Baramìr DuChaine Citadin
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| Sujet: Au loin dans le pré... Sam 07 Aoû 2010, 4:18 am | |
| - Baramìr DuChaine a écrit:
- Au loin dans le pré...
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, C’est au loin qu’arrive le seigneur, Se grand et valeureux chevalier, Mais tous sembles en pleures, Que s’est-il donc passé, Un groupe de chevaliers amenant, Les berceaux de leurs défunts camarades, Et chantant en cœur les vœux et leurs mœurs, Puissent leurs frères d’armes rejoindre Odéon.
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, Puis recommence le cycle de la vie, Tel Séphora sortant de ses gonds, Mais cela ne fait que débuter, Le chant ne fini pas sur ses émotions, Il doit se relever seul à présent, Remontré sa dignité du passé, Reprenant son courage échappé, Pour démontrer sa bravoure insensée.
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, Sur les champs de la grande croisée, Qui donc reviendra au combat, Avec la tête haute et sans pleurer, Probablement moi si je serais grand, Un enfant voulant apporter un aide impossible, Tels les hommes ils sont si insensibles, Pensant qu’à eux ils sèment des peines, Récoltant par la suite que leurs souffrances, Mais aux tréfonds leurs cœurs versent des larmes, Alors que devant leur bien aimé ils sont que de glace.
Cours dans les champs au loin au grand pré, Ressent le vent parcourir les contrées, Odéon revient leur donc montré, Le grand soleil qui les ont réchauffés, Les camarades du grand chevalier, Montent la colline en haut dans le pré, Ils se recueillent sur les croix qui y sont plantés, Criant une peine impossible à combler, Une innocence se montre alors devant eux, Éclairant le chemin qu’ils doivent parcourir, C’est ainsi qu’ils finissent à se rassembler, Pour enfin prouver se qu’on attend d’eux.
Courant dans les champs au loin au grand pré, Tranchant l’ennemi qui revient en surnombre, Mais leur foi impossible à briser, Repoussent ceux-ci en criant leur victoire, Ils marchant à présent dans les champs au loin au grand pré, Ressentant le vent sur leurs visages basanés...
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