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 La chevalerie hastane

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MessageSujet: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 3:01 pm

Le titre de chevalier et tout ce qui entoure la chevalerie représente un aspect important du background hastane qui n'est malheureusement pas exploité à son plein potentiel actuellement! Nous avons un batîment, une école de chevalerie, très intéressante et présentement sous utilisé. J'aimerais avoir vos idées, vos impressions et vos suggestions sur le sujet. A titre indicatif, je reprend plus bas le background de la chevalerie :


Citation :
La Chevalerie


Historique

A l'époque de cette histoire, nous étions sous la coupe du seizième Roi d'Hastanie, Emmeric II. Son règne était synonyme de sévérité et de grandeur. Jamais la Sainte Cité n'avait autant fleuri.

Ses marchés prospéraient, ses bourgades affluaient de ressources insoupçonnées, les terres du Royaume étaient en constante expansion. A la fois bon et despotique, quiconque contrevenait à la volonté royale se devait d'en subir le courroux. Mais quel fol Hastane aurait osé médire la pensée de l'élu de la lumière...

L'été convergeait timidement sur les landes, chassant les fraîcheurs printanières, pour bientôt laisser place aux âpres brûlures du Soleil ardent. Heureux hasard, Odéon voulut qu'Emmeric II voit le jour, pour la première fois, dans la chaude saison. En son honneur, un somptueux banquet s'érigea dans les jardins jouxtant l'imposant chateau. Les bannières flottaient au vent, le vin coulait à flot, tous fêtaient l'évènement avec une gaieté peu commune. Les diverses couches du peuple hastane se mêlaient entre elles, l'homme de main à la dextre du nobiliau, le nobiliau en face du diplomate, le boulanger aux côtés du maître d'arme... C'est seulement au coucher de l'astre solaire, comme pour attirer toute l'attention sur lui, que le Roi se leva de son trône. Dans un geste de main lascif, il fit signe à la populace hétérogène de faire silence. C'est alors qu'il annonça, en les mots qu'il nous reste de son discours :

"Mes fidèles sujets, l'heure est à la réjouissance! Cette nuit est vôtre. Cette nuit, le Royaume vous l'offre. Ce repas, ces festivités, vous appartiennent. Je vous y enjoins, fils et filles de Lumière, profitez de la quiétude nocturne de notre Cité: buvez, dansez, mangez, jouez, riez, et même, forniquez!

Je vous le dis, mes frères et mes soeurs, car demain, l'aube sera mienne. Notre héraldique vole haut dans les cieux, et notre Cilias est fier de nous. Mais il ne m'est pas de nature à me réjouir de ce que j'ai déja. Aussi, je vous amènerai de quoi prospérer. L'or et les victuailles pleuvront comme le bonheur nous accable en cet instant! Pour ce faire, une campagne sera menée. Nos terres doivent encore s'étendre, et asseoir l'autorité du Juste sur les landes impies. A l'aube, mesdames, je prendrai vos époux, et ils marcheront la tête haute, pour la gloire de la patrie!"

Ce discours, cérémonieux, le Roi le ponctuait par des éclats de voix, ou autres gestes éloquents. La foule, ivre de la prestance de son Seigneur, hurlait à la gloire de leur Père. Le peuple, fidèle et soumis, obéit à Emmeric II. Et il tint promesse. Le lendemain, à l'aube, l'ancienne Légion sommait tout patriarche familial à se regrouper devant les primes pierres posées de la Cité. Les glaives furent fournis, ainsi que quelques protections utiles, au cas où une rencontre malheureuse les eût surpris.
Les hommes marchèrent vers l'Ouest, tel un bataillon pataud, pas encore décrassé de ses excès de la veille. Si à Citria, les Hastanes étaient courtois et aimables, les landes inconnues les rendaient irritables. Sur leur chemin était semé la discorde et l'insubordination. Il n'était pas rare que l'armée ainsi constituée, sous l'oeil sévère de quelques cavaliers, procédait à divers écarts de comportement. Certaines maisons campagnardes étaient pillées, d'autres simplement vandalisées, comme tribut de leur devoir envers la Couronne. Mais qu'importait ses détails, le crime était juste, car il était fait pour le bien du Royaume...

La lune, à leur départ se dessinait comme un croissant. Elle était pleine, lorsque les cors sonnaient le retour du bataillon. Au grand enthousiasme du Roi, celui-ci quittait la couche nuptiale, et revêtit son armure, pour la circonstance. Accompagné de son escorte, il sortit en trombe du chateau, et déambulait vivement dans les ruelles réveillées, habillé de sa cape d'hermine, peu de circonstance, étant donné la canicule que les terres essuyaient. Il arriva à la rencontre du hérault, pour la peine monté à cheval. Les naseaux de la monture expiraient vivement l'effort qu'il avait fourni. Le messager mit rapidement le pied au sol, et après un salut révérentiel, dressa le compte-rendu de l'expédition.

"Monseigneur, croyez bien que notre recherche ne fut pas vaine, bien au contraire! Malgré que nous n'ayons pas rencontré de résistance, aucun bastion ne fut laissé derrière nous pour épancher notre emprise sur les landes.

Toutefois, les généraux ont cru bon replier rapidement, à la découverte d'un trésor qui saurait, sans nul doute, vous intéresser."

Entretemps, la populace avait eu le temps de se regrouper aux balcons des habitations, épiant la scène peu commune. Le ton du messager révélait sa crainte. Et à raison, le Roi fulminait déja de savoir son expédition mise en échec. Alors qu'il s'apprêtait à rendre châtiment à ce hérault impudent, annonciateur de mauvaise augure, deux valets avaient saisi les poignées d'un coffre d'allure vétuste, pour le déposer au pied d'Emmeric, avant de s'incliner devant lui, posant le genou au sol.
Déja, ses doigts, qui avaient précédemment enserré la garde de son épée, fuyaient cette étreinte. Le coffre, qui avait apparemment été crocheté, arborait à même le bois une gravure du Marteau hastane. Sans tarder, Emmeric l'ouvrit, et sur son visage se lisit la stupeur. Il en extirpa une relique poussiéreuse et, avec toute la précaution du monde, sa paume puissante passait sur la couverture de l'édit, pour lui donner une nouvelle jeunesse. Peu à peu, la reliure, défaite de son manteau de poussière, reprenait sa couleur dorée originelle.

L'intitulé apparaissait alors en lettres d'argent, et Emmeric ne put se retenir de répéter à haute voix, ce que ses yeux lisaient.

"In Odéon Sanctis..."

Plusieurs années durant, l'édit était passé entre les mains des religieux affairés. Le Roi, impatient de saisir le sens de ce trésor, avait chargé le Culte d'Odéon de le rendre lisible. En effet, son écriture restait en grande partie inconnue des Hastanes. Le langage était ancien, il remontait sans doute aux premiers hommes ayant foulé le sol, ou bien encore était-ce le palabre des Cilias...

Certains des plus fanatiques laissaient même entendre qu'il fût écrit par le Juste lui-même, ayant un moment cru avoir en leur possession les Saintes Ecritures, reliques tant convoitées. L'origine en restait mystérieuse. Les soldats, sous la contrainte et les représailles, révélèrent qu'ils avaient trouvé le coffre dans un temple abandonné, qu'ils s'apprêtaient à piller en l'espoir d'y trouver richesses oubliées. Dans le doute, sans prendre le risque qu'un temple de l'ancien empire, béni d'Odéon, ait été bafoué sans punition, la vie des malheureux explorateurs se finit au bout d'une corde.

Aidé de manuscrits jaunis et gondolés par le temps, les moines emboîtèrent le pas de leur laborieux travail. La traduction se faisait lente et consciencieuse, ne laissant aucune place au hasard ou à l'hésitation. Pendant quinze cycles, leur office fût émaillé de difficultés diverses, jusqu'à atteindre leur objectif. L'oeuvre titanesque, trouva sa solution dans les notes développées durant de nombreux conciles. Des savants furent chargés de leur donner une forme appréciable, digne de l'importance du document.

Enfin finalisée, l'oeuvre fut remise à Emmeric II, sur lequel le temps avait étendu son emprise. En effet, le Roi avait gardé les stigmates de la peur. Son règne, qui autrefois était faste et grisant, prit les chemins de la rédemption. Comme s'il offrait son pardon à Odéon, le peuple fût guidé par la main autoritaire de leur Souverain, en vue d'expier leurs péchés antérieurs.

Ce désir d'absolution trouva son terme dans la relique sainte. Et pour cause, cette dernière exposait comme dogmes indissociables des Hastanes, une série de vertus à respecter. Au-delà même des vertus qu'il édictait, plusieurs phrases sentencieuses trouvaient leur place au fil des pages, semblables à des commandements. Emmeric II n'y resta pas insensible, et proclama, aussitôt la relique lue, que le peuple tout entier devrait s'y conformer, sous peine de subir le courroux d'Odéon lui-même.
Pour mener à bien son chemin de croisades, la Légion en fût avisée, ainsi que l'Inquisition. Il leur fût donné l'ordre de mettre aux arrêts les derniers païens Hastanes. Le Clergé, plus actif que jamais, s'évertuait à distribuer des copies de cette relique à ceux qui le demandaient. Des messes étaient organisées au sein de la Sainte Cité, et ils dispensaient l'enseignement avec une ferveur jamais connue d'hommes de foi. Encore une fois, sous le joug de leur despote, les Hastanes obéirent.

Cependant, malgré que les vertus et que les commandements étaient à présent connus de tous, leur application entière et quotidienne restait rare et surprenante. Certes, le peuple considérait les écritures de cet édit comme un idéal à atteindre; la réalité laissait seulement peu de preux y parvenir. Ereinté par son échec réformiste, Emmeric II ne pouvait que constater la faillite de son envie. Mais dans cette adversité, lui étaient apparu les plus preux et les plus braves de son peuple, qui suivaient respectueusement le chemin qu'avait tracé la foi et la royauté.
Désireux de les récompenser dignement, le Roi envoya des coursiers les mander, par le biais d'un pli, cacheté du sceau de la Couronne. La nouvelle fit bientôt le tour de Citria, et la populace se massait déja devant les portes du château, tandis qu'une cérémonie discrète se tint dans la salle du trône.

Les Hastanes élus du Roi, en guise de récompense, purent faire face à ce dernier. Vêtu de son armure scintillante, et de sa lourde cape d'hermine, Emmeric II s'appuya sur les accoudoirs de son siège et, se redressant, les dévisagea de son regard, seul vestige de sa jeunesse passée. Ses yeux azurés parcouraient la ligne que la poignée d'hommes formaient, et les rides de son visage s'accentuèrent légèrement, leur offrant un sourire bienveillant. De sa voix demeurée forte, il entonnait ses paroles, devenues coutume pour l'adoubement Hastane :

"Toi, fils d'Odéon, tire ton épée au clair, et jure que son fer me sera fidèle. Prête serment d'allégeance à ton Seigneur, et il te rendra grâce. Tu seras mes yeux, tu seras mes bras, et je serai la tête qui te commande. En ce jour, notre Père est témoin de ta fidélité, et c'est en ma qualité d'élu que je te nomme Chevalier de la Couronne."

Les Hastanes désignés, profondément touchés d'une telle preuve de sympathie, marquèrent leur dévotion à l'unisson :

"Je jure, votre Altesse, de vous rester fidèle, jusqu'à mon dernier soupir. Pour l'honneur et pour le Roi!"

Suite à cet évènement, l'éducation sévère, préconisée par l'édit, fut réservée à la garde personnelle du Roi, qu'il avait créée par cet adoubement. En cet honneur, on connaissait enfin le titre qui fut donné à cette relique. Le Code de Chevalerie était né.


Présentation

La Chevalerie naquit de l'initiative du seizième roi d'Hastanie, Emmeric II. Connu comme l'un des plus pieux de toute la lignée, il avait créé cet ordre restreint, à la suite de son échec réformiste. Le peuple était, après l'avoir âprement constaté, trop peu digne d'un tel enseignement. Pour cette raison, il le réserva à l'élite Hastane, qu'il choisissait souverainement, parmi la population.

Auparavant entendus comme des nobles au service du roi, les chevaliers constituent la garde personnelle du souverain. Selon ses ordres, ils peuvent être, notamment, affectés à la protection d'un pontif, ou même d'un dignitaire Hastane. Cela dit, cet ordre bénéficie d'une large liberté de manoeuvre, tant les chevaliers sont craints et respectés. Ils n'obéissent qu'à un seul homme, et c'est le roi, devant lequel ils ont prêté leur serment d'allégeance. Il n'est donc pas rare de voir les chevaliers affectés sous les ordres du maréchal dans l'optique d'une guerre ou d'une campagne militaire. Soucieux de respecter leur engagement, ils iront selon la volonté de leur seigneur.

Fiers serviteurs, fidèles à la couronne, les chevaliers nouent entre eux un lien encore plus fort que celui du sang. Ils ont conscience d'appartenir à un destin commun, et tout chevalier se proclame frère d'un autre. Si le peuple Hastane est solidaire, l'ordre chevaleresque en est l'apogée.
Le roi a sur eux la pleine emprise. Il les nomme et les révoque quand bon lui semble, sans qu'il lui faille pour cela se justifier. De même, il arrive qu'il les convie tous à sa table, pour les entretenir d'un sujet ou d'un autre. De ce fait, les chevaliers ne sont pas inconnus du château; ils y sont souvent les bienvenus, sans pour autant y vivre.

Les Chevaliers étant pour la plupart des guerriers ayant à leur actif de hauts faits d'arme, la gloire rejaillit tant sur le Hastane que sur le destrier, qui l'eut porté vers la victoire. Pour cette raison, les Chevaliers ont le droit d'amener leur monture dans l'enceinte de la Sainte Cité, et sous aucun prétexte l'on ne le relèverait de ce droit.

Tout chevalier a été désigné par le roi d'Hastanie. Ce titre relevant de l'autorité du Souverain, son attention se doit d'être attirée sur l'un de ses sujets. Il jugera souverainement si un homme est digne ou pas de le servir, et donc de lui faire don de ce titre. Au fil des siècles, il a été possible de dessiner les contours de l'accès à la Chevalerie.

Pourra donc aspirer au titre de Chevalier :

- Le sujet de Citria faisant partie de l'Armée de l'Aube, dont les états de service sont irréprochables, et dont la carrière se veut méritante d'une telle récompense
- Le sujet de Citria ayant suivi, au sein d'un dispensaire reconnu du Royaume, une éducation conforme au Code de Chevalerie, et dont l'avenir est prometteur.
- Le sujet de Citria indépendant, mais qui a su prouver au peuple tout entier sa dévotion sans faille, ainsi que sa bravoure.

Base fondamentale de leur éducation et de leur conduite, le chevalier, plus que n'importe lequel des sujets, aura pour dessein de respecter les valeurs et les commandements auquel il obéit. Ceux-ci ont été traduits, depuis l'ancien langage, en ces termes, par les religieux qui en avaient la charge, sous l'ordre d'Emmeric II.

1. Tu croiras à tous les enseignements du clergé et tu défendras ses préceptes.
Le clergé est la voix d’Odéon. Le suzerain lui-même ne saurait en dire autrement. Le créateur de tout hastane exprime sa volonté par ses élus, il n’est pas sage d’agir contre ceux-ci.

2. Tu protègeras le temple d’Odéon.
Ma ferveur en mon Cilias est incontestable et ainsi je défends sa maison comme si elle était la mienne. J’y donne ma vie.

3. Tu défendras tous les enfants d'Odéon.
Odéon est juste pour tous. Ainsi il faut défendre le faible, la femme et l’enfant. Il n’est pas acceptable qu’un fils d’Odéon soit confondu à un barbare.

4. Tu aimeras le royaume et le Roi.
Le royaume est le bastion du Bien, le Roi est son protecteur. Ainsi, celui qui va droitement défendra autant le Roi que son royaume.

5. Tu ne fuiras jamais devant l'ennemi.
L’honneur commande l’homme brave. Mieux vaut être mort que d'être appelé couard.

6. Tu combattras les infidèles avec acharnement.
Convertir ou sinon absoudre l'infidèle est le premier pas vers Odéon.

7. Tu rempliras tes devoirs envers ton maitre, à condition qu'ils ne soient pas contraires à la loi divine.
L'homme juste est fidèle à son seigneur et l’aide en cas de besoin. Le bon seigneur, est toujours fidèle aux commandements de la chevalerie.

8. Tu ne mentiras jamais et tu seras fidèle à ta parole.
L’honneur ne demande aucun mensonge et le respect de la parole donnée est la franchise.

9. Tu seras libéral et généreux.
Le guerrier juste doit être courtois et sage pour tous. Il doit aussi être aussi généreux.

10. Tu seras toujours le champion du droit et du bien contre l'injustice et le mal.
Il n’est de commandement plus digne de celui-ci. Il importe que la bonne action triomphe sur le mauvais principe. Celui qui va avec honneur porte avec lui les intérêts d’Odéon et n’accepte aucun compromis.

Rédigé par Sephora d'Argon et Louen Rimbaldi
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Godefroy
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 4:45 pm

Très intéressant. Par contre je vois mal comment s'impliquer la-dedans sans être chevalier.

Mon perso a toujours tout fait pour le devenir ou en être digne, mais ce genre de chose ne se demande pas vraiment. Pour mon perso la chevalerie n'est pas morte, elle reste un idéal distant à atteindre. Simplement il y a peu qu'il puisse faire pour s'impliquer sinon que de rester droit et d'attendre une chance de se prouver.

Et pour l'école de chevalerie, c'est intéressant mais encore une fois, ce doit venir de l'initiative d'un chevalier, sinon ça fait pas beaucoup de sens.
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Nataniel Edar.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 6:44 pm

C'est présentement en discussion, en fait, et nous aimerions impliquer un maximum de gens là-dedans. Bien sûr, aucune décision n'a été prise puisqu'en ce moment, notre argumentation se résume à quelques hypothèses, mais je crois que c'est unanimement que nous aimerions impliquer le plus de personnages que possible. Autant en étant élève ou écuyer qu'en étant enseignant ou encore chevalier.

Personnellement, je crois que ramener cette facette du BG donnerait un autre sens à la race qui n'exploite pas cet angle du background.

Et je crois aussi que ça pourrait éventuellement être très plaisant parce que ça créerait une chimie IG entre les divers étudiants, une bande de "lycéens" (Terme assez grossier, entendons-nous) du temps de la Chevalerie.

Pour ceux ayant connu et peut-être vécu l'époque (Pas si lointaine, par contre...) des "écuyers" (Marshall Leavittias, Gabriel D'Argon, Liam Ambrosius, moi-même, etc...) je crois que beaucoup ont su apprécié les petites scènes cocasses, par exemple Marshall demandant à Nataniel de le pousser, durant un combat, vers Aurelia pour lui offrir une fleur en me chuchotant, après, "Je t'en dois une.." ou encore lorsque Lyliana désirait aller "Prendre l'air" et que les Chevaliers et Écuyers ont tous commencé à lui dire de prendre un compagnon pour la protéger d'un éventuel ivrogne qui voudrait lui faire du mal, en suggérant tous, bien entendu, Nataniel. Ce sont des scènes banales, mais qui peuvent enlever un peu ce sens "sérieux" et un peu morne de la race qui semble souvent tourner autour du "Nous devons protéger la cité au prix de nos vies". Ce n'est pas une mauvaise chose que de jouer une race sérieuse, mais d'y ajouter de la profondeur ne peut, selon moi, pas faire de tord.

Je crois que l'école de Chevalerie ajouterait un petit RP "léger", mais qui peut aussi devenir très très chevaleresque lorsque la situation le demande. J'imagine nos jeunes écuyers s'amuser ferme lors de leurs temps libres, mais lors du combat, on pourrait les voir tous bien sérieux et concentrés, sauf peut-être quelques écuyers qui, eux, sont des bouffons inconditionnel.

Bref, ça ajouterait une large palette de RP à la race Hastane, et donnerait une très grande possibilité de scènes, diversifiés, les unes plus différentes que les autres et, surtout, ajouter cette petite chimie qui manque cruellement au jeu des jeunes combattants aspirant aux plus grands honneurs.
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Bohémond Hastane
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 7:48 pm

Je crois qu'une école de chevalerie serait une mauvaise idée; cela serait un autre ordre dit paramilitaire innutile au royaume; comme la maintenant décédé milice.

Je crois que la tradition d'avoir un mentor qui enseigne a des gens est l'idéal; mais encore la, avec les chevaliers que nous avons je doute de cela; par la présence et aussi le nombre.

Dans les fais... je ne sais pas trop quoi proposé; une école de chevalerie me semble pas être l'idéal, ca me semble un chemin trop facile et surtout un groupe peu utile a un royaume qui manque de combattant discipliné dans l'armée...

Donc je disais mon avis, je penserai a une solution.

Ps; me dire que je râle sans amener d'idée peut semblé facile mais cette école a raté quoi... 2 3 fois? Quitte a partir un projet autant qu'il soit pertinent.
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Nataniel Edar.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 8:32 pm

Le concept n'est pas de vouloir faire un ordre militaire, comme je crois l'avoir évoqué plus haut. Si j'ai oublié, pardonnez moi.

L'idée de l'école est davantage de regrouper les combattants qui ont comme aspiration de devenir Chevalier, sans pour autant les voler à l'Armée. En fait, selon mes souvenirs, je crois qu'Anais et Arthus étaient deux des élèves de l'école quand Richard a malheureusement quitté.

Pour ce qui est des 2 fois où l'école n'a pas ouvert, il faut dire que les concours de circonstances n'ont pas été agréables à l'ouverture, puisque Séphora avait été banni par le Roi à l'époque, ce qui laissait l'école sans propriétaire, et la deuxième fois, Richard a été submergé par ses études et a dû abandonner Teilia, chose que la plupart d'entre nous comprenons je crois.

Maintenant, je crois que le projet pourrait voir le jour si les Chevaliers ne désirent pas prendre trop de temps pour créer des documents plus futiles qu'utiles.

Néanmoins, je comprend le point de vue de ne pas vouloir remplacer la garde, comme la milice avait pour but de faire avant que les MJs changent (Un autre concours de circonstances qui casse un projet) et l'école aurait un but, de mon point de vue, strictement RP avant tout, afin de regrouper non pas les joueurs qui désirent jouir d'un privilège, mais ceux qui désirent jouer le RP d'un écuyer aspirant à la Chevalerie. Ensuite, s'il y a un groupe motivé et plein d'idées, peut-être sera t'il possible de donner certaines tâches à l'école de Chevalerie.

Je répète, encore et toujours, que ceci est mon point de vue.
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Bohémond Hastane
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 8:56 pm

Ma question est simple; a quoi sert l'école de chevalerie pour l'ensemble de la population? C'est utile ou un autre bonbon accordé a une minorité qui cherche une place dans la société sans vouloir passé par les sphères.

Ont a déjà hérité d'un conseil royal boiteux (1 joueurs seulement), d'un ordre de templier peu utile (ils ont foutu quoi? et a quoi servent-il vraiment?)

Une école de chevalerie est t'elle vraiment utile, et si si oui, qui va dicté l'éthique chevaleresque de notre société?
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Anaïs d'Alvènes, Hastane
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 8:59 pm

En effet, tu as une bonne mémoire Nat, moi et Arthus on était écuyer.
Bon mon avis sur tout ceci. Les chevaliers amènent du rp, par contre le problème c'est qu'il y en a peu et c'est donc difficile de devenir chevalier (si on part du concept qu'un chevalier a un écuyer). Comme la dit Godefroi ce n'est pas quelque chose que mon personnage demanderait ig, c'est un idéal à atteindre, on se le fait proposer mais selon moi on ne se propose pas. On doit attendre que ça nous tombe dessus.

L'école de chevalerie a toujours été un concept que j'ai trouvé étrange. Une école de chevalerie avec des cours? J'ai toujours été un peu perplexe là-dessus, j'attendais de voir avant de juger, mais finalement le projet est mort dans l'oeuf. Je crois qu'il faudrait rester à un concept d'un chevalier avec 1-2 écuyer, mais encore là, il faudrait des chevaliers présents et des gens intéressés à jouer les écuyers aussi.
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Bohémond Hastane
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 9:03 pm

Je dirais que la chevalerie de n'apprend pas è l'école, c'est plus un mode de vie et un apprentissage sur une vie. Car soyons honnête, en pratique, un chevalier c'est un machine a tuer qui se contrôle, est courtois et poli, c'est une invention du clergé moyenâgeux, un peu comme le mythe du samouraï pour le japon féodal.
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Viviane C. de Richecoeur
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 9:23 pm

Je suis d'abord arrivé à Teilia peu avant la reprise de l'idée de l'école de chevalerie par Richard. Je caressait l'idée avant même d'avoir commencé à jouer, cette école a donc beaucoup attiré mon attention dès le départ. Bien sûr, l'idée d'une École me seblait saugrenue, mais toutefois intéressante car au lieu de faire partit du pouvoir directe de sa majesté comme tout ce qui est en Citria, l'école de chevalerie était le résultat d'une initiative d'un joueur qui profitait de son influence pour en faire bénéficier des joueurs dont il aimait le jeu. Dans les faits, je dirais qu'il cherchait à fonder un clan en jeu, une alliance avec des personnes qu'il imaginait arriver un jour aux postes importants du royaume. C'était efficace.

Est-ce qu'une école de chevalerie serait souhaitable ? Pas, à mon avis, entre les mains de l'animation.

Est-ce qu'il devrait y avoir des ouvertures pour que certaines personnes soient nommés chevaliers et que ces chevaliers puissent se choisir des écuyers ? Il me semble que ce serait là la meilleure chose à faire présentement.

Je suis d'avis qu'il est préférable, et en cela j'approuve Dominic, que les sphères rassemblent la majorité des investissements des joueurs, et que ces sphèrent gardent le contrôle sur les différents groupes que certains joueurs voudraient former.

Par contre, est-ce qu'il serait utile de refuser pour cela des initiatives de certains joueurs pour se créer des groupes officiellement reconnus mais hors de la sphère d'influence de Citria ? Je ne crois pas.

Je le répète, à mon avis les chevaliers du Roy me sembleraient à même de choisir leurs écuyers sans l'interférence d'une institution. Cela créerait une belle fraternité entre ces couples Maîtres/élèves. Et tous ensembles, ils auraient l'occasion de s'organiser tel qu'ils le souhaitent. Que ce soit sous forme d'école ou autre, les chevaliers pourraient décider de faire éduquer leurs écuyers de la façon la plus adaptée qui soit.
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Bohémond Hastane
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 9:27 pm

Shut il faut pas dire mon identité secrète!
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Séphora D'Argon
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 10:17 pm

Voici des éléments de réponse pour ceux ayant daigné posté leur avis. Je reprendrai ici certains passages de mes réponses formulées sur le forum de la Milice sur le point d'être destituée.

Viviane de Châtillon a écrit:
Je caressait l'idée avant même d'avoir commencé à jouer, cette école a donc beaucoup attiré mon attention dès le départ. Bien sûr, l'idée d'une École me seblait saugrenue, mais toutefois intéressante car au lieu de faire partit du pouvoir directe de sa majesté comme tout ce qui est en Citria, l'école de chevalerie était le résultat d'une initiative d'un joueur qui profitait de son influence pour en faire bénéficier des joueurs dont il aimait le jeu. Dans les faits, je dirais qu'il cherchait à fonder un clan en jeu, une alliance avec des personnes qu'il imaginait arriver un jour aux postes importants du royaume. C'était efficace.

Parfaitement. Le but que je désirais atteindre, une fois la création de l'Ecole acceptée par le staff, était de réunir des joueurs au RP concordant avec le BG de Chevalerie et l'idéal qu'il véhiculait. Lors de mon bannissement de Citria, Richard a souhaité ne pas perdre cette idée de vue, et a décidé de tâcher de la remettre à flot. Pourtant, il n'a jamais été possible de dépasser le stade de la préparation, peut-être par manque de temps, de moyens ou de soutien de la part de l'équipe.

Aujourd'hui, Aegis propose de la rouvrir en lui livrant une utilité, et vous propose d'énumérer les aménagements qui vous semblent nécessaires. Il va de soi, ceci dit, que l'Ecole est et restera une institution joueurs, à la différence des autres sphères.

Anaïs d'Alvènes a écrit:
L'école de chevalerie a toujours été un concept que j'ai trouvé étrange. Une école de chevalerie avec des cours? J'ai toujours été un peu perplexe là-dessus, j'attendais de voir avant de juger, mais finalement le projet est mort dans l'oeuf. Je crois qu'il faudrait rester à un concept d'un chevalier avec 1-2 écuyer, mais encore là, il faudrait des chevaliers présents et des gens intéressés à jouer les écuyers aussi.

Concernant la nomenclature, le terme Ecole m'avait semblé approprié à l'époque, car c'était un lieu où de véritables formations devaient prendre cours. S'éloignant ainsi de la coutume chevaleresque humaine, un écuyer n'apprenait pas qu'en compagnie de son maître, mais bien d'une multitude de personnes (palefreniers pour les soins des chevaux; médecins militaires pour les soins à prodiguer à ses frères d'armes; érudits pour l'art oratoire; etc).

Ceci avait été proposé afin de se détacher de la tradition justement, et d'éviter une parfaite réplique de la véritable Chevalerie médiévale. Ca ne plaisait pas à tout le monde, même au sein de la Chevalerie, et il est de toute façon impossible de plaire à tout le monde. Néanmoins, pour ceux qui se plaignaient d'une parfaite copie de la Chevalerie humaine, voici un point de différence. Il est toutefois possible de la renommer; à l'heure actuelle, on utilise plutôt le terme "Bastion de la Chevalerie" pour citer le bâtiment, depuis que Perceval a souhaité la fermeture de l'Ecole.

Néanmoins, le terme Ecole me semblait pertinent, au vu de ce que le projet devait être: un lieu de savoir, de formations (autant physiques que philosophiques) et de partage; mais aussi et avant tout, de solidarité. Se détachant à nouveau de la culture populaire, un Chevalier ne se serait pas ainsi limité à guerroyer, et à servir son seigneur; plus que cela, il aurait été amené à former des gens, à leur apprendre quelques bases de réflexion, soumettre des idées aux divers points de vue qui se prononceraient. L'interprétation des Commandements, à elle seule, constitue une source intarissable pour des débats animés.

Anaïs d'Alvènes a écrit:
Le problème c'est qu'il y en a peu et c'est donc difficile de devenir chevalier (si on part du concept qu'un chevalier a un écuyer). Comme la dit Godefroi ce n'est pas quelque chose que mon personnage demanderait ig, c'est un idéal à atteindre, on se le fait proposer mais selon moi on ne se propose pas. On doit attendre que ça nous tombe dessus.

Avec la formule d'Ecole, on évite la nécessité absolue d'une présence quasi-quotidienne des seuls Chevaliers, car d'autres peuvent prendre part à la vie de cette dernière. Le lien Chevalier-Ecuyer occupera toujours une place importante, mais sera moins primordiale qu'actuellement. Cela permettrait d'obtenir plus d'Ecuyers de la même manière. Ceci dit, tu as raison: on ne demande pas pour devenir Chevalier, on attend de se voir accorder ce mérite. Par essence, et vu le prestige qui se dégage de cette institution, les Chevaliers doivent rester peu nombreux, et cela décourage plusieurs personnes. Néanmoins, j'avais prévu que les dirigeants de l'Ecole aient la possibilité de "présenter" au Roi, un Ecuyer aguerri qu'ils estimeraient prêts à gagner ses éperons d'or. Libre, ensuite, aux GM's en question d'accepter ou pas cette requête.

Bohémond Hastane a écrit:
Une école de chevalerie me semble pas être l'idéal, ca me semble un chemin trop facile et surtout un groupe peu utile a un royaume qui manque de combattant discipliné dans l'armée... Ma question est simple; a quoi sert l'école de chevalerie pour l'ensemble de la population? C'est utile ou un autre bonbon accordé a une minorité qui cherche une place dans la société sans vouloir passé par les sphères.

Tu as raison, et j'avais également mentionné cette crainte: avec la réintégration de l'Ecole, c'est de faire de la Chevalerie une institution qui viderait la Garde. Entendons-nous bien, si l'on demande à quelqu'un s'il préfère être Rédempteur ou Chevalier, la réponse sera sans appel... L'ordre de Chevalerie est une force militaire, certes. Mais son but n'est pas de concurrencer la Garde. Par leurs devoirs, déja, la Garde et l'Ordre sont différents: la Garde assure la sécurité extérieure et intérieure du Royaume; l'Ordre ne doit la protection qu'au Roi; la Garde est une institution purement militaire; l'Ordre promeut une certaine ethique.

Concernant le "but" de l'Ecole, à quoi elle sert, il n'est pas nécessaire d'avoir des missions spécifiques pour l'école, car sachant que c'est un centre d'étude et de formation en tant que tel, la formation des écuyers est un but en soi. L'Ecole n'est pas une "Garde bis"; lorsque nécessaire, l'Ordre de Chevalerie peut recevoir des missions de la part du Roi, dont il devra s'aquitter. Mais durant la majeure partie du temps, leur rôle se limite à la formation et à l'entretien d'une communauté soudée et solidaire.

Certes, il faudra obligatoirement qu'elle ait un but, de temps à autre, qui soit différent que d'enseigner aux écuyers. Un exemple? Le Roi souhaite retrouver les Saintes Ecritures, et demande à l'Ordre de fournir les recherches nécessaires. Ce pourrait être une animation de longue haleine, qui ne demanderait pourtant qu'un effort minime de la part de l'équipe.

Pour ce qui est du "bonbon" pour ceux qui voudraient le prestige sans s'investir dans les sphères, il n'en est rien. Comme dit plus haut, par essence, les Chevaliers sont et resteront peu nombreux, du moins à mes yeux, c'est ce qui me semble le plus favorable. Ce qui pourrait décourager les personnes avides de pouvoir. Concernant le pouvoir, à cet égard... Tu pourras remarquer que les Chevaliers jouissent d'un pouvoir hautement discutable; en effet, ce sont des nobles, qui disposent du seul avantage supplémentaire du droit à la monture en Citria. Ils sont membres de la Basse Noblesse, sont effectivement nobles, mais leurs privilèges sont extrêmement limités. En comparaison, les hauts gradés de la Garde, ou encore les Conseillers Royaux, jouissent d'un statut d'"intouchable" beaucoup plus prononcé, et ont la possibilité de faire jouer leurs relations avec plus de dangérosité (et pour avoir occupé chacun de ces postes, je sais de quoi je parle).

Bohémond Hastane a écrit:
Une école de chevalerie est t'elle vraiment utile, et si si oui, qui va dicté l'éthique chevaleresque de notre société?

Utile, ce n'est pas le mot, non. Bien sûr, il est toujours possible de trouver une utilité à toute chose. En l'occurence, l'Ecole pourrait être l'antichambre de l'Ordre, une espèce de "cursus" à suivre (on entre à l'Ecole, et les plus talentueux deviennent Chevaliers, et uniquement eux). Mais avant tout, il s'agit, je pense, de réanimer un projet joueur qui n'a pas eu de chance par le passé, mais qui dispose d'un potentiel certain. Elle est davantage à envisager comme un "centre d'animation" plus que comme une nouvelle sphère.

L'ethique chevaleresque, en ce sens, devrait être enseignée par les Chevaliers en fonction actuellement, et qui souhaitent prendre part au projet. De mon point de vue, c'est logique et légitime. Quand nous parlons d'ethique chevaleresque, je fais référence ici aux cours concernant les Commandements et les Valeurs chevaleresques. Pour ce qui est des cours pour la rhétorique, les soins aux montures, les soins militaires, ainsi que les entraînements militaires... Tous ceux qui justifieraient des qualités requises pourraient en faire partie. C'est pourquoi le projet dispose d'un potentiel, à mon avis; s'il fonctionne, il est susceptible d'entraîner un grand nombre de joueurs avec lui. S'il ne fonctionne pas... Et bien il fera un troisième flop.

LjD Sépho
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Godefroy
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 10:45 pm

(J'aime bcp ce débat, il est sain et respectueux contrairement a certains sur les forums)

Je suis de l'avis de Nathaniel et surtout Viviane. Une école est un peu bizarre comme concept, mais je vais tenter de le conceptualiser autrement:

Ce qui différencie le chevalier du guerrier ordinaire est bien sur la courtoisie, la bravoure et l'aspect civilisé. L'école pourrait être une institution ou on donne de la culture à ses guerriers qui désirent s'élever et être noble au moins d'esprit. Ce genre d'école pourrait donc être plus lié à l'éducation des chevaliers pour en faire véritablement un idéal guerrier-poète, un homme de guerre instruit. Voici quelques exemples de cours qui seraient appropriés et également RP:
-Cours de courtoisie
-galanterie et amour courtois
-S'occuper de monture
-Cours de Théologie (les chevaliers hastanes émanant de gens de foi, peut-être donnés par des gens du clergé
-Cours académiques (Art de la Guerre ou non)

Je serais prêt à y donner un essais, dans la perspectives de belles scènes roleplay. Les joueurs s'y impliquant ne devraient pas s'attendre à un titre de chevalier. Cependant, le roi pourrait avoir à l'oeil ou demander des recommandations du maître d'école sur les potentiels. Donc sans obligation, il serait avantageux pour ceux désirant se faire remarquer d'y être.

Encore faut-il déterminer comment les invitations à l'école fonctionne.
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Bohémond Hastane
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 10:50 pm

(Merde mon post c'est effacé donc je dois le refaire!)

En résumé; je dis que aucun personnage pour le moment a un mode de vie assez sain pour être un personnage chevaleresque, aucun. Certain, comme Séphora et Aior serait de bon chevalier médiévaux, mais je vous rappelle que ces gens là était LOIN d'être chevaleresque.

Et un projet d'école de chevalerie est inutile dans une optique que cela ne sert qu'a une minorité de joueurs; qui peuvent allé se chercher plus de boost ainsi, plutôt qu'aidé une majorité de joueurs.

A mes yeux l'école de chevalerie est crée pour que des joueurs incapable de joindre des groupes actuels, ou ne voulant pas, ai une autre chance de se battre pour le royaume, chose inutile et surtout inefficace, je vous ramène au début de la guerre de 100 ans pour cela.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 11:22 pm

Dans le temps, la chevalerie était en santé parce qu'elle avait été offert relativement facilement à ceux la voulant. Je me souviens que Louen, Sephora et Cassidy avaient été adoubés en même temps, ce qui leur ont permis de créer une sorte d'engouement. Ils ont ensuite inclus 3-4-5 joueurs autour de l'idéal chevaleresque.

Ce qui a plutôt tué la chevalerie, c'est qu'il n'y a eu aucun autre adoubement suite à cela, sinon celle d'Aior. Tous les écuyers du temps ont quitté ou ont abandonné parce que c'était trop long. Pourtant, Liam Ambrosius avait un excellent rp, irréprochable et surtout très conforme à la chevalerie décrite dans le bg ci-dessus. Et je me souviens que dans le temps, j'avais fait sa recommandation comme chevalier et il n'y a pas eu de suite. Finalement je l'avais adoubé seul, jugeant que le roi était complètement aveugle de lever le nez sur d'aussi bons hommes.

Encore aujourd'hui, je vois des joueurs qui méritent la chevalerie. Godefroy, Gilbert, Anais, pour ne nommer que ceux-là... Pourtant on attend tellement longtemps que les chevaliers existants quittent sans de relève, ce qui tue le mouvement.

Aussi, sans vouloir manquer de respect aux chevaliers du moment, on dirait qu'ils vivent seuls sur leur ile et surtout leur jeu ne semble pas inclusif, ce qui nuit encore au processus. On voit la même situation dans la sphère de l'armée. On y croupit comme aspirant 6 semaines et plus, sans jamais voir le jour où on sera reconnu comme soldat. Puis, quand on voit un supérieur, souvent il n'a pas le temps de vous dire quelques mots, étant déjà engagé dans une autre scène.

Bref, je crois que vu le manque de joueurs et vu que les choses stagnent, les mjs devraient intervenir directement et faire en sorte que les joueurs actifs et motivés puissent évoluer dans la race.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMar 02 Fév 2010, 11:37 pm

Comme le dit Godefroy, c'est un débat intéressant je vous encourage a maintenir ce ton et continuer d'exprimer vos bonnes idées.

Le but de ce post est avant tout de trouver le meilleur moyen de faire vivre la chevalerie, que ce se sois à travers une école ou pas. Nous avons les batîments parfait pour sa, c'est un élément important du bg et plusieurs joueurs sont prêt a s'y investir, alors pourquoi pas? Le but, avant tout, c'est de créer du jeu intéressant et stimulant pour ceux qui y participeront.

Peu importe la forme que pourrait prendre cette institution, tel que le mentionne Sephora, le roi y jourait un rôle central (les chevaliers servent et protègent le roi). La gestion de l'école, du bastion ou de quoique ce sois d'autre serrait toutefois entre les mains des joueurs.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 1:22 am

Pour ce qui est de la question "À quoi servirait l'école", je vois le tout davantage comme une opportunité de créer une multitude de possibilité RP. Je parle ici des quelques scènes énumérées plus haut, mais aussi de resserer les liens entre les écuyers qui seront là. Ma vision des choses c'est un groupe de jeunes combattants prometteurs, pas tous Chevaleresque et accroc aux valeurs d'Odéon, mais qui se ressemblent pour la plupart. Quelque part où les étudiants pourront finalement s'appeler "Frère d'arme" avec raison, non pas pour faire semblant de connaître l'autre à coté. Créer des chimies IG, que les scènes ne soient pas décousus mais qu'on puisse constater que, finalement, deux joueurs qu'on ne pensait pas aussi bons peuvent avoir une si belle complicité en jeu que leur RP paraît meilleur.

Je préfère penser à l'école comme d'une institution qui priorise le RP que d'une institution qui priorise les devoirs, missions, privilèges et autres choses du genre. J'ai tenté d'obtenir des tâches pour la milice, ce que j'ai réussi à faire et, avouons le, le projet n'a pas fait long feu et c'est pourquoi il a été choisi de mettre la clef sous la porte, puisque ça s'étendait sans réellement servir à quoique ce soit.

L'école servira avant tout à RPer et à façonner, peut-être, quelques facettes de notre personnage par l'intermédiaire des autres ou des évènements qui pourraient s'y produire.

Bref, avant d'être un endroit où nous aurions des "passe-droits", comme le craint Bohémond (Pour ne pas dire Dominic), je crois que l'école serait mieux "vu" par les craintifs et beaucoup plus appréciés par ceux qui y jouent, si ça tournerait davantage autour du RP qu'autour du "On peut t'adouber". Et ça évitera surtout les joueurs qui ne désirent qu'être Chevalier de venir et patienter, puisque je crois qu'il ne suffira pas d'êtres lvl 150 et d'être une bête en PvP pour être Chevalier, il faut un minimum de RP chevaleresque pour le devenir, comme le démontre clairement les peu nombreux Hastanes adoubés.
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Godefroy
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 2:28 am

Pour Logan; J'ai été aspirant au moins deux mois, rédempteurs encore plus longtemps. C'est que mon perso ne recherche pas l'avancement. Aussi je pense qu'il y a des manières de s'impliquer peu importe son rang. Je prépare d'ailleurs quelque chose pour les aspirants. Je suis en train de voir mon horaire pour vous donner quelque chose à vous mettre sous la dent, surtout pour ton perso Wink

J'ai eu une idée pour réformer l'idée du chevalier. Je me base ici sur une façon de régler certains problèmes actuels. Voici le concept du chevalier qui pourrait à mon sens fonctionner dans le principe d'école.

1- Que le titre de chevalier ne soit pas un symbole de noblesse, mais bien de prestige. Donc, au lieu d'ascendre à un autre caste sociale, ce serait simplement des idoles du peuple. Il pourrait y avoir alors un véritable sens de confrérie ou les gens qui ont étudier ensemble et travaillent ensemble se rassemble. Cette nomination n'emmène aucun droit exclusif comme tel, si ce n'est d'appartenir à une fraternité unie, qui doivent honorer les 10 commandements et idéalisé les préceptes hastanes pour être bien perçus. Ils continueraient de jouer dans les sphères et remplir leurs autres devoirs, mais seraient bien perçus.

2-Pouvoir être mis dehors: que ce soit par un conseil des pairs ou de plus haut, il faudrait que les chevaliers, dans l'optique où ils soient plus que 2 puissent retirer quelqu'un de leur fraternité parce qu'il ne respecte pas à leur avis les 10 commandements fondateurs de la confrérie. Cela pourrait faire de belles scènes de remontrances de ses ''frères'' envers un de leurs membre qui de par ses actions terni leur image collective. Je ne parle pas de renvoi à la première offense, mais que les chevaliers soient soucieux de leur rôle d'idoles et d'idéal pour le peuple et souhaite de manière générale conserver leur image.

3- Voir l'influence des 10 commandements davantage. De fait, c'est la première fois que j'en entendais parler. De ce mythe fondateur, on peut déduire que les chevaliers sont une confrérie plutôt pieuse. J'aime particulièrement les commandements. Ce qui me mène à mon prochain point:

4-Enlever les Templiers. Ils ne sont que 2 et ne semblent pas avoir fait grand chose de mon point de vue. Or, dans les commandements il y a : protéger le temple. Les chevaliers recoupent donc déjà l'idée de templiers. Deux ordres qui font la même chose, c'est un peu trop. Également, je crois que Gilbert, en tant que seul réellement actif pourrait être chevalier de par sa vertu et rester membre du clergé, comme j'ai dit plus haut. Les commandements sont directement dans la ligne des templiers, au point ou faire deux ordres du même concept serait non seulement redondant mais également trop lourd.

5-Promouvoir l'implication des chevaliers dans les sphères comme facteurs motivateurs. Les chevaliers exemplifient l'idéal hastane selon mon interprétation du BG. Cela ne veut pas dire qu'ils ont des passes-droits loin de là, surtout s'il y a de la jalousie IG. Mais les chevaliers qui oeuvrent pour la cité devraient avoir comme objectif de stimuler les sphères et travailler avec leurs confrères chevaliers qui sont dans les divers domaines de la société pour aider les projets, sans en prendre la gouverne pour autant.

6- Permettre l'adhésion des non-combattants. Qu'ils soient mages, artisans ou érudits, tous devraient pouvoir entrer dans la chevalerie, en partant du principe que la chevalerie hastane se base sur la piété. Ainsi je verrais bien un prêtre qui confesse ses frères et les guident spirituellement dans les temps difficile ou de doute, ayant une plus grande connaissance des Écritures et de la philosophie que ses comparses. Je verrais un artisan forger des armures à ses frères d'armes, ou encore allez au devant, ayant une plus grande facilité pour faire la diplomatie ou des accords que ses confrères plus guerriers.

7- Que ce soit une véritable mais uniquement une confrérie. Je veux dire par ceci que malgré le prestige d'être chevalier, le seul avantage est d'avoir des compagnons sur qui ont peut compter. Dans les hiérarchies, il faut qu'ils suivent les ordres de leur supérieurs comme à l'habitude. Ainsi l'école de chevalerie et les chevaliers ne remplacent pas de sphère ou ne grugent pas leurs rangs en étant plus ''cool''.
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Viviane C. de Richecoeur
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 3:25 am

Je me demande qu'est-ce qui cause la crainte d'un "pouvoir". Qu'y a-t-il de mal à ce qu'une personne cherche à se dépasser et à se démarquer ? Je comprends que tu sembles tout faire par toi-même Bohemond et j'admire sincèrement ton succès. Mais je ne vois pas pourquoi dans un monde ou la noblesse prime, ce serait un mal que le choix d'un membre de la chevalerie se fasse sur une base totalement subjective et tout simplement injuste pour des personnes se donnant chèrement (et récoltant d'autres fruits) ailleurs.

L'idée que tu as expliqué Godefroy est intéressante et mérite d'être développée, mais je me demande si une fraternité a besoin d'autant de soutient de la part de l'animation pour vivre. Il me semble que l'initiative d'un joueur pourrait très bien créer une semblable fraternité sans nécessiter tant d'encadrement.

J'ai relu le texte plus haut, j'ai réfléchi à son application, et je suis tombé sur une phrase faisant référence aux chevaliers servant sous les ordres du Maréchal.

Je suis d'avis qu'on devrait utiliser ce texte comme repère pour situer l'intérêt de la chevalerie.

Ainsi donc, premier aspect: si pour l'instant j'exclu le côté RP et que j'étudie le côté pratique, disons aussi le côté externe, la chevalerie est un fait un ordre servant sous les ordres directe du Roy, disons plutôt qu'il est le groupe auquel il doit faire appel lorsqu'il a une tâche spéciale à leur confier.

Je vois donc le but de ce qui serait un "ordre" de chevalerie comme étant, à l'occasion, d'accomplire telle ou telle mission ordonnée par le Roy, soit-elle aussi sécuritaire que de l'accompagner lors d'une promenade. Par ailleurs, pour le reste du temps, je ne vois pas pourquoi les chevaliers et leurs écuyers ne serviraient pas sous les ordres de la Maréchale (a fortiori au commandeur ainsi qu'au sénéchal), en tant qu'organe indépendant, mais tout de même soumis à l'influence de la sphère militaire (cette soumission pourrait aussi être strictement limité lors de code rouge et orange, etc.).

Cela répond aussi aux craintes du pouvoir:
1. il n'y a pas là un grand pouvoir à aquérir à devenir chevalier, sauf celle de se distinguer. Je ne considère pas que le fait de devoir appeler une autre personne"Sire" soit très préjudiciable pour les autres.
2. S'il advenait qu'ils aient le droit de se promener à cheval dans la ville, eh bien au moins on aurait une chance de voir la population des geôles grandir lorsque des criminels décident de fuir la garde.
3. Ah bien sûr, ils auraient le privilège de servir le Roy directement, je crois que ce privilège est essentiel au concept.

Le second aspect est l'aspect interne, l'aspect rp, l'ordre en soit. Je vais me rallier à l'idée de Nataniel concernant ses réflexions quant au resserement de liens et à la complicité. Je suis d'avis que la chevalerie servirait à tisser des liens entre les joueurs s'attachant les uns aux autres, que ça rassemblerait des personnes ayant une même conception du RP de leur personnage.

Je réitère par le fait même ma conception du pouvoir aux joueurs, c'est à dire qu'en dehors de ce qui ressortirait nécesserement du pouvoir du Roy, à savoir l'adoubement ainsi que les ordres, le reste devrait rester indéterminé, à la liberté des chevaliers nommés. Qu'ils aient le choix de diriger l'ordre comme ils veulent, et que si cela ne fonctionne pas, le Roy intervienne.

Je vais maintenant me contredire et miner ma crédibilité, mais il me semble qu'il serait par ailleurs nécessaire d'imposer certains principes propres aux usages, par exemple, une méthode d'apprentissage par mentorat: je veux souligner par là que l'idée que chaque chevalier ait son maître (plutôt que chacun des maître le soit pour chacun des écuyers) pourrait être une règle à considérer. L'imagination peut permettre de déterminer des concepts simples à respecter, rationnels au plan de l'organisation, tout en permettant une grande marge de manoeuvre aux chevaliers pour administrer leurs rangs.

Ma proposition permet de trouver un compromis: un ordre à l'aspect interne important, sans échapper à l'influence de Citria et permettant à ses membres d'avoir accès à des relations prévilégiés avec leurs collègues.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 11:41 am

Je n'ai pas beaucoup de temps pour écrire, mais je désire simplement revenir sur le point des templiers. Hier, Gilbert a proposé que les paladins puissent, eux-aussi, entrer à l'école et étudier comme tout Chevalier. Évidemment, je ne sais pas s'il désirait faire disparaitre l'Ordène, mais bon..

Bref, je suis pour l'adhésion des paladins à l'école et je crois que tout le monde l'est aussi. Par contre, pour ce qui est des mages, je suis plutôt réticent. Je viendrai ajouter mes arguments plus tard puisque je dois partir maintenant, hélas. :p
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 11:46 am

Citation :
. Ah bien sûr, ils auraient le privilège de servir le Roy directement, je crois que ce privilège est essentiel au concept.

Très mauvaise idée! Cela crée des joueurs qui ne répondent qu'au roi et ca c'est un fléaux!

J'aime bien l'idée de Godefroi, que les chevaliers ne soit pas noble, mais des gens qui montre un idéal qui peuvent être anoblie. Car je vais le redire, aucun chevalier actuel n'a des idéaux chevaleresque (Par exemple simple; Aior qui gifle des enfants qui le contredise et Séphora qui baise des Mortanyss (beurk!)).

Je crois que les idées de Godefroi son acceptable, mais je doute que l'école doit être institutionnel; mais plutôt une idée; un concept que les chevaliers appliquerait, plutôt qu'un lieu précis et des cours pré défini. Dans le fond, une école de chevalerie doit se vivre dans la société et non pas dans un lieu fermé.

Et pour répondre a Nataniel (parce que tous le monde sait que j'adore répondre au gens) Quand tu dis que l'école favorise le rôle play, elle favorise le rôle play d'une majorité ou d'une ''élite'' pré choisi. Si je me présente a la dite école serais-je accepter? Ou refusé parce que les chevaliers sont mes adversaire rhétorique, car si je lis les principes, je crois être plutôt chevaleresque a comparé certain chevalier et écuyer ;-)

Cela dit, je continu a dire que je joue l'avocat du diable, un rôle que j'adore, débattre est la meilleur méthode de crée un concept intéressant, c'est une partie de la méthode scientifique de mon département :-)
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 12:43 pm

C'est vrai, je comprends le danger que représente l'idée du joueur qui ne répond qu'au Roy. Mais, d'abord, et c'est une précision de mon idée, ça ne devrait être le cas que lorsque le Roy intervient pour leur demander. Ensuite, c'est aussi ça l'idée de les soumettre à l'autorité d'un maréchal.

Citation :
que les chevaliers ne soit pas noble, mais des gens qui montre un idéal qui peuvent être anoblie. Car je vais le redire, aucun chevalier actuel n'a des idéaux chevaleresque

Oui, je suis d'accord sur ce point, l'idée de la l'adhésion à la chevalerie est d'abord une question d'adhésion à des valeurs et à des principes.

Citation :
je doute que l'école doit être institutionnel; mais plutôt une idée; un concept que les chevaliers appliquerait

Cela revient à se poser la question, quelle est alors la nécessité de l'intervention de l'animation ? Pourquoi ne pas réduire cette idée à une confrérie qu'un joueur créerait en jeu et qui, tôt ou tard, finirait bien par être reconnu par tous ?
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 12:52 pm

Pour l'Ordène, il faut comprendre ce que je propose. Du fait que les commandements font des chevaliers des templiers au sens propre du terme, je vois vraiment pas comment garder les deux entités qui ont, sommes toute, les mêmes buts et directives.
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 1:52 pm

Selon moi, le débat n'est pas de savoir si l'école des chevaliers est bonne ou pas, nécessaire ou pas, mais plutôt de savoir si des joueurs veulent jouer le jeu chevaleresque. Parce qu'en fait, que ce soit via le système des écuyers ou d'une méthode scolastique, le résultat doit être le même : qu'on voit des chevaliers dans les rues de Citria.

Pour en arriver à ça, il faut simplement que certains joueurs décident volontairement d'inclure les valeurs chevaleresques à leur jeu, qu'ils en parlent concrètement, qu'ils irradient véritablement des idéaux et de la pensée chevaleresques.

Finalement, j'ai toujours préféré la souplesse dans les règles. Aussi, pourquoi ne pas ouvrir la porte à divers moyens d'en arriver à la chevalerie. Que ce soit par l'adoubement suite à un geste héroïque, suite à un séjour à l'école, suite à l'écuyerie, l'important c'est qu'en fin de compte le comportement chevaleresque soit reconnu dans la race et soit récompensé d'un titre honorable.
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Séphora D'Argon
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 1:59 pm

J'amène quelques précisions avant que tout ne divague.

Godefroy a écrit:
1-Que le titre de chevalier ne soit pas un symbole de noblesse, mais bien de prestige. Donc, au lieu d'ascendre à un autre caste sociale, ce serait simplement des idoles du peuple.

L'idée de base était de faire des Chevaliers des hybrides de la classe sociale: un pied dans la noblesse, un autre dans la plèbe. Ainsi, ils auraient pu servir de relai entre l'une et l'autre classe sociale. Perceval a souhaité uniformiser cette situation, en les rendant entièrement nobles. Et dans un sens, il y a bien une raison à cela. Au vu de la difficulté des joueurs pour obtenir leurs éperons d'or, c'est un bonbon qui n'a pas vraiment de poids, qui ne sert pas à se pavaner comme un coq; c'est un remerciement pour les services rendus par le passé.
Ceci dit, au vu des maigres avantages de la noblesse, ce pourrait être revu. Incomberait alors la nécessité de préciser dans le Codex à quelle caste sociale le Chevalier appartient (pour les cas d'agression physique et d'insultes notamment; au besoin, créer une situation intermédiaire).

Godefroy a écrit:
2-Pouvoir être mis dehors: que ce soit par un conseil des pairs ou de plus haut, il faudrait que les chevaliers, dans l'optique où ils soient plus que 2 puissent retirer quelqu'un de leur fraternité parce qu'il ne respecte pas à leur avis les 10 commandements fondateurs de la confrérie. Cela pourrait faire de belles scènes de remontrances de ses ''frères'' envers un de leurs membre qui de par ses actions terni leur image collective.

Un Chevalier ne se voit retirer ses éperons d'or que par le Roi, et lui seul. Car aucun Chevalier n'est autorisé à en destituer un autre. Néanmoins, l'Ordre se fondant sur un principe fort de solidarité et de fraternité, il est évident que des tensions pourraient naître entre eux, en raison d'une action fâcheuse. Incomberait alors au Banneret (s'il y en a un) de calmer ces tensions, et de garder une coordination au sein de l'Ordre.

Godefroy a écrit:
4-Enlever les Templiers. Ils ne sont que 2 et ne semblent pas avoir fait grand chose de mon point de vue. Or, dans les commandements il y a : protéger le temple. Les chevaliers recoupent donc déjà l'idée de templiers.

Si ma mémoire est bonne, je me souviens avoir parlé à Mystra lors de la création de l'Ordène, et d'être déçu qu'ils reprennent exactement les mêmes commandements que ceux de la Chevalerie. En ce sens, cela créait deux ordres identiques, aux différences minimes. Je suis également pour l'adhésion des Paladins au sein de l'Ordre. Néanmoins, j'incite à la prudence: les Templiers étaient une caste religieuse; les Chevaliers constituent un ordre séculier. En cela, ils protègent essentiellement le Roi, et reçoivent leurs ordres de lui, tandis que les Templiers recevaient leurs ordres du Clergé et du Cardinal. Il est donc indicible que l'Ordre devienne une troupe de messies ambulants, ou de prédicateurs moniaux. Il est concevable que l'Ordre compte des Chevaliers plus religieux que d'autres; pas qu'il devienne l'antichambre du Clergé, et encore moins son bras armé.

Godefroy a écrit:
5-Promouvoir l'implication des chevaliers dans les sphères comme facteurs motivateurs.

Tout Chevalier actuel ou anciennement nommé a fait partie d'une sphère, à un titre à haute responsabilité (Séphora en Commandeur et Conseiller Royal; Aior en Maréchal et Conseiller Royal; Mystra en Maréchale; Cassidy en Sénéchal; Louen en Archevêque). Certains ont même continué à officier dans les sphères après leur nomination. Il est normal qu'ils puissent continuer, et en cela, je suis tout à fait d'accord avec toi.

Godefroy a écrit:
6- Permettre l'adhésion des non-combattants. Qu'ils soient mages, artisans ou érudits, tous devraient pouvoir entrer dans la chevalerie, en partant du principe que la chevalerie hastane se base sur la piété.

Ici, en revanche, je ne suis pas d'accord. À mon sens, un Chevalier doit être un combattant, quel qu'il soit, et capable de se battre à cheval. Si l'on s'en réfère aux Commandements, ceux-ci utilisent souvent des métaphores guerrières, tel que "combattre", "défendre", "protéger". Je suis conscient d'interpréter les textes, mais il me paraît peu viable qu'une personne soit Chevalier alors qu'elle est incapable de se défendre elle-même. On me dira qu'il est possible de protéger, défendre et combattre autrement qu'avec les armes, mais sur ce point, je demeure d'un avis pragmatique: les Chevaliers ont une tradition de noblesse d'épée, et je pense qu'il est préférable de la garder ainsi. Selon moi, être Chevalier emporte quelques conditions:

1. Savoir diriger (voire même dresser) un cheval
2. Savoir combattre (avec des armes, éventuellement de la magie)
3. Savoir combattre à cheval
4. Respecter les Commandements un minimum

Pour ceux qui ne remplissent pas ces quelques conditions, je suis certain que leur bonheur peut être trouvé ailleurs sans qu'ils soient nommés dans l'Ordre.

Aussi, je renvoie au point précédent, l'Ordre n'est pas, selon moi, basé sur la piété ou sur la foi. Si le but de l'Ordre est de n'empiéter sur aucune sphère, laissons ce domaine au Clergé. Les Chevaliers sont, à mon sens et avant tout, fondés sur des valeurs telles que l'Honneur ou le Courage. Et bien que ce soit aussi des valeurs primordiales dans la Garde, la différence se situe au niveau de leurs attributions: les Chevaliers n'ont aucun droit concret à faire valoir, outre celui de protéger le Roi.

Viviane de Châtillon a écrit:
Je vois donc le but de ce qui serait un "ordre" de chevalerie comme étant, à l'occasion, d'accomplire telle ou telle mission ordonnée par le Roy, soit-elle aussi sécuritaire que de l'accompagner lors d'une promenade. Par ailleurs, pour le reste du temps, je ne vois pas pourquoi les chevaliers et leurs écuyers ne serviraient pas sous les ordres de la Maréchale (a fortiori au commandeur ainsi qu'au sénéchal), en tant qu'organe indépendant, mais tout de même soumis à l'influence de la sphère militaire (cette soumission pourrait aussi être strictement limité lors de code rouge et orange, etc.).

Que le Roi donne une mission à l'Ordre, c'est concevable. En dehors de ces missions, je suis plutôt réfractaire à l'idée de les mettre sous l'autorité de la Garde. L'Ordre est une caste certes guerrière, mais pas militarisée. Les rangs sont très peu nombreux, et plutôt que d'obéir, il est davantage souhaiter de coopérer.
Cependant, en temps de guerre, il est évident que le Roi est libre de mettre l'Ordre à la disposition de la Garde, qui leur donnera des ordres. À cet instant précis, les Chevaliers sont soumis à la volonté de leur seigneur, et il leur est éminemment souhaitable qu'ils ne contestent pas sa décision.

Bohémond Hastane a écrit:
Car je vais le redire, aucun chevalier actuel n'a des idéaux chevaleresque (Par exemple simple; Aior qui gifle des enfants qui le contredise et Séphora qui baise des Mortanyss (beurk!)).

Je ne vais pas parler en lieu et place d'Aior, mais ce que tu avances sur mon personnage, c'est surtout de la spéculation et de la croyance populaire. Outre cela, sa relation avec Haze est restée platonique, jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau Nargolith. Quand bien même il aurait eu ce genre de relations, je ne vois pas quel commandement cela brimerait; à savoir que Haze, après être redevenue vivante, a collaboré avec Citria au détriment de la famille Mortanyss, durant la guerre. Et étrangement, je fais un lien avec ce précepte...

BG Chevalerie Hastane a écrit:
6. Tu combattras les infidèles avec acharnement.
Convertir ou sinon absoudre l'infidèle est le premier pas vers Odéon.

Pour ce qui est de penser qu'aucun Chevalier actuel n'a d'idéaux chevaleresques... Ca, c'est ta conception des choses. J'aime à croire que si je n'ai plus été destitué depuis Photon, c'est qu'en soi, je ne suis pas si mauvais dans mon rôle. À nouveau, je ne parlerai pas au nom d'Aior et de Mystra, mais je vois mal ce que tu leur reproches.

Bohémond Hastane a écrit:
Si je me présente a la dite école serais-je accepter? Ou refusé parce que les chevaliers sont mes adversaire rhétorique, car si je lis les principes, je crois être plutôt chevaleresque a comparé certain chevalier et écuyer ;-)

Là encore, si tu remplis les conditions, théoriquement tu as tes chances. Mais comme tu le dis, si tu t'es mis à dos les 3/4 des Chevaliers, ne mise pas trop dessus; les Chevaliers ont des Commandements à respecter, mais la rancoeur fait partie des vices qu'ils peuvent se permettre sans faire l'objet de trop de remontrances. Comme j'aime à le dire: pardonner une fois, c'est être clément; pardonner deux fois, c'est être bon; pardonner trois fois, c'est être con. L'Ecole et l'Ordre sont des projets joueurs à la base, il est logique que les joueurs exercent un certain contrôle sur les recrues qu'ils acceptent de prendre avec eux.

Et cette fois, d'un point de vue purement subjectif, je ne pense pas que Bohémond soit susceptible de correspondre à la définition d'un Chevalier.

Bohémon Hastane a écrit:


Citation :
. Ah bien sûr, ils auraient le privilège de servir le Roy directement, je crois que ce privilège est essentiel au concept.

Très mauvaise idée! Cela crée des joueurs qui ne répondent qu'au roi et ca c'est un fléaux!

En quoi est-ce si effrayant? N'est-il pas plus effrayant de voir des Rédempteurs obéir directement à un Sénéchal joueur? A savoir que je ne dis absolument rien contre Anaïs, mais mon propos est le suivant: les risques de mutinerie sont beaucoup plus grands au sein d'une institution entièrement gérée par les joueurs, plutôt qu'au sein d'un Ordre directement soumis à la volonté d'un GM.

D'autre part, le rôle du Chevalier n'est pas de faire ce que bon lui semble, et de répondre ensuite: je suis au-dessus des lois. Il obtient ses ordres directement du Roi; pour le reste, il est soumis au même régime que tout autre Citoyen.

J'aimerais aussi faire référence à une idée que j'avais voulu distiller dans le BG, mais qui ne semble pas être clairement interprétée: les Chevaliers Hastanes tendent vers la perfection, mais sont en réalité loin d'être parfaits. Il est évidemment libre à un joueur de jouer le mec loyal bon gentleman, et d'obtenir ses éperons d'or; je dis simplement ici que l'application quotidienne de tous les Commandements, en toute circonstance, est quasi impossible à obtenir.

J'en avais longuement parlé avec Richard, lorsqu'il était le directeur de l'Ecole: à de nombreuses reprises, je lui avais expliqué que très souvent, le Chevalier est soumis à un choix, entre deux valeurs qu'il a juré honorer, mais qui sont finalement contradictoires. C'est un RP nuancé, qu'il est possible de jouer de milliers de manières différentes, sans pour autant être indigne de son titre. À nouveau, il est ici question d'interprétations; in fine, la destitution d'un Chevalier devrait être excessivement rare, tant les points de vue peuvent diverger ou converger. Mais de dire "Tu n'es pas chevaleresque, t'es qu'un impie!", c'est un argument facile qui occulte énormément des possibilités.

LjD Sépho
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Logan M. de Richecoeur
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MessageSujet: Re: La chevalerie hastane   La chevalerie hastane Icon_minitimeMer 03 Fév 2010, 2:06 pm

+1 Sephora

Je suis aussi d'avis qu'il est impossible d'avoir un chevalier parfait. Souvent, deux commandements seront en oppositions et le chevalier devra donc en bafouer un pour être conforme à l'autre.
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