Au bureau de l'Armée...

Une missive cachetée avait été déposée sur la table du personnel de l’armée elle-même.
L’attention porté a celle-ci semblait évidente. Elle frappait a l’œil puisqu’un dessin était inscrit sur le coté droit de l’enveloppe. Une balance d’or semblait y être imprimé…


À l’ouverture de l’enveloppe, un bout de langue traînait au fond de celle-ci. S’en était dégoûtant puisqu’il était en état de putréfaction. Quelqu’un avait décider d’envoyer une lettre à l’armée en dénoncent la justice impure trônant dans notre sainte. Et c’est en s’exprimant d’avantage plus fort à l’attention de tous les membres que Mathias avait décider de ce plaindre, et de démontré que le peuple dont il avait vainement pris la peine d’enseigner la valeur d’équilibre durant ces messes, avait échouer.

Citation :

Mes avées.

Moi, je suis un homme humble envers son semblable. Moi, je suis à l’écoute de ceux qui m’entourent, et de moi-même. Je me soucis de ce que les autres peuvent penser, et de ce que moi-même je ressens face a leurs mépris. La porte de Citria est le passage de nombreux pèlerins venus de très loin. À chaque jour, je regarde le mal incarné à la grande porte que nous avons construit en l’honneur de l’Hastanie et d’Odéon lui-même. Ce que je déplore ce n’est point mon semblable qui avait à apprendre de ces erreurs, mais de ceux qui ont donné l’ordre d’y exposer sa tête qui lui servait de vivre et de réfléchir.

Qu’est-ce qu’une tête d’Hastane pouvait bien faire là ? Même si cette hérétique a été, pourquoi est-ce que nous devrions démontrer en face de notre si belle cité, une médiocrité incarnée ? Qu’avons-nous à apprendre à nos fils, qui plus tard deviendront ceux qui gouverneront fièrement comme nous l’avons fait, la Blanche ? Que cette tête en soit défaite de son poteau, sinisi sa en sera au Roi et à des personnes un peu plus conscient que vous-même qui s’occupera du problème. Après tout, nous ne sommes pas des Mortanyss…


Révéros, et que cette tête en soit décroché au plus preste.


Mathias Triat, Serviteur d’Odéon.

Mes avés à vous Sieur Triat, voilà qui m'étonne qu'après tout ces mois passés là, en signe d'avertissement de ceux qui oserait comme l'a fait Kyrriam Lameclaire trahir la Blanche et ses semblables, vous ayez reconnu ce qui restait d'une tête. Elle fut retirée nisi par votre lettre mais tout simplement parce qu'il n'en restait plus grand chose.

Pour un homme humble et à l'écoute, je suppose que vous ne vous êtes nisi même demandé qui avait mis cette tête là et pour qu'elles raisons! Laisser les autorités en place juger de comment prendre compte de cette situation. Vos lettres disséminées dans la population n'auront nisi l'effet escomptées, ceux présent à ce moment cracheront sur la carcasse de ce traître à la Blanche et les imprudents savent le sort qui les attend si jamais ils seraient tentés à trahir Citria.

Gloire à Odéon
Gloire à Citria et son Roi

Signé Sénéchal Anais D'Alvènes