Mes humbles avés Monseingeur de Neufchâtel.
Je vous écrit d'une matière pressante en tant nisi seulement de maréchal ou d'écuyer, mais de croyant qui s'inquiète de son clergé.
J'aimerais discuter avec vous de choses perturbantes qui m'ont, dans mon métier de maréchal, été amené. Je crois que vous méritez d'entendre ce que j'ai à dire, puisque cela changera certainement quelque perception qu'on ait pu vous donner.
En l'attente de votre réponse et d'une date de rencontre, je vous offre mes distingués Révéros
Godefroi de Périgord
- Spoiler:
On peut faire la rencontre par MSN si tu veux