Description:
Nom: Marcus
Âge: 18 ans
Classe: Chevalier
Cicatrice: Aucune
Sexe: Masculin
Musculature: Moyenne guerrier
Fervant: Odéon
Le Commencement
Je suis Marcus. J’ai été adoubé en temps que chevalier d'Odéon voilà maintenant quelques années. Je suis le code de chevalerie avec honneur pour tentez de faire tenir un équilibre. J’ai toujours été loyal envers ma patrie et malgré le fait qu’aujourd’hui je sois l’égal de tous les chevalier de Citria, je respecte et admire tous mes aînés, qui ont été adoubés avant moi et pour qui j’ai été écuyer pendant des années. Dès mon plus jeune âge, mon père ne pouvant s’occuper de moi pour se consacrer à sa ferme qui se desséchait, j’ai été envoyé au clergé pour servir l’entourage du Roi. Au clergé, ayant vite remarqué ma forme physique et ma taille hors du commun chez les serviteurs, ils ont vite fait de me donner le titre d’écuyer parmis leurs forces.
Pendant des années, je me due de servir les chevaliers de lumière du Roi et par la même occasion, j’apprenais le respect, l’honneur, la discipline, la loyauté; le code d’honneur d'Odéon. Comme il me tenait à cœur d’atteindre le rang de chevalier, j’appris vite les fondements de la chevalerie et c’est à l’âge de treize ans que mes Maîtres chevaliers me firent l’honneur, pour me remercier de mes loyaux services envers l’ordre, de m’offrir mes premiers cours d’escrime et d’équitation. Je devins alors bien vite le meilleur de leurs élèves en raison de ma taille imposante et de mes bras puissants.
Après quelques années, à l’âge de seize ans, j’étais presque considéré comme un chevalier et je me vis me faire offrir ma propre monture, un poulain beige de trois ans, ainsi que mes propres armes. Le même jour, je partie patrouiller avec quelques-uns de mes Maîtres. C’était un grand honneur pour un simple écuyer. Je paradai avec eux jusqu’aux portes de Citria, épée appuyée sur mes hanches, bouclier attaché sur mon dos. Je ne pouvais porter mon bouclier en main comme mes Maître car je n’étais pas encore chevalier et je ne posséderais pas cette armure immaculée avant encore trois ans. Nous continuâmes notre patrouille jusqu’aux fermes à la frontière ouest de Citria et l’on m’annonça que je resterais de gardes la frontière pendant quelques heures avec trois de mes Maître : Armand, Louis et William.
Je fis vite d’acquiescer et d’aller attacher ma monture à l’enclot du poste de garde. Je regarda ensuite partir le Capitaine Elund qui nous escortait et deux autres chevaliers qui se relayaient de leurs tours de garde. Les trois chevaliers qui m’accompagnaient me sourire en m’invitant ensuite à venir m’asseoir. William, le plus jeune, commença ensuite à m’expliquer que les tours de garde étaient souvent bien simple à effectuer mais avant de m’en dire d’avantage, il s’arrêta net puis envoya un regard inquiet à ses compatriotes qui se levèrent aussitôt, dégainant leurs épée. Je commençais à m’inquiéter. Sans poser de question, je me leva puis je pris mon arme.
« Maîtres? m’inquiètai-je.
Marcus, dépose ton arme, m’ordonna William en empoignant la sienne. Si les choses tourne mal, tu te rends à la caserne le plus vite possible. »
Cette réponse ne me convenait guerre car je me sentais de taille à combattre mais il m’était interdit de le lui faire part. Je me tus. Au même moment, trois sorciers apparurent devant nous dans un éclat de fumer. Armand se précipita vers la cloche d’alerte mais une flèche l’arrêta en allant se planter dans son épaulière, partie découverte de son armure. La flèche venait des bois. Je n’avais nul besoin d’autre chose pour exécuter l’ordre que j’avais reçu. Je devais me rendre à la caserne pour prévenir l’arriver des ennemies Gorlak. Pendant que mon Maître Armand gisait sur le sol, criant de douleur, je devais vite fuir. Il n’y avait pas beaucoup d’espoir.
Devinant mon intention de retourner à la caserne, un des mages m’envoya un éclair. Je me précipitai au sol, agrippant mon bouclier au passage. Les deux chevaliers toujours valides coururent vers les mages pour frapper leurs boucliers magiques, les affaiblissant. Cette diversion suicide me permit de rattacher mon bouclier à mon dos et de fuir vers la caserne. Les trois chevaliers furent mutilés. J’entendais toujours les cris de ces barbares lorsque j’aperçus un jeune cavalier non loin sur la route. Je lui ordonnai de m’offrir sa monture, me présentant comme un chevalier. Je prévenus tous les soldats sur mon passage jusqu’au château. Lorsque j’arrivai à la forteresse, l’alarme commençait déjà à résonner dans toute la ville. Je dépêchai tous les chevaliers au repos. Il fallait organiser une défense en vitesse.
Malgré mon acte héroïque, on ne me permit pas de participer à la bataille. Les chevaliers d'Odéon débarrassèrent la ville des mages des ténèbres et de leurs disciples. Plusieurs chevaliers étaient cependant tombés au combat et cette tragédie me permis de me faire adoubé un an plus tard, soit deux ans plus tôt que prévus. Les rangs des chevaliers d'Odéon étant de plus en plus affaiblis par les raids continuels de l’Empire Gorlak, le peuple avait besoin de puissant guerriers et mes Maîtres et moi-même étions persuadé que je pourrais devenir un atout important pour l’ordre dans les guerres à venir.
Je fus donc adoubé en temps que chevalier d'Odéon alors que je n’étais qu’un enfant. Les raids se calmèrent ensuite petit à petit, se faisant de plus en plus rares. J’aquis de l’expérience et je commença à entraîner les jeunes écuyer. L’ordre était comme une grande famille pour moi. Nous étions tous des frères d’arme vaillant à maintenir l’ordre et la paix dans la cité… et nous y arrivions.