèvres, alors qu'il demandait, d'un signe courtois, le coffret qu'était celui de sa banque. Il n'avait là aucunement idée que son regard croiserait cette jeune demoiselle qui enfonçait dans son coffre une bien maigre bourse, un sourire aux lèvres. Le bonheur qu'il lu au minois de la demoiselle su dès lors attirer Nataniel qui s'apprêtait à quitter, simplement.

Le bonheur qui émanait de ce doux visage ne pouvait être vêtu de cette robe modeste ni chaussé de ces bottes bon marché. Il l'interloqua avec une certaine simplicité, soucieux de ne pas alerter la dame ou de l'aborder tel un coureur de jupons. Celle-ci se fit bien discrète, son faciès devenant, peu à peu, plus pourpre, dominé par une timidité palpable, par un indubitable malaise.

La conversation fut bien modeste, écourtée par le désir qu'avait le jeune cavalier de vêtir la dame de façon plus royale, peu soucieux de voir une nouvelle mendiante dans les ruelles de Citria. C'est avec l'aide d'Arianne Hyral qu'il réussit à accomplir le tout, celle-ci emmenant la petite troupe à sa demeure avant de donner, gratuitement, ses vêtements à la jeune Alis.

À la suite d'une discussion, le jeune guerrier connu les aspirations de cette jeune demoiselle, ravi de voir, à nouveau, quelques protecteurs de la nature, eux qui se faisaient désormais rares en Citria. Aeltisis serait assurément ravi de cette nouvelle arrivante.

Après avoir vu la dame vêtue de quelques vêtements qui semblaient déjà plus convenables, l'écuyer repris le chemin de Citria, où il put, finalement, acheter les fleurs et rendre visite à la demoiselle Ambrosius, s'y cantant pour la nuitée.

Qui sait, peut-être cette rencontre aurait-elle une suite ? Une complicité entre deux suppots d'Aeltisis verrait-elle le jour ? Il était trop tôt pour énoncer avec certitude si le tout se concrétiserait, mais une chose était certaine, cette petite altercation avait fait connaître au jeune Edar une jeune dame fort charmante, envers qui il plaçait beaucoup d'espoirs.

Spoiler:

La neige fondait enfin pour laisser qu'une entre deux saisons. Son pere lui disait chaque année que c,est la saison ou il faut se laver de ses idées noir, ses remords, faire le point sur soit pour mieux partir a neuf au printemps. Apres tout, le forestier est impregner part les saisons et sa vie est lier a celle ci.

Votre cette saison en ville avait quelque chose d'étrange. Elle sentait cette lassitude des temps froid sur les visages des gens. La souffrance le sang. Est ce que ces gorlak profitaient de cette saison pour garder le morale bas des hastanes ?

C'est en ruminant ses penser et ses inquietude sur l'avenir qu'elle entendu un rire suraigu provenant d'une table a la taverne. Son regard se posa sur deux Kardienne. Intriguer par son amusement, elle les interoga si elle etait la source de cette amusement. il etait question de chemise trop bouffante de la mauvaise couleur assortie a des botte trop grisse. Comment leur expliquer que cela lui passait completement par dessus la tete ? qu'elle n'avait aucun experience chiffon et que oui.. celle qui lui avait fais les vetements n'avait pas excellé sur les teintures mais ce n'est pas une raison d'en faire un cas !

C'est donc apres que Fryddalie lui offrir une bonne tarte qu'elle s'occupa du cas de la petite garconne pour lui concocté un ensemble de ville. Quelque essaye et une nouvelle coupe de cheveux la metamorphosa ! Elle ressemblait un peu plus a une jeune fille et a peine sorti de la chambre qu'un jeune garde la complimenta. Sans trop savoir comment reagir elle parla de tout et de rien tout en jouant dans ses cheveux pour tacher de s'y habituer. Maximus l'invita meme a le suivre en tentant de bras ? Pas trop sur de quoi il attendait, elle regarda sa voisine et chuchota quelques mots

-Heu y fait quoi la..?

- Il veut que tu lui prenne le bras !

-Ho..? euh..? haec.? bah..haec..c'est sur !

C'est si compliqué la vie citadine !